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🚨🚒 #protechsentinel propose une couverture spéciale anti feu 🔥 de voiture à installer dès l’émanation des premières fumées afin d’éviter toute propagation.
La couverture / bâche PROTECH-SENTINEL EST capable de retenir les effets nocifs d’un incendie dû aux batteries lithium-ion, pourrait-elle limiter l’effet domino qui est normalement généré dans les espaces confinés? Tant qu’il n’y a pas de route unique sur l’agent extincteur à utiliser, pourrait-il s’agir d’un moyen de travailler sur la protection passive dans des zones dédiées?
Évolution du risque d’incendie en parking avec les véhicules électriques
Un constat inquiétant
Le retour d’expérience récent montre que des incendies significatifs se produisent régulièrement dans les parcs de stationnement dans le monde, ce qui pose des questions sur l’efficacité des mesures de protection contre l’incendie.
Nos voisins étrangers ont vécu ces dernières années des incendies particulièrement dévastateurs (environ 1400 voitures brûlées à Liverpool en 2018, des centaines de voitures brûlées dans un centre commercial à Brooklyn en 2018, 300 voitures brûlées en 2020 dans un parking en superstructure de l’aéroport de Stavanger, qui a fini par s’effondrer).
Le ferry « Felicity Ace » a coulé en 2022 avec 4000 voitures à bord (500 millions de dollars de pertes) vraisemblablement à cause d’un feu de véhicules électriques, les systèmes anti-incendie n’étant pas parvenus à circonscrire le feu naissant.
On se souvient en France de l’incendie de la rue Riquet, qui a causé la mort de 2 pompiers dans l’effondrement d’un garage en superstructure, à Paris en 2007. Un pompier est également décédé au cours de l’incendie d’un parking souterrain à Choisy-le-Roi en 2018 (30 h d’intervention).
Des risques variés
Jusqu’à présent, les usagers présents dans les parkings au moment des incendies étaient généralement peu nombreux, et ils ont eu le temps de se mettre à l’abri avant que les conditions ne deviennent létales pour eux.
Mais il arrive parfois que de nombreux véhicules forment un bouchon pour quitter simultanément un parking (à la fin d’un évènement par exemple, quand tout le monde quitte les lieux en même temps), ce qui peut représenter des conditions particulièrement aggravantes si un incendie se déclare à ce moment-là. Le retour d’expérience des incendies en tunnel montre que le comportement humain peut mettre les personnes en danger dans ce contexte particulier où il faut abandonner son véhicule pour se mettre à l’abri.
Les dangers relatifs aux incendies en parking concernent en premier lieu les services de secours qui rentrent dans l’ouvrage pour lutter contre le feu. Les conditions de température et de visibilité sont souvent très dégradées, en particulier dans les ouvrages souterrains où il faut pénétrer dans la fumée pour s’approcher de l’incendie. Dans ces conditions, il est très difficile d’apprécier correctement la stabilité au feu des structures.
Que change l’arrivée massive des véhicules électriques en parking ?
Il est légitime de se demander si l’augmentation du nombre de véhicules électriques induit un accroissement significatif ou non des risques liés à l’incendie, par la présence des véhicules eux-mêmes, mais aussi par celle des stations de recharge, qui sont des sources d’énergie et de défaillance technique additionnelles.
De façon sommaire, il est annoncé dans la littérature scientifique que les incendies de véhicules électriques atteignent des puissances assez comparables à celles des incendies de véhicules thermiques de même génération. De même, la production d’espèces toxiques serait assez semblable, en dehors de quelques gaz spécifiques comme le fluorure d’hydrogène qui est présent en plus grande quantité avec les véhicules électriques actuels utilisant les batteries Li-ion.
Mais la puissance maximale ne suffit pas à caractériser le risque d’incendie. C’est toute l’évolution de la puissance au cours du temps qui compte : vitesse de montée en puissance pour le risque associé aux usagers pendant les premières minutes, et surtout durée de l’incendie influençant directement les sollicitations thermiques vers les structures ainsi que les conditions d’intervention des secours.
Les véhicules électriques semblent être moins sujets aux départs de feu spontanés par défaillance technique que les véhicules thermiques. Cependant, le retour d’expérience est actuellement très limité, car le parc des véhicules électriques est encore récent et en bon état. Les statistiques doivent être comparées aux véhicules thermiques de même âge pour être pertinentes.
Revoir notre appréciation du risque
Une autre question importante demeure, au sujet de la propagation du feu entre les véhicules garés dans le parking. On sait que les batteries Li-ion présentent aussi un risque d’emballement thermique sous l’effet d’un flux thermique extérieur. Or, la batterie en feu peut émettre des jets enflammés susceptibles d’impacter directement la batterie du véhicule voisin. Ceci pourrait conduire à des incendies qui se développent plus rapidement entre des voitures électriques garées les unes à côté des autres.
Des nouvelles difficultés d’intervention pour les pompiers
Il est partout observé que les incendies de véhicules électriques demandent beaucoup plus d’efforts pour être éteints, avec des risques significatifs de reprise d’incendie et une quantité d’eau nécessaire beaucoup plus importante pour arriver à refroidir suffisamment les batteries.
La durée d’intervention des pompiers en parking est ainsi susceptible de se trouver sensiblement allongée. Elle doit en tout état de cause rester largement compatible avec la tenue au feu des structures, en incluant la phase de refroidissement de la structure, jusqu’à refroidissement complet du véhicule.
Quelques mesures pour améliorer la sécurité incendie
S’il est démontré que le risque de propagation entre véhicules ne peut être suffisamment réduit, alors des mesures de compartimentage additionnelles pourraient s’avérer nécessaires pour empêcher la généralisation du feu à des dizaines ou des centaines de véhicules dans un même parking.
Les structures porteuses, dont la ruine aurait des conséquences désastreuses (effondrement en chaine, stabilité des bâtiments voisins, etc.), doivent absolument être conçues et protégées efficacement contre les incendies les plus sévères.
Les systèmes d’aspersion d’eau comme les sprinklers restent un moyen actif robuste et bien connu pour limiter l’échauffement des structures. Les système de brumisation ont probablement des atouts à faire valoir dans les parkings souterrains, en réduisant les dégâts collatéraux dus à l’arrosage.
Le désenfumage contribue à évacuer de la chaleur, mais les débits réglementaires n’offrent qu’une protection partielle dans les parkings souterrains, surtout face à l’incendie simultané de plusieurs véhicules. Le désenfumage devrait être conçu dans la mesure du possible principalement pour aider les secours à identifier le foyer et à y accéder.
L’emballement thermique des batteries peut aussi être à l’origine de départs de feu tardifs. Certains recommandent, par précaution, d’évacuer des parkings les véhicules électriques qui ont pu être exposés à la chaleur en cas d’incendie.
Des progrès nécessaires
Les constructeurs automobiles et les équipementiers améliorent continuellement le pilotage des batteries avec des BMS de plus en plus performants, ce qui contribue à réduire les risques de départ de feu spontanés sur les véhicules. L’expertise se développe rapidement dans ce domaine.
En parallèle, la mise à niveau des parkings existants pour accueillir les véhicules électriques en sécurité pourrait passer par les mesures suivantes :
renforcement de la protection au feu des structures critiques, tenant compte de scénarios d’incendie aggravés, avec échauffement possible de plus grandes zones dans les parkings
compartimentage additionnel
généralisation des systèmes d’aspersion d’eau pour limiter l’échauffement des structures et ralentir la propagation du feu
procédures d’intervention spécifiques pour les pompiers
surveillance accrue des véhicules en charge (détection de chaleur, de gaz ou de fumée, précurseurs des incendies)
COUVERTURE ANTI-FEU FEU PROTECH-SENTINEL
Maîtriser rapidement les incendies de véhicules électriques.
Couvertures anti-feu de première qualité à utiliser sur les véhicules électriques en feu (autos, motos et autres). La couverture d’extinction PROTECH-SENTINEL est placée sur le véhicule électrique accidenté comme mesure préventive pour arrêter un éventuel incendie. En cas d’incendie, la couverture anti-feu est placée sur le véhicule en feu. Le feu peut brûler sous la couverture de manière contrôlée. Le refroidissement à l’eau est conseillé .
La couverture anti-feu PROTECH-SENTINEL assure une protection incendie sûre grâce à des fibres de verre spéciales et à un revêtement en silicone dense. Elle étouffe le feu d’un véhicule à moteur conventionnel en peu de temps , réutilisable et surtout sans eau donc ecologique .
Le feu est étouffé immédiatement après avoir posé la couverture d’extinction PROTECH-SENTINEL sur le feu. Dans le cas d’incendie de batteries, la batterie se consume de manière contrôlée sous la couverture, avec une température ambiante et un dégagement de fumée considérablement réduits. Grâce au revêtement spécial en silicone, la pénétration de la saleté, des toxines et de l’oxygène est réduite. Empêche efficacement la propagation du feu aux objets environnants après seulement quelques secondes. Réduit fortement le développement de la fumée – le trafic automobile peut ainsi être libéré plus rapidement. Respectueux de l’environnement – aucune contamination comme avec l’eau/la mousse. Economise les ressources – les couvertures anti-feu PROTECH-SENTINEL peuvent être utilisées plusieurs fois, toujours tributaire de la charge calorifique respective. Haute résistance à la déchirure grâce au tissu en fibre de verre avec revêtement en silicone sur les deux faces Livraison dans un sac de transport, dans une boîte métallique
Utilisation pour véhicules à moteur conventionnel
Etouffe le feu en peu de temps
La couverture d’extinctionpeut être enlevée après avoir étouffé le feu
Réutilisable plusieurs fois
Utilisation pour véhicules électriques ou hybrides
Empêche la propagation du feu aux objets environnants
Brûlage contrôlé à température ambiante réduite et dégagement minimal de fumée
Retarde et/ou étouffe (selon la situation) le processus d’incendie des éléments de la batterie
Si la batterie s’enflamme, il ne faut surtout pas arroser avec de l’eau. Il faut éteindre le début d’incendie avec du sable. Vous pouvez sinon utiliser un extincteur spécial feu électrique si vous en avez un chez vous.
La batterie ne va pas s’enflammer tout de suite. Si vous constatez que la température augmente anormalement, il faut prendre vos précautions : sortir le vélo dehors, enlever la batterie (si c’est encore possible).
Quels sont les causes des incendies?
Ce genre d’accident est extrêmement rare. Un incendie peut se déclencher si la batterie est endommagée.
Choc sur la batterie : Si votre batterie est tombée / a reçu un choc, il faut la surveiller pendant 15 minutes après l’incident (présence de fumées, température anomale…). Nous vous conseillons également de l’emporter chez un professionnel pour vérifier qu’elle est en bon état de fonctionnement.
Mauvais usage : bien sûr, il ne faut pas chercher à ouvrir ou à faire l’entretien d’une batterie de vélo.
Chargeur non compatible : Votre batterie doit toujours être rechargée avec le chargeur agréé par la marque.
1ère recharge après l’hiver : si vous n’avez pas respecter les consignes pour stocker votre batterie, celle-ci peut s’endommager. Nous vous recommandons donc de surveiller les premières recharges qui ont lieu après la phase d’hivernage.
Recharge sur moquette, matériau inflammable : Veillez à faire la recharge sur une surface non inflammable.
les dangers des batteries lithium.Les batteries endommagées présentent des risques d’emballement thermique, des risques de court-circuit, des risques chimiques dus aux fuites d’électrolyte, des risques d’incendie dus à l’exposition du lithium à humidité de l’air et des risques d’explosion en cas d’emballement de la combustion.
Les batteries au lithium sont aujourd’hui utilisées dans un nombre important de secteurs, pour répondre aux besoins d’équipements portables, de transport électrique ou de stockage d’énergies renouvelables. Elles exposent leurs utilisateurs à des risques professionnels (électriques, chimiques, incendie et explosion, TMS). Quelques conseils pour évaluer ces risques et principales mesures de prévention à mettre en place…
Un enregistrement vidéo montre le départ du feu qui a entièrement consumé un bus électrique de la RATP ce vendredi 29 avril. L’incident n’a pas fait de blessé.
Le bus s’est embrasé en quelques secondes. C’est ce que l’on peut observer sur la vidéo qui a capturé le tout début de l’incendie d’un véhicule électrique de la RATP à Paris, ce vendredi 29 avril. Sur les images, on peut voir une petite explosion se produire sur le toit du bus, là où sont situées les batteries, suivie d’immenses flammes qui se sont étendues à toute la carrosserie, à une vitesse folle.
Le probleme des batteries Lithium !!
Le dangers qui est entrain d arriver ,se sont surtout les les velos electrique Constat et problématique :Les critères de sécurité concernant la mise sur le marché européen des EPDM ne sont pas systématiquement appliqués. De nombreux produits importés sont susceptibles d’êtrenettement moins fiables lorsqu’ils atteignent 500 cycles de recharge, soit une durée de vied’environ 3 ans. Un vieillissement prématuré est notamment constaté en cas d’usage intensif, sous la pluie, dans des mauvaises conditions (décharges profondes, non-respect des plages de tension et de température…), cumulé à d’autres avaries et potentiels défautsinhérents au niveau de qualité du produit.Tous les mois, l’actualité fait le constat de graves sinistres incendie suite à l’explosion d’une batterie, principalement à domicile pendant la recharge
En décembre 2017, les employés d'ecomaine ont agi rapidement pour éteindre un incendie qui s'est rapidement propagé dans son centre de recyclage. Cet incendie a été causé par une batterie au lithium-ion, qui ne doit JAMAIS être placée dans votre bac de recyclage à tri unique !
Lorsqu'une batterie lithium-ion entre dans le flux de recyclage des batteries au plomb, les conséquences peuvent être très graves.
Ce sont de vieux rasoirs electriques, des batteries d’ordinateurs ou d’aspirateurs que l’on jette sans se soucier de leur destination. Mais ces objets contiennent en fait des batteries au lithium-ion qui prennent feu quand on les écrase. Elles peuvent provoquer de grands incendies dans les déchetteries qui recyclent le métal. C’est un enjeu à la fois écologique et social.
LES BATTERIES LITHIUM
Les batteries Lithium-Ion sont une technologie relativement récente. Mais depuis leur lancement au début des années 90, elles ont eu un impact considérable sur le marché du stockage d’énergie et ont progressivement remplacé les anciennes technologies. Aujourd’hui, les batteries au lithium sont indispensables pour notre vie quotidienne : elles sont petites et efficaces, et donc intéressantes pour de nombreuses applications. Non seulement les smartphones et les tablettes tirent leur énergie des batteries au Lithium, mais celles-ci jouent également un rôle important dans le domaine de l’électromobilité. Une batterie au lithium se distingue notamment par sa densité d’énergie élevée, son faible poids propre et sa technologie de charge rapide.
Le revers de la médaille : vous entendez toujours parler d’incidents liés aux batteries lithium-Ion. Incendie dans un garage causé par la batterie d’un vélo électrique en 2017, décès lors de l’explosion d’un chargeur de batterie en 2018… Le fait est que les explosions et les incendies de batteries lithium-Ion peuvent avoir des conséquences désastreuses, entraînant des dommages conséquents ou, dans le pire des cas, un coût en vies humaines. C’est pourquoi il devient urgent d’aborder la question de la manipulation et du stockage sécurisé, non seulement pour les particuliers mais surtout pour les entreprises. Ainsi, la loi sur la sécurité au travail demande aux employeurs d’identifier et d’évaluer les dangers, afin de mettre en œuvre des mesures de protection adaptées.
MAIS UN TRES DANGER, ET CHEZ LES PARTICULIERS
Les batteries au lithium sont aujourd’hui utilisées dans un nombre important de secteurs, pour répondre aux besoins d’équipements portables, de transport électrique ou de stockage d’énergies renouvelables. Elles exposent leurs utilisateurs à des risques professionnels (électriques, chimiques, incendie et explosion, TMS). Quelques conseils pour évaluer ces risques et principales mesures de prévention à mettre en place…
Le problème des batteries Lithium !!
Le dangers qui est en train d’arriver, se sont surtout les vélos électrique Constat et problématique : Les critères de sécurité concernant la mise sur le marché européen des EPDM ne sont pas systématiquement appliqués. De nombreux produits importés sont susceptibles d’être nettement moins fiables lorsqu’ils atteignent 500 cycles de recharge, soit une durée de vie d’environ 3 ans. Un vieillissement prématuré est notamment constaté en cas d’usage intensif, sous la pluie, dans des mauvaises conditions (décharges profondes, non-respect des plages de tension et de température…), cumulé à d’autres avaries et potentiels défauts inhérents au niveau de qualité du produit. Tous les mois, l’actualité fait le constat de graves sinistres incendie suite à l’explosion d’une batterie, principalement à domicile pendant la recharge
COMMENT FONCTIONNE UNE BATTERIE LITHIUM-ION ?
Afin de pouvoir évaluer les risques posés par le stockage de batteries au lithium, il est très utile de connaître leur fonctionnement. Tout d’abord, il est important de savoir qu’il n’existe pas « une » batterie de Lithium. À la place, il y a une variété de systèmes de stockage d’énergie différents dans lesquels le lithium est utilisé à l’état pur ou sous forme liée. Plus précisément, une distinction est faite entre les cellules lithium-ion primaires (non rechargeables) et secondaires (rechargeables). Dans l’usage courant, on se réfère généralement à ces dernières lorsque l’on parle de batteries lithium-ion, ou mieux encore, d’accumulateurs lithium-ion.
Un bloc de batterie est composé de plusieurs cellules en fonction de la puissance. Chaque cellule Lithium-Ion comprend une électrode positive, l’anode, et une électrode négative, la cathode. Entre elles se trouve un électrolyte conducteur d’ions. Il garantit le transport des ions lithium entre les électrodes pendant le processus de charge ou de décharge. Les accumulateurs Lithium-Ion, dans lesquels un électrolyte liquide est utilisé, constituent la forme la plus connue de dispositifs de stockage d’énergie au lithium. Le séparateur est également un élément important. Il empêche le contact direct entre l’anode et la cathode, et évite ainsi un court-circuit. Lors du déchargement, des ions lithium et des électrons sont libérés du côté de l’anode. Les électrons traversent le circuit externe et effectuent le travail électrique. Pendant ce temps, les ions lithium migrent à travers le liquide électrolytique et à travers le séparateur vers la cathode. Lors du chargement, ce processus est inversé.
Selon le système, la structure et les matériaux utilisés peuvent varier en fonction de la batterie Lithium-Ion. Dans l’accumulateur lithium-polymère, l’électrolyte est incorporé dans la structure moléculaire d’un film polymère. Cela permet de se passer d’un séparateur indépendant. Les batteries au lithium-polymère ne peuvent délivrer que de faibles courants de décharge. Cependant, le film polymère a un design plat, ce qui explique pourquoi ce stockage d’énergie est particulièrement utile pour les téléphones et ordinateurs portables. La batterie au lithium à film mince est un accumulateur d’énergie dans lequel l’électrolyte est remplacé par un gaz à conduction ionique. Cela permet d’utiliser du lithium-métal et donc une densité d’énergie extrêmement élevée. Aujourd’hui, cette technique est une partie importante de la recherche sur les accumulateurs lithium.
PROPRIÉTÉS CHIMIQUES D’UNE BATTERIE LITHIUM-ION
Les entreprises doivent préparer et mettre à disposition une fiche de données de sécurité pour les batteries au lithium. Elle contient généralement de précieuses informations sur le stockage et la manipulation des batteries. Toutefois, on peut aussi souvent trouver des informations sur la composition chimique, qui renseignent sur la dangerosité du produit. Fondamentalement, une pile au lithium peut être divisée en anode (électrode positive), électrolyte liquide et cathode (électrode négative).
Le graphite (C) est généralement utilisé comme matériau anodique, qui n’est pas soumis à un étiquetage obligatoire conformément au règlement SGH.
De nombreux matériaux différents sont utilisés pour la cathode. La composition exacte du matériau de la cathode détermine de manière significative des propriétés telles que la durée de vie, les temps de charge et les performances. Le fer, le manganèse, le dioxyde de cobalt ou le nickel sont souvent utilisés dans la cathode.
L’électrolyte liquide est constitué d’un solvant organique et d’un sel conducteur. Bien qu’il existe une grande variété de solvants possibles, l’hexafluorophosphate de lithium (LiPF6) est presque exclusivement utilisé comme sel conducteur.
Liquide électrolytique = solvant organique + sel conducteur (LiPF6)
La composition chimique exacte du mélange de solvants en question est généralement un secret de fabrication. Toutefois, en consultant les différentes fiches techniques, on peut obtenir un aperçu des composants utilisés. Les points d’éclair des composants du solvant vont de +160°C à une température partiellement inférieure à 0°C. Cela explique l’instabilité thermique d’une batterie au lithium.
Le sel conducteur contient du fluor (F), entre autres. La libération d’acide fluorhydrique (HF) sous forme non concentrée peut entraîner diverses situations dangereuses dans une batterie au lithium endommagée.
QUELS SONT LES DANGERS DES BATTERIES LITHIUM-ION ?
Avec les normes de fabrication actuelles, les batteries au lithium sont considérées comme relativement sûres. En règle générale, le fabricant effectue différents tests de sécurité avant de mettre les produits (en série) sur le marché. Par exemple, le transport de batteries lithium-ion est autorisé seulement si un certificat de test conforme à la section 38.3 du Manuel d’épreuves et de critères de l’ONU est fourni. Pour obtenir ce certificat, il faudra effectuer avec succès une série de tests dans lesquels les batteries sont testées dans diverses conditions de transport. Celles-ci incluent notamment :
Simulation d’altitude
Test thermique
Vibrations
Coups
Court-circuit externe
Test d’impact / de compression
Surcharge
Décharge forcée
Étant donné que les batteries utilisées lors de ces tests peuvent être sollicitées au-delà de leurs limites de charge, elles sont soumises à des mesures de sécurité particulières.
Afin d’augmenter la sécurité des batteries Lithium-Ion, les fabricants peuvent déjà les équiper avec divers dispositifs de sécurité au niveau cellulaire. Si un électrolyte inflammable est utilisé à l’intérieur de la cellule, des additifs ignifuges peuvent par exemple être ajoutés pour assurer une meilleure protection. Le stockage de l’accumulateur dans un boîtier résistant à la corrosion avec de la mousse ignifuge peut également être une mesure efficace.
Néanmoins, il est important de faire particulièrement attention aux batteries Lithium-Ion, car elles peuvent toujours provoquer des incendies dangereux. Par exemple, si les batteries Lithium-Ion sont mal manipulées ou stockées, elles peuvent poser un risque de sécurité important. Le danger provient d’abord de la conception même de la batterie. La rencontre entre des matériaux à haute densité énergétique et des électrolytes très inflammables est l’exemple même d’un mélange dangereux. Cela devient particulièrement dangereux lorsqu’une batterie au lithium libère de manière incontrôlée l’énergie qu’elle a stockée. Car dès que la chaleur générée dépasse le point de fusion du séparateur, une réaction en chaîne incontrôlable se produit, le redouté « emballement thermique ».
L’EMBALLEMENT THERMIQUE, OU « THERMAL RUNAWAY »
L’énergie thermique élevée conduit d’abord à l’évaporation de l’électrolyte, créant ainsi de la chaleur supplémentaire et des gaz combustibles. Si la pression dépasse un certain point, les gaz inflammables sont libérés et forment un mélange inflammable avec l’air : des flammes apparaissent à l’extérieur de la batterie. Le courant thermique d’une seule cellule suffit à chauffer les cellules voisines du bloc de batterie jusqu’à une forte réaction en chaîne aux conséquences graves. Une fois cette réaction en chaîne enclenchée, il ne faut que quelques minutes pour que la batterie brûle de manière explosive. De tels incendies avec des batteries au lithium sont difficiles à contrôler et le feu se propage rapidement. Les pompiers n’ont souvent pour tâche que de protéger les zones avoisinantes.
CAUSES FRÉQUENTES D’INCENDIE
En fonctionnement normal, les batteries au lithium sont considérées comme sans risque. Cependant, cela n’est vrai que si tout le monde sait les utiliser correctement. Si les batteries lithium-ion sont mal manipulées ou mal stockées, par exemple, elles peuvent présenter un risque important pour la sécurité. On ne peut pas toujours exclure d’emblée les défauts techniques à l’usine.
CES TROIS ASPECTS SONT PARTICULIÈREMENT DANGEREUX :
SURCHARGES ÉLECTRIQUES
DOMMAGES MÉCANIQUES
SURCHARGES THERMIQUES
SURCHARGES ÉLECTRIQUES
Un risque typique lors de la manipulation des batteries au lithium est à vrai dire assez courant, à savoir la charge et la décharge. Une surcharge électrique peut se produire ici pour plusieurs raisons, par exemple avec l’utilisation d’un chargeur inadapté.
Suite à une décharge complète, un incendie peut également s’enclencher. Si les batteries lithium-ion ne sont pas utilisées pendant une longue période, elles peuvent se décharger complètement. Des conditions de stockage incorrectes, par exemple, un stockage en dehors de la température recommandée par le fabricant, peuvent favoriser cet effet (par exemple, les températures extérieures froides, notamment pendant les mois d’hiver). Dans ce cas, le liquide électrolytique se décompose et par conséquent, des gaz facilement inflammables se forment. Si l’on tente ensuite de recharger les batteries complètement vidées, l’énergie fournie ne peut plus être convertie correctement en raison du manque de fluide électrolytique. Cela peut provoquer un court-circuit ou un incendie.
DOMMAGES MÉCANIQUES
Lors de la manipulation de batteries lithium-ion, il y a toujours un risque d’endommagement. Des collisions avec des véhicules en marche, une chute sur un sol dur ou une compression dans des conditions de stockage incorrectes ne sont que quelques exemples de dommages mécaniques. En cas de déformation des cellules, cela peut entraîner un court-circuit interne et un incendie de la batterie. De plus, les impuretés dans la production des cellules elles-mêmes ne peuvent pas être exclues à 100%. Dans de rares cas, il est possible que des particules faussement libérées dans la cellule pendant la production les endommagent de l’intérieur avec le temps. Ici aussi, des courts-circuits internes peuvent se produire.
SURCHARGES THERMIQUES
Les sources de chaleur ou d’énergie externes peuvent chauffer les batteries au lithium et donc provoquer un incendie à cause de la surcharge thermique. Les sources de danger typiques sont, par exemple, les feux ouverts, les pièces de machines chaudes ou le stockage en plein soleil.
Les contraintes thermiques peuvent affecter non seulement la durée de vie des batteries lithium-ion, mais aussi leur sécurité. N’exposez pas directement et durablement les accumulateurs à des températures élevées ou à des sources de chaleur. Cela inclut également la lumière directe du soleil. L’exposition prolongée au froid doit également être évitée, car elle favorise les décharges profondes lors de l’utilisation. Si des batteries profondément déchargées sont ensuite reconnectés à un chargeur, un incendie peut également se déclarer. Respectez donc les températures de fonctionnement et de stockage recommandées par le fabricant.
Le contact avec l’humidité (par ex. précipitations, condensation ou éclaboussures d’eau) peut provoquer un court-circuit de l’accumulateur. C’est pourquoi vous devez toujours stocker les batteries au lithium dans un endroit sec et les protéger de l’humidité pendant le transport et l’utilisation.
L’une des causes les plus fréquentes d’incendie de batteries, surtout à la maison, est l’utilisation de chargeurs incompatibles. Celles-ci peuvent, par exemple, avoir une tension plus élevée que celle nécessaire à la batterie et la détruire. Par conséquent, n’utilisez que des chargeurs destinés à être utilisés avec votre modèle de batterie.
En plus de l’utilisation de chargeurs incorrects, il existe d’autres risques lors du processus de charge. Ne chargez pas les batteries au lithium pendant de longues périodes lorsqu’elles ne sont pas utilisées. En outre, les objets inflammables à proximité ne sont pas une bonne idée. Si possible, placez la batterie sur un sol en béton ou en carrelage pendant la charge. Si vous souhaitez stocker des batteries par la suite, un niveau de charge d’environ 30% est recommandé. Cela réduit la quantité d’énergie pouvant causer des dommages en cas d’urgence. Attention : Il doit toujours y avoir un certain niveau minimum de charge pour éviter une décharge profonde. Dans ce cas-là, suivez les instructions du fabricant.
Les dommages mécaniques peuvent entraîner la déformation des cellules à l’intérieur de la batterie et provoquer des courts-circuits internes. Par conséquent, assurez-vous que les accumulateurs lithium-ion ne soient exposés à aucun choc, coup ou des collisions. Si quelque chose devait arriver, les batteries endommagées ne devraient plus être utilisées, mais enlevées immédiatement, stockées séparément et éliminées de façon appropriée. Par mesure de précaution, vous devez également fixer les pôles des batteries endommagées, par exemple à l’aide de capuchons polaires. Bien entendu, les batteries au lithium ne doivent pas être démontées, ouvertes ou écrasées.
LUTTE CONTRE LES INCENDIES DE BATTERIES AU LITHIUM
Que faire en cas d’incendie ? Les incendies de batteries lithium-ion sont considérés comme très difficiles à combattre. Les tentatives d’extinction des incendies avec des agents inertes classiques sont généralement infructueuses, car les batteries au lithium produisent elles-mêmes l’oxygène nécessaire à l’incendie. Lors du choix de l’agent d’extinction approprié, la taille et la quantité des batteries, mais aussi les conditions de fonctionnement jouent tout un rôle. En général, il est important d’évaluer les risques et les dangers individuels présents dans l’entreprise et de développer un concept d’extinction et de protection contre l’incendie approprié en coopération avec des experts et des assureurs.
EXTINCTION PAR L’EAU
Les avis divergent quant à l’utilisation de l’eau comme agent d’extinction. Le lithium étant très réactif, certains déconseillent de le mettre en contact avec l’eau. Cependant, des recherches récentes suggèrent que de plus grandes quantités d’eau sont capables de contenir et de combattre efficacement les incendies de lithium. Les explications données ici incluent l’effet de refroidissement, qui ralentit la réaction des cellules. Néanmoins, les grandes batteries, par exemple celles des voitures électriques en feu, représentent régulièrement un énorme défi pour les services d’incendie. Cela s’explique facilement par la structure d’une batterie de traction :
Fondamentalement, une grande batterie de traction se compose de nombreuses petites cellules qui sont reliées entre elles. Si une seule cellule chauffe, dans le pire des cas au milieu du module, les cellules voisines sont inévitablement chauffées elles aussi. Il en résulte une réaction en chaîne, qui conduit à une libération d’énergie beaucoup plus importante. Si la réaction en chaîne a été déclenchée à partir du centre de la batterie, il est presque impossible de l’atteindre avec un agent d’extinction, par exemple de l’eau, et donc d’arrêter ou de contenir la réaction. Si l’on essaie maintenant de refroidir un tel module, l’eau n’atteint que les couches extérieures ou le boîtier des batteries. La situation est différente avec les petits modules, où moins de cellules sont utilisées. Ici, le refroidissement externe a généralement un effet direct sur les cellules en réaction.
Cependant, une quantité d’eau nettement plus importante est nécessaire pour combattre l’incendie que dans les incendies classiques. Afin d’éteindre plus rapidement et, si possible, de réduire la quantité d’eau nécessaire, divers additifs peuvent être ajoutés à l’eau d’extinction. En cas de réaction, il y a également un risque que des substances nocives telles que l’acide chlorhydrique ou fluorhydrique soient sécrétées à l’intérieur de la cellule. Elles peuvent se présenter, par exemple, sous forme de vapeurs et nuire aux personnes par contact avec la peau ou par inhalation. Pendant le processus d’extinction, ils peuvent être dilués par l’eau d’extinction, s’infiltrer dans le sol (si aucun dispositif de rétention approprié n’est disponible) et causer des dommages environnementaux.
TECHNOLOGIE D’EXTINCTION PAR AÉROSOL
Une autre possibilité d’utiliser une technique d’extinction pour les feux de lithium est la technique d’extinction par aérosol. Il s’agit d’un système technique opérationnel en permanence qui est utilisé pour éteindre l’incendie jusqu’à ce que les pompiers arrivent pour l’éteindre définitivement. La technologie d’extinction fonctionne conformément à la norme EN 15276-10 sans ajout d’eau. Le générateur d’extinction interrompt effectivement le processus de combustion chimique dans un délai de 4,5 à 15 secondes (selon le modèle) lorsque la température augmente. Cette technologie est respectueuse de l’environnement et compatible avec l’homme (non nocive, ne déplaçant pas l’oxygène) et est, entre autres, répertoriée comme « agent d’extinction de substitution HALON » officiel par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (U.S.EPA). En raison du faible poids / volume d’installation et du fait qu’aucune tuyauterie n’est nécessaire, une installation facile et rapide est possible. Les coûts d’investissement et de suivi restent également faibles, car la technologie d’extinction par aérosol ne nécessite aucun entretien et a une longue durée de vie.
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