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Couverture Anti-Feu Pour Batteries Lithium-Ion: Sécurisez Vos Véhicules

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Les incendies de véhicules électriques présentent des défis uniques. Protech Sentinel a développé une couverture anti-feu de haute performance spécialement conçue pour maîtriser rapidement les flammes des batteries lithium-ion, reduissant ainsi les risques de propagation et de dommages.

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Conception Haute Technologie : Fabriquée avec des matériaux ignifuges avancés, résistants aux températures extrêmes jusqu’à 1 600°C. ,limite les risques de ré-ignition grace à un confinement thermique efficace
Facile à Utiliser : Déploiement rapide par une seule personne, idéal pour les professionnels et services d’urgence.
Polyvalente : Convient à tous types de véhicules électriques – voitures, scooters, vélos électriques.
Écologique : Limite les émissions toxiques et préserve l’environnement en étouffant l’incendie sans l’usage de produits chimiques.
Réduction des Coûts : Évitez la destruction totale du véhicule et limitez les dégâts collatéraux dans les parkings ou garages.

Applications

  • Concessions automobiles
  • Parkings publics et privés
  • Flottes de véhicules
  • Ateliers de réparation
  • Services de secours et pompiers

Comment ça marche ?

  1. Dépliez la couverture et positionnez-la rapidement sur le véhicule en feu.
  2. Laissez agir : la couverture étouffe immédiatement l’oxygène, stoppant la combustion.
  3. Sécurisez la zone et attendez l’intervention des secours.

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Protech Sentinel – La Sécurité Avant Tout.

LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS

La protection du patrimoine culturel en cas de sinistre est une mission essentielle des sapeurs-pompiers. Le Plan de Sauvegarde des Biens Culturels (PSBC) vise à préserver les œuvres et objets de valeur lors d’incidents tels que les incendies ou les inondations. Parmi les outils indispensables à cette mission, les couvertures et housses de protection jouent un rôle crucial.

1. Importance des couvertures et housses de protection dans le PSBC

Les couvertures et housses de protection sont conçues pour protéger les œuvres d’art et les objets précieux des dommages causés par l’eau, la fumée, la chaleur et les débris. Elles permettent une intervention rapide et efficace, minimisant ainsi les risques de détérioration. Leur utilisation est particulièrement recommandée pour les objets qui ne peuvent être déplacés facilement ou rapidement.

2. Caractéristiques des matériaux utilisés

Les matériaux utilisés pour ces protections doivent répondre à des critères spécifiques :

  • Résistance au feu : Les tissus ignifugés empêchent la propagation des flammes et protègent les œuvres de la chaleur directe.
  • Imperméabilité : Les matériaux étanches protègent contre les infiltrations d’eau, notamment lors des interventions impliquant l’utilisation de lances à eau.
  • Neutralité chimique : Les matériaux doivent être neutres pour éviter toute réaction chimique susceptible d’endommager les œuvres.
  • Solidité et durabilité : Ils doivent résister aux manipulations répétées et aux conditions d’intervention parfois difficiles.

3. Types de protections disponibles

Il existe plusieurs types de protections adaptées aux besoins spécifiques des interventions :

  • Couvertures anti-feu : Elles sont utilisées pour recouvrir les œuvres et les protéger des projections de braises ou de chaleur intense.
  • Housses de protection : Conçues sur mesure, elles enveloppent les objets pour les protéger de l’eau et de la fumée.
  • Bâches imperméables : Elles servent à couvrir de grandes surfaces ou des ensembles d’objets pour les protéger des éléments.

4. Mise en œuvre lors des interventions

Lors d’un sinistre, l’utilisation des couvertures et housses de protection suit une procédure précise :

  • Identification des œuvres à protéger : Les objets les plus vulnérables ou de grande valeur sont prioritaires.
  • Mise en place des protections : Les couvertures et housses sont déployées rapidement pour minimiser l’exposition aux dangers.
  • Surveillance continue : Les objets protégés sont régulièrement vérifiés pour s’assurer de l’efficacité des mesures mises en place.

5. Formation et préparation des équipes

La manipulation efficace des couvertures et housses de protection nécessite une formation spécifique :

  • Entraînements réguliers : Des exercices permettent aux équipes de se familiariser avec les équipements et les procédures.
  • Connaissance des matériaux : Comprendre les propriétés des différents matériaux aide à choisir la protection la plus adaptée en fonction de la situation.

6. Collaboration avec les institutions culturelles

La mise en place d’un PSBC efficace repose sur une collaboration étroite entre les sapeurs-pompiers et les institutions culturelles :

  • Plans préétablis : Les musées et autres institutions doivent élaborer des plans détaillant les œuvres à protéger en priorité et les méthodes à utiliser.
  • Sessions de formation conjointes : Des formations communes permettent de coordonner les actions et d’assurer une compréhension mutuelle des procédures.

7. Retour d’expérience et continuer

Après chaque intervention, il est essentiel d’évaluer l’efficacité des protections utilisées :

  • Analyse des actions menées : Identifier les points forts et les axes d’amélioration.
  • Mise à jour des équipements : Adapter les matériels en fonction des retours terrain et des évolutions technologiques.

En conclusion, les couvertures et housses de protection sont des éléments indispensables du Plan de Sauvegarde des Biens Culturels. Leur utilisation efficace repose sur une connaissance approfondie des matériaux, une formation rigoureuse des équipes et une collaboration étroite avec les institutions culturelles. Une préparation minutieuse et une continue des procédures garantissent la préservation optimale de notre patrimoine en cas de sinistre

PLAN DE SAUVEGARDE DES BIENS CULTURELS (PSBC)

Objectif :
Protéger et évacuer les biens culturels en cas de sinistre (incendie, inondation, catastrophe naturelle ou acte de malveillance).
Public cible :
Personnel interne, pompiers, équipes de secours, prestataires de sécurité.

INTRODUCTION
1.1 Contexte et justification
Les établissements culturels, tels que musées, bibliothèques, archives et monuments historiques, abritent des biens patrimoniaux d’une valeur inestimable. Ces biens constituent un héritage collectif, transmis de génération en génération. Toutefois, ils sont vulnérables aux sinistres (incendies, inondations, catastrophes naturelles, etc.) qui peuvent entraîner leur détérioration ou leur disparition. La mise en place d’un Plan de Sauvegarde des Biens Culturels (PSBC) est donc une priorité pour garantir leur préservation.
 
Contexte et justification : Importance du patrimoine culturel.
Risques identifiés : Incendie, inondation, vol, vandalisme, dégradation naturelle.
Cadre législatif : Référence aux normes de conservation et aux textes relatifs à la protection du patrimoine.
1.2 Risques identifiés
Incendie : Risque majeur pouvant entraîner la destruction totale ou partielle des collections.
Inondation : Détérioration par immersion ou humidité excessive.
Vol et vandalisme : Disparition ou dégradation d’objets précieux.
Catastrophes naturelles : Séismes, tempêtes ou glissements de terrain.
Dégradations accidentelles : Manipulation inappropriée, erreurs humaines.
1.3.1 Risques liés aux incendies
Les incendies peuvent entraîner des destructions irréversibles de collections précieuses.
Causes potentielles :
Défaillances électriques, travaux à chaud, négligence.
 
Conséquences :
Perte totale ou partielle d’œuvres, altérations par la fumée et l’eau d’extinction.
Mesures préventives :
Installation de détecteurs de fumée et de systèmes d’extinction automatique.
Formation régulière des équipes à la manipulation des extincteurs.
Maintenance du réseau électrique et limitation des matériaux inflammables.

1.3.2 Risques d’inondation
Les inondations constituent une menace majeure, pouvant affecter gravement les œuvres.
Causes potentielles :
Crues, ruptures de canalisations, fuites internes.
Conséquences :
Dégradations par l’eau, moisissures, fragilisation des matériaux organiques.
Mesures préventives :
Surélévation des œuvres sensibles.
Installation de pompes de relevage et de capteurs de fuite.
Stockage des œuvres dans des zones non inondables.

1.3.3 Risques de vol et de vandalisme
Le patrimoine culturel est une cible potentielle pour les vols ou actes de vandalisme.
Causes potentielles :
Intrusions, défaillances des systèmes de sécurité.
Conséquences :
Disparition d’objets de grande valeur, dégradations volontaires.
Mesures préventives :
Renforcement de la vidéosurveillance et des alarmes.
Sécurisation des accès et contrôle du personnel.
Mise en place d’agents de surveillance 24h/24.

1.3.4 Risques de catastrophes naturelles
Les séismes, tempêtes et glissements de terrain menacent également les biens culturels.
Conséquences :
Destruction des bâtiments, écrasement ou chute des œuvres.
Mesures préventives :
Renforcement parasismique des structures.
Fixation des objets lourds et fragiles.

1.3.5 Risques techniques (défaillances internes)
Les pannes d’équipements peuvent entraîner des dégradations indirectes sur les œuvres.
Causes potentielles :
Dysfonctionnement des systèmes de climatisation ou d’électricité.
Conséquences :
Altération des œuvres sensibles aux variations climatiques.
Mesures préventives :
Entretien régulier des techniques d’installation.
Installation de générateurs de secours.
 

 
 
 
 
 
 
2. STRUCTURE DU PLAN
A. ORGANISATION INTERNE DU PLAN
Responsables du plan de sauvegarde :
Responsable PSBC (Directeur/Conservateur).
Coordinateur de crise.
Référents par secteur (arts, archives, etc.).
Équipe d’intervention interne :
Responsable de la sécurité incendie.
Agents de prévention.
Équipe de manutention formée.
Partenaires externes :
Pompiers et services d’urgence.
Restaurateurs agréés.
Sociétés spécialisées en transport d’œuvres d’art.
 
2.1 Organisation interne du plan
Responsables du plan de sauvegarde :
Directeur de l’établissement (ou conservateur) : Garant de la mise en œuvre du PSBC.
Coordinateur de crise : Personne chargée de diriger les opérations en cas de sinistre.
Référents par secteur : Agents responsables de zones spécifiques (salles d’exposition, archives, réserves).
Équipe d’intervention interne :
Responsable de la sécurité incendie.
Équipe de manutention (formée au déplacement des œuvres).
Agents de prévention des risques.
Partenaires externes :
Services d’incendie et de secours (SDIS).
Restaurateurs agréés (conservation/restauration d’urgence).
Transporteurs spécialisés en œuvres d’art.
Assureurs du patrimoine culturel.

 
 
 
 
2.2 Classification et priorisation des biens
Objectif de la classification
La classification s’appuie sur plusieurs critères déterminants :
Valeur historique et culturelle : Œuvres uniques ou rares, ayant une valeur patrimoniale inestimable.
Fragilité matérielle : Œuvres sensibles aux variations de température, à l’eau ou aux manipulations.
Accessibilité : Localisation des œuvres dans le bâtiment (proximité des sorties, facilité de transport).
Dimensions et poids : Priorité aux objets transportables rapidement.
Duplicabilité : Les œuvres non reproductibles (originaux, manuscrits) sont prioritaires.
 
Optimiser les opérations d’évacuation en cas d’urgence.
Garantir la protection des biens culturels majeurs.
Faciliter la coordination entre les équipes internes et les secours externes (pompiers, experts en conservation).
Minimiser les pertes en priorisant les interventions
Établissement du plan de récolement :
Inventaire exhaustif des biens culturels (base de données avec photos, descriptions et valeurs estimées).
Classement par priorité :
Niveau 1 : Œuvres majeures, irremplaçables, ou icônes culturelles.
Niveau 2 : Œuvres précieuses mais déplaçables sans grande difficulté.
Niveau 3 : Objets moins sensibles ou facilement remplaçables.
 

 
 
Établissement du Plan de Récolement (Inventaire détaillé) :
Classement par niveau de priorité (ex : Très précieux, Fragile, Déplaçable facilement).
Liste avec photos et descriptions des biens culturels majeurs.
Emplacements précis dans l’établissement.
 
                  Critères de priorisation :
Valeur historique/artistique.
Risque de dégradation immédiate.
Faisabilité de déplacement.
 
.
 

Classification par zones
Zone 1 : Œuvres majeures et irremplaçables
Description : Œuvres d’art, manuscrits anciens, sculptures uniques, pièces archéologiques de grande valeur.
Caractéristiques : Inestimables, non reproductibles, souvent fragiles.
Action prioritaire : Évacuation immédiate vers un lieu sécurisé (coffres, caisses spécifiques).
Exemples :
Tableaux de maîtres (peinture classique et contemporaine).
Manuscrits historiques non numérisés.
Statues et sculptures d’importance majeure.

Zone 2 : Objets d’importance secondaire mais transportables
Description : Objets de collection, mobiliers anciens, gravures, photographies.
Caractéristiques : Moins précieux que les objets de Zone 1, mais d’une valeur culturelle notable.
Action prioritaire : Évacuation après les œuvres de Zone 1.
Exemples :
Mobilier d’époque.
Collections de gravures et lithographies.
Instruments de musique anciens.

 
 
Zone 3 : Documents et archives duplicables
Description : Archives numérisées, catalogues, plans, documents de travail.
Caractéristiques : Moins critiques car reproductibles ou disponibles sous forme numérique.
Action prioritaire : Mise à l’abri lorsque les œuvres majeures sont sécurisées.
Exemples :
Archives administratives.
Copies de manuscrits.
Catalogues d’expositions.

Identification et marquage des zones
Signalétique spécifique : Chaque zone est clairement identifiée par des codes couleur et des pictogrammes pour faciliter la reconnaissance rapide.
Cartographie du bâtiment : Plans détaillés avec indication des zones prioritaires, mises à disposition des équipes internes et des secours externes.
Mises à jour régulières : L’inventaire et la cartographie sont révisées annuellement pour refléter les nouvelles acquisitions et les déplacements d’œuvres.

Équipements associés
Caisses de transport adaptées (anti-choc, ignifugées).
Bâches de protection imperméables .
Systèmes de levage et chariots pour les objets lourds.
Lieux de réplique sécurisés (salles blindées, chambres fortes).

Collaboration avec les services de secours
Briefing régulier avec les pompiers pour la connaissance des zones prioritaires.
Exercices de simulation intégrant l’évacuation des œuvres des zones 1 et 2.
Communication constante lors des interventions d’urgence.

Mise en application
Formation du personnel pour reconnaître et manipuler correctement les objets classés.
Procédures simplifiées pour guider les équipes lors des évacuations (fiches récapitulatives).
Registre de suivi pour les œuvres déplacées, assurant leur traçabilité et leur retour en sécurité après l’incident.

Intégration dans le plan général
Cette classification est directement intégrée dans les procédures d’intervention du Plan de Sauvegarde des Biens Culturels (PSBC) et du Plan d’Organisation du Secours Interne (POSI) . Lors des incidents, la priorité est donnée à la sauvegarde des œuvres classées en Zone 1, suivie de celles des Zones 2 et 3. Cette organisation garantit l’efficacité des opérations de secours tout en préservant au maximum le patrimoine culturel.
 

3. PROCÉDURES D’INTERVENTION
A. AVANT LA CRISE
Formation du personnel :
Formation à la manipulation des œuvres.
Exercices réguliers d’évacuation des biens.
Simulations d’incendie/inondation.
 
Manutention spécialisée : Formation régulière à la manipulation des œuvres (fragilité, conditionnement).
Simulations : Exercices annuels d’évacuation de biens culturels (incendie, inondation).
Identification des risques : Inspection périodique pour détecter les points faibles du bâtiment (fuites, surcharges électriques).
Mise en place d’outils et matériel :
Plans d’évacuation des œuvres.
Caisses de transport et emballages adaptés (cartons renforcés, caisses climatiques).
Couvertures anti-feu, films plastiques étanches, gants antistatiques.
Fiches de description rapide (fixées aux œuvres prioritaires).

 
 
3.2 En cas de crise
B. EN CAS DE CRISE
Déclenchement de l’alerte :
Activation du PSBC dès détection de danger.
Mobilisation des équipes selon les zones prioritaires.
Évacuation des œuvres :
Itinéraire sécurisé prévu pour chaque zone.
Zones de stockage temporaires sécurisées.
Document d’accompagnement pour chaque objet évacué.
Coordination avec les secours :
Plan remis aux pompiers dès leur arrivée.
Accès facilité aux zones à risque.
 
Détection de l’alerte :
Déclenchement automatique ou manuel.
Communication immédiate entre les équipes internes et les secours (liaison directe avec les pompiers).
Procédures d’évacuation des biens :
Ordre de priorité : Démarrage par les biens les plus vulnérables (ex : tableaux, manuscrits).
Zones de rassemblement des œuvres évacuées : Chambres fortes, zones sécurisées, hors de la zone sinistrée.
Transport sécurisé : Véhicules adaptés et prestataires spécialisés.
Coordination avec les secours :
Remise du plan du bâtiment aux pompiers.
Accès direct aux zones sensibles (réserves, galeries principales).
Présence de l’équipe PSBC pour guider les interventions.

 
 
 
 
 
3.3 Après la crise
Évaluation des dégâts :
Inspection des œuvres évacuées (contrôle d’humidité, fissures, brûlures).
Rapport d’incident détaillé (incluant photos avant/après).
Restauration des biens endommagés :
Intervention immédiate des restaurateurs.
Mise en place de protocoles de séchage ou de consolidation.
Mise à jour du plan de récolement :
Réactualisation des inventaires après sinistre.
Rapport des pertes ou des dégradations.
 

C. APRÈS LA CRISE
Retour et réinstallation des œuvres :
Vérification de l’état des œuvres évacuées.
Rapport d’incident.
Mise à jour du plan de récolement.
Analyse des défaillances et amélioration continue.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
.
4. PLAN D’ORGANISATION DU SECOURS INTERNE (POSI)

4.1 Objectif du POSI
Le POSI garantit la sécurité des personnes et des biens culturels en assurant une réponse structurée et efficace aux incidents internes.
ORGANISATION DU SECOURS INTERNE
Secours aux personnes :
Formation PSC1/PSE pour les agents.
Zones de premiers soins définies.
Procédure d’évacuation pour le personnel et les visiteurs.
Évacuation générale :
Itinéraires et points de rassemblement clairement identifiés.
Assistance aux personnes à mobilité réduite.
Matériel de secours :
Trousse de premiers secours à chaque étage.
Défibrillateurs automatiques (DAE).
Téléphones d’urgence et talkie-walkies

4.2 Organisation et responsabilités
Coordinateur PSBC : Supervise l’évacuation et coordonne les secours internes.
Équipe d’intervention interne : Formée pour gérer les urgences (incendie, inondation).
Référents de secteur : Responsables des œuvres et de leur évacuation.

4.3 Formation et sensibilisation
Formations annuelles aux premiers secours (PSC1).
Simulations trimestrielles avec scénarios réalistes.
Mises à jour régulières du POSI en fonction des retours d’expérience.

4.4 Matériel de secours interne
Extincteurs, défibrillateurs, couvertures anti-feu.
Caisses de transport adaptées aux œuvres fragiles.
Bâches étanches pour protéger les œuvres de l’eau.

4.5 Procédures opérationnelles
Détection et signalisation de l’incident.
Alerte du coordinateur PSBC.
Intervention initiale par les agents de sécurité.
Évacuation des œuvres majeures.
Coordination avec les secours externes (pompiers).

4.6 Points de rassemblement et d’évacuation
Zones de rassemblement sécurisées pour les œuvres évacuées.
Regroupement du personnel pour le bilan post-intervention.
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
5. DOCUMENTATION ET MISE À JOUR
Mise à jour annuelle du plan de sauvegarde.
Révision après chaque exercice ou incident.
Archivage des rapports d’interventions.
5.1 Importance de la documentation
Une documentation complète et rigoureuse est essentielle pour assurer l’efficacité du PSBC. Elle permet :
D’assurer la traçabilité des actions en cas de sinistre.
De garantir une réactivité optimale face aux crises grâce à des procédures claires.
D’assurer la formation continue des équipes internes et la bonne transmission des consignes aux nouveaux arrivants.
De faciliter la collaboration avec les services d’urgence (pompiers, SDIS, restaurateurs).

5.2 Types de documents à maintenir à jour
Plan de sauvegarde (PSBC) complet :
Version principale du plan intégrant les procédures générales, les zones à risque et les priorités d’évacuation.
Inventaire des biens culturels (récolement) :
Base de données avec fiches descriptives des œuvres prioritaires.
Fiches techniques et procédures d’intervention :
Procédures spécifiques en cas d’incendie, d’inondation, de vol, etc.
Registre des incidents et retours d’expérience :
Rapport détaillé de chaque incident ou simulation.
Coordonnées des partenaires et services d’urgence :
Pompiers, restaurateurs agréés, transporteurs spécialisés, compagnies d’assurance, etc.
Plan des bâtiments (plans d’évacuation) :
Schémas des zones de stockage, salles d’exposition, enjeux de secours.

5.3 Mise à jour régulière du PSBC
Annuellement : Révision complète du plan.
Après chaque incident ou exercice.
Lors de nouvelles acquisitions d’œuvres.
En cas de modification structurale du bâtiment.

 
 
5.4 Archivage et accessibilité des documents
Archivage numérique :
Scannés et sauvegardés sur un serveur sécurisé avec double sauvegarde externe.
Archivage physique :
Exemplaire papier conservé dans un coffre ignifuge .
Accessibilité :
Versions papier et numériques disponibles à la loge de sécurité, au bureau du directeur et auprès du coordinateur PSBC.

 
5.5 Exercices et tests de mise à jour
Simulations trimestrielles :
Réalisation d’exercices pour tester l’efficacité du plan (évacuation d’œuvres, gestion d’inondations, etc.).
Rapport et analyse :
Chaque exercice est suivi d’un rapport détaillé avec des recommandations d’amélioration.
 

Liste des contacts d’urgence (pompiers, restaurateurs, transporteurs spécialisés).
Conclusion :
Ce plan est essentiel pour assurer la préservation des biens culturels en cas de sinistre. Il repose sur la coopération étroite entre les équipes internes et les services d’urgence, dans une démarche de prévention et de réactivité.
 
 
 
 
 
ANNEXES
Plan détaillé du bâtiment avec zones de priorisation des œuvres.
Fiches d’inventaire des œuvres prioritaires.
Annexe 1 : Plan du bâtiment avec zones de priorisation des œuvres
Schéma détaillé des différentes zones :
Réserves, salles d’exposition, archives, bureaux.
Zones identifiées par niveau de risque.
Points de rassemblement pour les œuvres évacuées.
Indications claires des issues de secours.
Localisation des extincteurs et défibrillateurs.

PROTECH SENTINEL – PROTÉGEZ L’INESTIMABLE
Les trésors du passé méritent une protection d’avenir.
Chez Protech Sentinel , nous savons que chaque œuvre d’art, chaque document ancien et chaque objet raconte une histoire précieuse. C’est pourquoi nous avons développé des housses et couvertures de protection anti-feu spécialement conçues pour les plans de sauvegarde des biens culturels .
Pourquoi choisir Protech Sentinel ?
Protection Certifiée : Nos couvertures anti-feu répondent aux normes les plus strictes, offrant une barrière efficace contre les flammes, la chaleur et la fumée.
Matériaux Haute Performance : Tissus ignifuges et thermorésistants, adaptés aux environnements sensibles tels que les musées, bibliothèques et archives.
Facilité de Mise en Place : Légères et maniables, nos housses permettent une intervention rapide lors d’une évacuation d’urgence.
Solutions Sur Mesure : Nous adaptons nos produits aux dimensions et aux spécificités de vos collections, du tableau au mobilier historique.
Un engagement envers la préservation du patrimoine
Votre mission est de préserver l’histoire. La nôtre est de vous offrir les outils pour y parvenir. Avec Protech Sentinel , protégez ce qui ne peut être remplacé.
Préparez dès aujourd’hui votre plan de sauvegarde avec Protech Sentinel.
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#PSBC

COUVERTURE COUPE-FEU ET EXTINCTION POUR BATTERIE LITHIUM PROTECH SENTINEL

La plupart des véhicules électriques sont équipés d’une batterie avec technologie lithium-ion (Li-ion). La raison en est
la capacité de stockage d’électricité plus élevée.

Les batteries Li-Ion sont utilisées non seulement dans les véhicules
électriques, mais également dans les chariots élévateurs, les vélos électriques, les ordinateurs portables, les téléphones
portables ou les outils électriques sans fil. Toujours plus puissantes, ces batteries Li-Ion peuvent toutefois aussi être
dangereuses. Le lithium est très réactif et facilement inflammable. En cas de défaillance, il y a toujours un risque d’incendie : il s’agit de L’EMBALLEMENT THERMIQUE.

COUVERTURE DE PROTECTION PROTEC SENTINEL.

Concepts de protection innovants contre les incendies de feux de voitures ,depuis 10 ans .

À l’heure où les batteries lithium-ion font désormais partie intégrante de la vie quotidienne, la protection contre les dangers potentiels d’incendies de batteries est plus importante que jamais.

Le role de la couverture PROTEC SENTINEL est isoler le feu et empêche les flammes de se propager aux alentours.. L’objet en feu est refroidi et moins d’eau d’extinction est nécessaire. Cela conduit à moins de contamination du site de déploiement et assure une protection thermique de l’environnement en absorbant l’eau d’extinction.

Et aussi à utiliser moins d eau ,extinction et aussi moins de pollution

LA COUVERTURE PROTECH SENTINEL PEUT AUSSI ETRE UNE SOLUTION DE LIMITER LA PROPAGATION DE L INCENDIE .

  • Parkings couverts, garages souterrains
    (Hôtels, aéroports, parkings, mairies, stades de football) . La couverture coupe-feu est placée dans l’armoire murale à proximité des stations de charge. Elle permet de limiter la propagation par rapport du délai d’intervention des secours et une mise en œuvre rapide. Elle permet l évacuation du public plus rapide , la couverture confine les feux opaques et toxiques . Prévention de la propagation des flammes à d’autres véhicules
  • Bornes de recharge
    (stations essence sur autoroute, parkings avec bornes de recharge)
  • Véhicules d’urgence
  • (Pompiers, police, services de remorquage) .Sécurisation des véhicules électriques immobilisés directement sur le lieu d’intervention
  • Transport de véhicules
    (ferries, Transport maritime,transport aerien ,trains, logistique, élimination).Les véhicules électriques à proximité d’autres véhicules peuvent être sécurisés pour prévenir l’échappée et la propagation des flammes. Cloisonnement des aires de stationnement pour les véhicules électriques.
  • Postes de travail à haute tension, par ex. Par exemple, les ateliers automobiles
  • et ainsi de suite

AUTRES APLLICATIONS

  • Véhicules électriques tels que les scooters électriques, les voitures électriques, les chariots élévateurs électriques
    (chariots élévateurs électriques) etc.
  • Outils fonctionnant sur batterie tels que visseuses sans fil, taille-haies, robots tondeuses, etc.
  • batteries de vélos électriques
  • et ainsi de suite

Etude sur les outils destinés à la protection des oeuvres
patrimoniales en cas d’un risque incendie

Etude sur les outils destinés à la protection des oeuvres patrimoniales en cas d’un risque incendie

PARKINGS ET INCENDIES

le CGEDD et l’IGA préconisent la mise en place d’une réglementation et formule une douzaine de recommandations pour réduire les conséquences des incendies qui pourraient se déclarer dans les parkings couverts

Dans un rapport de 131 pages, le CGEDD et l’IGA préconisent la mise en place d’une réglementation et formule une douzaine de recommandations pour réduire les conséquences des incendies qui pourraient se déclarer dans les parkings couverts alors que les véhicules électriques y sont toujours plus nombreux.

Première remarque : le travail apparaît très fouillé sans chercher à accabler l’électromobilité face aux véhicules thermiques. Au contraire, les auteurs ont recensé plusieurs facteurs aggravants communs. Au-delà de l’énergie d’alimentation des véhicules, ils auraient à eux seuls nécessité la recherche d’une réglementation plus adaptée que les différents textes se chevauchant éventuellement et parfois même s’opposant.

Il s’agit déjà du développement de véhicules plus volumineux. Les SUV et monospaces par exemple, favorisent le transfert du feu d’un engin à l’autre, et ainsi la rapidité d’évolution dans des lieux où la visibilité devient vite réduite pour les secours, et la chaleur insoutenable.

MATIÈRES PLASTIQUES

Autre facteur aggravant qui ne cible pas les véhicules électriques : l’augmentation des matières en plastique qui conduit déjà « à des incendies difficilement maîtrisables » où des dizaines, des centaines, voire des milliers d’engins peuvent être détruits. Il en résulte un « effet four » qui accélère la propagation et empêche les interventions.

Elle fragilise aussi la structure des bâtiments au point de provoquer leur effondrement et de devoir évacuer voire condamner les immeubles d’habitation construits au-dessus.

DES MOYENS DE LUTTE INADAPTÉS AUX PARKINGS COUVERTS

Davantage sujettes à des départs d’incendie les voitures électriques ? Le rapport indique au contraire que les risques sont « comparables » à ce niveau entre les VE et les modèles essence ou diesel. En revanche, les rédacteurs pointent la petite mobilité. Les vélos et trottinettes électriques, par exemple, seraient bien plus dangereux et potentiellement meurtriers, nécessitant de les rassembler dans un local pourvu de sécurités spécifiques.

Si les voitures électriques ne provoquent pas dans les parkings couverts davantage d’incendies, ces derniers peuvent être plus violents, et éteindre définitivement les flammes pose des problèmes particuliers. Les rédacteurs ont étudié les moyens jusque-là utilisés ou conseillés pour intervenir sur des VE. Si certains sont exploitables pour un seul véhicule en extérieur, ce n’est plus le cas en souterrain avec une visibilité réduite et en procédant dans l’urgence pour éviter la propagation.

Impossible d’imaginer plonger alors des dizaines de voitures, chacune dans un bac individuel contenant plusieurs dizaines de milliers de litres d’eau. L’idéal serait un système présent au niveau des batteries. Mais il semble limité à des engins lourds sur lesquels il est plus facile de prévoir une poche plus ou moins volumineuse de produit pour éteindre l’incendie au cœur des packs. Plus pratiques et efficaces sont les couvertures anti-feu qui vont étouffer l’incendie et réduire ainsi la température, sans toutefois l’éteindre.

RECHARGE OU PAS DANS LES PARKINGS ?

Le CGEDD et l’IGA n’émettent pas de réserves particulières pour l’installation d’infrastructures de recharge en courant alternatif allant de la prise renforcée aux bornes 22 kW. Dès lors bien sûr que les normes et contraintes d’installation sont respectées. Les rédacteurs ne s’opposent donc pas aux orientations impulsées par le gouvernement en ce sens, notamment à travers la loi d’orientation des mobilités (LOM) et des textes qui en découlent.

Ils se montrent en revanche plus prudents au sujet de la recharge en courant continu à plus ou moins haute puissance. Notamment en raison de l’adaptation nécessaire du réseau électrique pour accepter des intensités supérieures, du coût des travaux et de celui de la fourniture de l’énergie.

Ce qui les inquiète surtout, « même si aucun incident de ce type n’a été rapporté à la mission », c’est que « les fortes intensités de courant peuvent être sujettes à des élévations importantes de température pouvant causer des dysfonctionnements voire des débuts d’incendies ». D’où un déploiement prudent en attendant 2025 où un nouvel examen les concernant pourra être effectué selon les retours futurs d’expérience et l’enregistrement ou non de sinistres majeurs spécifiques.

RECOMMANDATIONS

Le rapport espère une évolution et une harmonisation de la réglementation en matière de sécurité incendie dans les parkings couverts. Avant de formuler leur douzaine de recommandations, les rédacteurs ont recherché ce qui se pratique à l’étranger dans le domaine. Sans être exhaustif, on trouve déjà dans leurs propositions la création d’une banque de données concernant les incendies de véhicules électriques et la mise en place d’un lieu d’analyse les concernant, qui pourrait être conjoint avec les représentants des assurances.

Plus difficile sans doute : imposer aux constructeurs de véhicules légers et lourds électriques de trouver un moyen d’éteindre en quelques minutes et avec seulement quelques centaines de litres d’eau un feu se déclarant dans la batterie. Ce dispositif pourrait faire l’objet d’une prise en compte dans la notation Euro NCAP. Les mêmes industriels pourraient établir un partenariat à l’échelle européenne avec les services de secours pour l’adoption des bonnes procédures d’intervention.

En intégrant l’obligation en particulier de s’équiper de couvertures anti-feu et de sprinklers, les parkings devraient être soumis à de nouveaux calculs de résistance en tenant compte de la présence de véhicules électriques. Des essais de maîtrise d’incendie en conditions réelles seraient réalisés, en complément d’une formation plus adaptée.

RAPPORT

COUVERTURE EXTINCTION PROTECH SENTINEL

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