Saint-Omer Prev’Sécurité 62 révolutionne la protection des œuvres avec sa couverture anti-feu

AU CŒUR DES ENTREPRISES. À la tête de Prev’Sécurité 62, Bruno Saudemont, par ailleurs pompier volontaire à Saint-Omer, a mis au point une couverture anti-feu pour laquelle il s’est associé avec Gaëtan Fontaine et Apronor. Les plans de sauvegarde des œuvres (PSO) entrent aussi dans son champ de compétences.

Marion Clauzel | 22/04/2019 Voix du Nord

La couverture anti-feu permet de venir rapidement à bout d’un incendie de voiture.

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Des extincteurs à la couverture anti-feu

Au départ, Bruno Saudemont, pompier volontaire, est spécialisé dans les extincteurs. Il les installe et les entretient via sa société prestataire de services dans le domaine de la sécurité incendie, Prév’Sécurité 62, une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL). Il a aussi mis au point une couverture anti-feu, désormais commercialisée. C’est la société Apronor près de Rouen qui la fabrique. Pour ce projet, Bruno Saudemont s’est associé avec Apronor, et aussi avec Gaëtan Fontaine du cabinet conseil Influ-Anse à Lille. La marque Protech Sentinel a été déposée . La couverture anti-feu peut servir à protéger des flammes des œuvres non transportables, quand elle vient recouvrir une statue ou un tableau. Elle peut aussi permettre d’étouffer rapidement un incendie de voiture ou un feu de poubelle, sans avoir recours à l’arrosage. « Cette couverture à base de fibre de roche est imperméable à l’eau, lavable et recyclable », précise Bruno Saudemont.

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Des plans de sauvegarde des œuvres

Depuis 2018, Gaëtan Fontaine ne fait pas que la promotion de la couverture anti-feu mise au point par l’Audomarois Bruno Saudemont. Il essaie aussi de convaincre les musées et les bibliothèques de sauvegarder leurs œuvres, en adoptant des plans de sauvegarde des œuvres (PSO). Ce type de plan permet aux secours d’évacuer et de sauvegarder les œuvres présentes dans un établissement ou un monument selon un périmètre établi, en cas d’incendie. La cathédrale Notre-Dame de Paris, victime des flammes, lundi soir, bénéficiait d’un PSO. C’est aussi le cas du musée Sandelin à Saint-Omer qui a été l’un des premiers clients de Bruno Saudemont.

Bruno Saudemont et Gaëtan Fontaine, une pochette anti-feu à la main.
Bruno Saudemont et Gaëtan Fontaine, une pochette anti-feu à la main.

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Pour quels clients ?

Outre le musée Sandelin et son PSO, les clients de Bruno Saudemont sont très variés. Il a équipé en couvertures anti-feu le Château de Grignan ou encore un musée à Châlons-en-Champagne. Parmi ses clients, figurent aussi des privés qui veulent protéger des tableaux chez eux. Prev’Sécurité est contactée par Internet pour des demandes de devis. Reste que pour les couvertures, comme pour les PSO, c’est souvent le budget qui coince. Néanmoins, cela va se développer. Gaëtan Fontaine en est persuadé. « La France a besoin de reprendre en main son patrimoine. Stéphane Bern le fait à sa façon. Moi je peux le faire, en organisant des rédactions de PSO. »

http://www.prevsecurite62.fr

http://www.lavoixdunord.fr/node/571252/paywall?fbclid=IwAR22yfFx8cw5iDkfhLpaThuh3_cdBfhpokRZSYEDNscT5ktlsMLzfHGwIf4

LA VOIX DU NORD DE SAINT OMER PREV SÉCURITÉ 62

AU CŒUR DES ENTREPRISES

A LA TETE DE PREV SÉCURITÉ 62 ,BRUNO SAUDEMONT ,PAR AILLEURS POMPIER VOLONTAIRE A SAINT OMER A MIS AU POINT UNE COUVERTURE ANTI FEU POUR LAQUELLE IL S EST ASSOCIE AVEC BAPTISTE BIOCHE DE LA SOCIÉTÉ APRONOR.

LA VOIX DU NORD DE SAINT OMER


FEUX DE VOITURE

Incendie de Notre-Dame, les 10 leçons du drame

ARTICLE FACE AU RISQUE
David Kapp

Incendie de Notre-Dame, les 10 leçons du drame

Incendie de Notre Dame les 10 leçons du drame, crédits photo B. Moser BSPP

Le lundi 15 avril 2019, un incendie de grande ampleur a touché la cathédrale Notre-Dame de Paris. Alors que les cendres sont encore fumantes mais que l’incendie est circonscrit, il n’est pas trop tôt pour en tirer des enseignements
et constater déjà que rien ne sera comme avant.

16/04/2019 – David Kapp –  5min

Leçon n°1 : Le feu détruit

Risques cyber et changement climatique occupent les Unes des journaux – y compris les nôtres, mais l’incendie reste toujours le danger numéro 1 : pour les entreprises, pour le patrimoine, pour le public. Il ne faut pas l’oublier.

24 hectares de forêt avaient été nécessaires pour construire la charpente du toit de l’édifice. En moins de trois heures, deux tiers étaient consumés.

Le feu détruit… Il n’y a rien qui puisse être épargné. Quand ce ne sont pas les flammes ou la chaleur, ce sont les fumées qui réduisent à néant les bâtiments. Alors les eaux d’extinction finissent par achever les ruines encore fumantes.

Leçon n°2 : Il est possible de sauvegarder les œuvres

Certes les dégâts sont conséquents, mais il est toujours possible de sauver les meubles et les œuvres par une organisation méthodique. Le détachement des sapeurs-pompiers du Louvre aurait été à la manœuvre en soutien.

La 43e compagnie, Unité élémentaire spécialisée Louvre (UES Louvre), a été créée en 2008 selon le site de la Brigade. Elle est forte de 46 sapeurs-pompiers et a pour mission d’assurer la sécurité des personnes et des biens 24h/24 sur le site du musée du Louvre. Rattachée au Groupement des appuis et de secours (GAS) depuis 2011, elle est composée de deux centres de secours spécialisés (CSS) : le CSS Louvre (PC de compagnie) et le CSS Carrousel. Voir la leçon n° 8. En attendant, avec les conditions relevées sur le terrain, la sauvegarde des œuvres est un véritable succès.

Leçon n° 3 : Il n’y a pas de bon moment pour un feu

Personne ne connaît l’avenir. Hier devait se tenir la grande messe présidentielle et c’est un tout autre spectacle, tragique, qui s’est déroulé devant les yeux des badauds impuissants. Il n’y a jamais de bon moment pour un incendie, mais ils surviennent toujours quand il ne faut pas : à 18h50, alors que les bouchons battent leur plein dans la capitale, que les renforts sont difficiles à acheminer, dans un endroit exigu, sur la toiture, en restauration. La présence de la Seine à proximité immédiate a pu constituer un appui, mais le vent était particulièrement fort et soufflait en direction des tours ce qui était défavorable.

Leçon n°4 : Un feu lancé est toujours difficile à arrêter

On peut toujours dater, même après coup, le début d’un incendie mais il est plus difficile de savoir quand il sera maîtrisé et éteint. Au plus fort du sinistre, des températures de 1 000°C ont été relevées par les sapeurs-pompiers de Paris.

A ces températures, on imagine sans mal l’incroyable difficulté d’éteindre et de sauvegarder quoique ce soit. La ruine totale de l’édifice a été évitée et c’est en soi un miracle.

Leçon n°5 : Les travaux sont une zone sensible

Le travail des enquêteurs ne sera pas facile au regard des destructions. Le chantier était-il contrôlé ? Ce contrôle était-il informatisé et enregistré ? Y avait-il des autorisations spécifiques ? Des permis de feu étaient-il en cours et respectés ? Les questions ne manqueront pas d’être soulevées. Il faudra croiser les témoignages des ouvriers et vérifier les données matérielles.

Même si les travaux ne sont pas à l’origine de l’incendie, il n’y a pas de doute sur le fait qu’ils ont compliqué la tâche des sapeurs-pompiers, rendant difficile les accès, apportant du potentiel calorifique, fragilisant les cheminements…

Bien évidemment se pose la question de la responsabilité, mais dans un bâtiment qui, comme beaucoup d’œuvres uniques, n’est pas assuré parce qu’inassurable, ces responsabilités ne permettront pas de rattraper ou réparer ce qui a été détruit. Au plus nourriront-elles une vindicte populaire.

Leçon n°6 : Le patrimoine est fragile

Construite à partir de 1163, terminée en 1345, Notre-Dame de Paris était évidente et installée pour toujours. Personne ne peut supposer que tout est éternel. Tous les monuments et tous les édifices connaissent les mêmes risques et doivent être protégés. La poussée soudaine de certains risques, comme le terrorisme, ne doit pas occulter les autres risques permanents et toujours aussi prégnants. C’est aussi une leçon à actualiser dans d’autres endroits où un véritable tunnel émotionnel empêche de correctement graduer la menace.

Leçon n°7 : L’eau mouille

La stupidité n’a pas de frontière et dépasse même les murs qu’on érige pour se protéger. De l’autre côté de la frontière mexicaine, il est un président dans son royaume qui n’en est pas avare. Outre que l’eau mouille et fragilise, l’envoi d’une grande quantité d’eau depuis le ciel conduirait sous la pression à la ruine de l’édifice. On verra dans les jours prochains les dégâts des lances d’extinction pour finir de se convaincre qu’un largage d’eau, même d’un hélicoptère, est une aberration.

Leçon n°8 : Les détachements de la BSPP sont efficaces !

Alors que trois centres de secours se trouvent à moins de deux kilomètres et peuvent atteindre l’édifice en moins de deux minutes, la présence d’une équipe sur place aurait été un plus indéniable, surtout dans les premiers instants qui peuvent permettre d’éviter un emballement et correctement lever le doute.

Il existe des détachements de la BSPP dans les grands monuments de la capitale : le Louvre, le musée d’Orsay, la Bibliothèque nationale, les Archives nationales, et même à Kourou en Guyane, mais aucun à Notre-Dame de Paris. Comme tous les lieux symboliques de Paris, le monument doit gérer des évacuations sanitaires, des départs de feu qui seraient tous mieux gérés si la Brigade était sur place. La faute est sans doute au statut particulier de l’édifice.

Leçon n°9 : Les évacuations et périmètres de sécurité fonctionnent

Deux policiers et un sapeur-pompier ont été blessés pendant les neuf heures de combat contre les flammes. Mais aucune personne du public, venu pourtant nombreux, ou parmi les fidèles présents dans les premiers instants du drame n’a été blessée. C’est un succès ! Cela signifie aussi que l’équipe de sécurité sur place a bien fait son travail en privilégiant la sauvegarde du public.

Le succès est d’autant plus grand que les sapeurs-pompiers de Paris ont été confrontés à une terrible et effroyable fournaise et ont tout fait pour préserver les deux tours. Un exploit au regard des conditions particulièrement éprouvantes de l’incendie.

Leçon n°10 : On apprend difficilement du passé

Combien de fois ici-même avons-nous mis en lumière les dangers des travaux ou la fragilité du patrimoine vis-à-vis des risques ? En février dernier nous consacrions notre dossier aux travaux par point chaud. Combien d’incendies similaires ont été traités dans nos colonnes ? Dans notre prochain numéro, nous reviendrons sur le cas de Notre-Dame et notre dossier du mois, hasard du calendrier, sera consacré à l’utilité du retour d’expérience. Il n’est pas trop tard pour en prendre conscience.

David Kapp Rédacteur en chef Face au Risque

David Kapp
Rédacteur en chef

https://www.faceaurisque.com/2019/04/16/incendie-de-notre-dame-les-10-lecons-du-drame/?fbclid=IwAR01E66rQ8IQkcHZw_MtNnchUFCajJVrOTeFayxDFowWiNHAUN8vKflCUhI

La couverture anti feu pour voiture

la société Prev Securité 62 ,en 2013, Il a mis au point une couverture spéciale utilisée pour éteindre rapidement un incendie dans une voiture. La couverture de feu de voiture peut isoler rapidement la voiture pour éviter la propagation du feu. Montage facile par deux personnes et le feu en étouffe la privant d’oxygène, en réduisant les émissions de fumée.

Maintenant fabriqué sous le nom Protech-Sentinel

couverture feux de voitures Protech-Sentinel
Couverture spécialement pour éteindre les incendies dans les voitures

La couverture anti feu pour voiture, est-ce utile ?
Utile, pourquoi ?
Si un incendie survient dans votre véhicule suite à un accident par exemple, la couverture anti feu peut vous permettre :

d’éviter un embrasement du véhicule,
d’empêcher la propagation du feu à d’autres véhicules ou aux infrastructures environnantes,
d’arrêter efficacement l’émanation des fumées toxiques et opaques,
de limiter les dégâts occasionnés par le sinistre,
de faciliter le contrôle du sinistre par les pompiers.
Si les vêtements d’un des passagers présents dans le véhicule s’enflamment, la couverture anti feu devra servir à envelopper cette personne pour éviter qu’elle ne soit brûlée.

Comment s’en servir ?
Quel que soit le modèle, une couverture anti feu est très facile à utiliser. Elle se présente dans un boitier rigide ou souple et elle est composée d’une matière textile ignifugée ou d’une matière peu ou pas combustible.

Dans tous les cas, il suffit de tirer sur les deux rubans qui dépassent pour sortir la couverture de son boîtier, de la prendre par ses extrémités en enroulant ses mains à l’intérieur pour les protéger des flammes et de recouvrir la voiture ou le passagers touchés par le feu. Laissez là en place pendant une durée minimum de 20 minutes pour assurer l’étouffement complet du feu. L’idéal consiste à ce que ce soient les pompiers préalablement avertis qui se chargent de la retirer une fois sur place.
Comment l’entretenir ?
La couverture anti feu Protech-Sentinel n est pas à jeter suite à sa première utilisation . Si vous ne vous en êtes pas servi, il vous faut chaque année la sortir de son étui et l’examiner soigneusement.
Le 15 Juin 2019 
Nous serons à Lumbres avec les sapeurs-pompiers pour faire une démonstration de l’efficacité de nos couvertures.#prevesecurite62
#protechsentinel #lumbres #sdis62 #JonathanCARUSO #StéphaneCOLIN#JoëlleDELRUE

Protection incendie dans les musées : des solutions pour protéger le patrimoine

Pour relire les Enquêtes de Watson consacrées à la sauvegarde du patrimoine : http://bit.ly/2IwehT7
Avec des témoignages de Aude Mansouri de l’Association FFCR, Charlotte Le Grelles d’ HEPHATA Evènements & Châteaux, Nicolas Dias de la Fondation du Patrimoine (à l’époque de la parution de l’interview), Bruno Saudemont de Prévention Sécurité 
Merci encore Mon cher Watson (Aurélie Romand)pour l’article 
https://www.moncherwatson.fr/…/Protection-incendie-musees-p…
#incendienotredamedeparis
#protectiondesbiensculturels
#pso18fr
#prevsecurite62
#cathédrale
#Intervention#NotreDame

https://bit.ly/2IwehT7?fbclid=IwAR2i0E9A8n2BB7Z8I1u-faT07H_wgOI20BbDeQdKgyktM4xiUgfLzPLgov0

Protection incendie dans les musées : des solutions pour protéger le patrimoine

01/10/2018

parAurélie R.

Le 3 septembre dernier, l’incendie du musée de Rio au Brésil a ému le monde. 

Mon cher Watson a choisi d’enquêter sur la protection des œuvres d’art et artefacts conservées dans les musées. Feu, inondation, insecte, Watson va faire le tour des risques qui guettent notre patrimoine.


Pour ce premier chapitre, nous avons rencontré Bruno Saudemont, pompier volontaire et créateur de l’entre Prev Sécurité 62 qui met en place des stratégies de prévention contre les risques d’incendie dans les établissements recevant du public.

– Bonjour Bruno, pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel ?

Je suis sorti de l’école à 18 ans avec un CAP mécanicien auto. Je suis entré dans le monde du travail, en parallèle de mon activité de sapeur-pompier volontaire – activité que j’exerce toujours. Suite à un licenciement en 2010, j’ai suivi une formation « création d’entreprise » en 2011/2012 et j’ai créé mon entreprise 2013

– Qu’est-ce que Prev Sécurité 62 ?

J’ai créé mon entreprise en autoentrepreneur le 5 mai 2013. Suite à un bon développement de l’entreprise, en juillet 2016, Prev Sécurité 62 est passé au statut EIRL.

Mon champs d’opération principal est assez large. Il va de la vente, l’installation et la maintenance des extincteurs, la formation incendie, l’élaboration de plans d’évacuation et d’intervention, la mise en place des POI (plan d’opération interne), de plans de sauvegarde des œuvres d’art, l’installation d’alarmes type 4 permettant de lutter contre les incendies, l’installation de BAES (bloc autonome d’éclairage de sécurité) à la mise en conformité des établissements recevant du public.

Ma deuxième activité est en développement. Je travaille à la mise en place de couvertures,  housses, pochettes anti-feu pour les musées principalement. Ces protections peuvent servir également pour d’autres activités comme les bibliothèques par exemple. La résistance de nos produits est 900°C pendant 30 minutes. Elles sont également anti-acide et imperméables a l’eau.

– En quoi la sécurité incendie est-elle un enjeu pour les musées et leurs réserves ?

La raison principale est tout simplement le risque de la perte de l’œuvre. Sans aller jusque là, il y a aussi la détérioration de l’œuvre. Les conséquences sont des frais considérables pour permettre la restauration de l’œuvre (même s’il ne sera plus vraiment « l’original ») ; c’est surtout la perte de notre histoire et de notre patrimoine historique ou culturel.

Un musée est aussi un symbole et lieu important dans le cœur d’une ville. Un incendie, c’est une perte pour le musée, c’est un risque de perte d’argent s’il doit fermer, voir aussi un risque de chômage technique pour le personnel.

La sécurité incendie, c’est surtout faire une prévision des risques. C’est prévoir les moyens de lutte  en cas de déclaration d’un incendie,, et les moyens à mettre en œuvre pour empêcher la propagation des flammes et maîtriser le sinistre.

– Comment se déroule une mission type ?

L’audit se passe en plusieurs temps :

  • 1er temps : étude des risques autour du musée, risques industriels, routiers, naturels…
  • 2ème temps : étude au niveau du bâtiment  (entretien, protection incendie…)
  • 3ème temps : étude de son fonctionnement, des conditions de travail de son personnel et différents services… Nous pouvons également former le personnel du musée à la mise en place du plan de sécurité, des exercices de sauvegarde qui doivent être mis en place avec les sapeurs-pompiers et les membres du musée.
  • 4ème temps : inventaire des œuvres, et mise en place des fiches de procédures, mise en place des outils d’aide à la décision comme la priorité de sauvetage des œuvres. Cette décision est prise en étroite collaboration avec les conservateurs

– Les projets de sauvegarde incendie peuvent-ils être utilisés dans d’autres cas ?

Oui, les couvertures peuvent être utilisées contre les eaux d »extinctions ou les inondations. Elles  résistent aux PH acides et base

Merci à Bruno Saudemont pour ses réponses à nos questions.

Incendie de Notre-Dame de paris

On redoute toujours le moment ou notre patrimoine part en fumée…
Nous avons la solution pour protéger vos oeuvres !

http://pso18.fr/

D’après une image de drone de la police à laquelle a eu accès un reporter de franceinfo, « les 3/4 de la cathédrale sont encore en feu », seules les deux tours sont pour le moment épargnées. 400 pompiers sont mobilisés

Notre direct : https://mobile.francetvinfo.fr/…/direct-paris-un-incendie-p…

Photo de France 3 Centre-Val de Loire.


https://www.facebook.com/Nationale2Infos/videos/1027624020765761/?t=2
http://pso18.fr/

j espère le PSO est au top pour au moins sauver les œuvres à l intérieur.
La prévention et prévision sont importantes ,le risque 0 n existe pas.

Début de la construction : 1163 
856 ans, elle a survécu à deux guerres , et la avec les moyens que l on possède ,elle part en fumée , une des meilleurs surveillances elle est humaine aussi!!!
il y a une surveillance a faire après travaux par points chauds!!!

PORTES OUVERTES au centre de secours de Lumbres le 15 juin 2019

le 15 juin 2019
Protech-Sentinel procédera à l’ extinction d un feu de voiture a l aide de sa couverture anti feu avec une charge calorifique pour atteindre les 1000°C au centre de secours de Lumbres ,lors de la porte ouverte le 15 juin 2019 .
Ainsi des essais aux publics de la pochettes anti feu pour les batterie au Lithium , extinction feu de friteuse .
Merci aux pompiers collègues de Lumbres pour l invitation 
Frederic Bay et l amicale des SP de Lumbres

Portes ouvertes Centre de secours de Lumbres

https://www.youtube.com/watch?v=OCGYYY-BapE

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centre de secours de Lumbres

RENDEZ VOUS
LE 15 JUIN 2019

La Fédération Française de Tennis Roland Garros

Une bonne nouvelle, la Fft fait confiance à Protech-Sentinel.

La Fédération Française de Tennis Roland Garros | http://www.fft.fr/roland-garros

…s’équipe d’une couverture antifeu voiture pour assurer la sécurité de son public et de son parking.

Roland Garros

Roland Garros

pso18.fr au concours la fabrique aviva

https://www.deltafm.fr/info-locale/france/region/pas-de-calais/audomarois/un-concours-pour-recompenser-des-projets-utiles-et-innovants/

Le concours de la Fabrique Aviva a été lancé pour une 4ème édition. Le principe : récompenser les entrepreneurs avec une aide financière d’un million d’euros…

Je représentais aussi Gaëtan Fontaine Réseautage Influ-Anse,Amaury Desbas et -PIERRE VAILLANCOURT ( une petite structure Québécoise chargée du site internet du PSO .
PSO18.fr estle projet d’un partenariat de 4 structures .

Influ-Anse ( Gaëtan Fontaine Réseautage )qui sera le porteur du projet pso18.fr au concours La Fabrique d Aviva qui sera parrainé par Sébastien Hedin Aviva agence de Saint Omer.

https://www.deltafm.fr/info-locale/france/region/pas-de-calais/audomarois/un-concours-pour-recompenser-des-projets-utiles-et-innovants/

PLAN SAUVEGARDE DU PATRIMOINE ET DES BIENS CULTURELS

PLAN SAUVEGARDE DU PATRIMOINE ET DES BIENS CULTURELS

Pour le plan sauvegarde des œuvres, le plus intéressant et aussi le plus sécurisant.

Et de mettre une véritable politique de prévention aux risques, les plus courants inondations, incendies voir aussi les risques auxquels on pourrait rencontrer avec un facteur de risque élevé exemple tremblement de terre.

C’est déjà respecter la règlementation des ERP , et aussi entretien des moyens de lutte incendie ,maintenance du matériel exemple les climatiseurs , armoires électriques, les surcharges électriques ,entretien du bâtiment,  respecter les consignes etc.     

Déjà de mettre tous les moyens de détection départ de feu et dispositif pour combattre celui-ci au départ et de ralentir sa progression.

De limiter les risques d’éclosion et de propagation d’incendie 

Pour les innondations c est de mettre des captueurs au sol, voir des pompes de relevages en cas innondation

DEJA UNE BONNE PREVENTION LES RISQUES SONT TRES REDUITS

Le risque zéro n’existe pas, une défiance technique et même humaine.

LE DERNIER REMPART

C’est là qu’intervient le plan sauvegarde des biens culturels, une préparation et une mise en œuvre de protection des biens, soit par l’évacuation de celle-ci ou par une protection sur les lieux, si celle-ci ne peut pas être évacuée.

Ce Plan doit être simplifié pour les sapeurs-pompiers, qu’ils trouvent les réponses de suite, savoir par exemple la salle impactée et les œuvres à évacuer et aussi le lieu de stockage par rapport au sinistre déjà aussi en premier lieu les coupes énergies , eau, fluide ,stockage etc. .

Tous les musées n’ont pas de plan Etare 

Le PSO plan ressemble au plan Etare, mais vraiment destiné  pour les musées.

Le PSO est un travail équipe et aussi interservices, mairie, SDIS, etc.   

Votre partenaire sécurité !