les fumees

80% des décès lors d’incendies, sont en relation avec l’inhalation des fumées.
C’est dans les incendies d’habitations et d’immeubles qu’apparaissent la majorité des victimes.
En France il y à environ 12.000 victimes d’inhalation des fumées par an.


INFO +

La Loi Morange obligera chaque foyer à partir du 8 Mars 2015 a installer au moins un détecteur de fumées par habitation (DAAF).

La France est un des derniers pays à ne pas avoir d’obligation de ce type d’équipement, avec un taux d’installation à 2% contre 98% pour des pays comme la Norvège ou la Grande-Bretagne.

L’installation incombera au propriétaire du logement, l’entretien courant à l’occupant.

La fumée se constitue des 3 états de la matière :

1. SOLIDE : particules imbrûlées, carbone (suie)…
2. LIQUIDE : aérosol, vapeur d’eau…
3. GAZEUX : gaz de combustion, hydrocarbures…

Elle peut-être de couleur blanche, grise ou noire selon la combinaison des trois états de la matière qui la compose. C’est donc la composition de la fumée qui fait sa couleur, non pas sa température.

La fumée est à l’origine de 5 dangers majeurs vis-à-vis des personnes et des biens :

1. TOXICITE
2. OPACITE
3. INFLAMMABILITE
4. CHAUDE
5. MOBILE

1 – TOXICITE

Les éléments qui composent la fumée sont toxiques pour le corps humain (monoxyde de carbone CO, dioxyde de carbone CO²) : suffocation, hyper-sécrétion, irritations, larmoiements, brûlures pulmonaires, toxicité sanguine et musculaire voire cellulaire. Encore plus directement, la combustion consomme l’oxygène de l’air ambiant, élément vital pour l’homme.

Dans un espace clos, la chute du pourcentage d’oxygène peut ne pas excéder quelques minutes. Passer de 21% (air ambiant) à 17% va entrainer une incoordination motrice qui va empêcher la victime de réagir et de s’échapper, à 10% c’est la syncope et à 6% la mort.

2 – OPACITE

Les particules de carbone (suies) présentes dans la fumée lui donne une couleur foncée pouvant aller jusqu’au noir le plus intense : panique pour les occupants, gêne pour évacuer et retardement de l’action des services de secours en sont les conséquences directes.

S’y ajoute des dégâts matériels dus au dépôt de suie, des risques de chutes (suie glissante au sol) et l’augmentation du phénomène de propagation par rayonnement thermique (couleur noire).

3 – INFLAMMABILITE

Par l’effet du rayonnement et de la convection, la fumée est propagatrice du feu.

Soumise à de fortes températures, dans un espace clos ou semi-clos, la fumée peut à tout moment s’enflammer : on parle d’Embrasement Généralisé Eclair (EGE). Toujours dans la même situation et suite à l’arrivée brutale d’air, on peut risquer une Explosion des Fumées (EF).

4 – CHAUDE

La chaleur des fumées peut être à l’origine de brûlures et de dégâts matériels importants.

5 – MOBILE

Il est possible de calculer le temps mis par des fumées pour envahir un local, la vitesse horizontale d’un front de fumées est comprise généralement entre 0,20cm et 1m/sec.

De ces dangers découle une nécessité :

Lors d’un incendie, l’évacuation des fumées est IMPERATIVE

Les fumées d’incendie montent toujours, étant plus chaudes que l’air et plus légères.

Ainsi lorsqu’une combustion a lieu dans un local, celui-ci va peu à peu se remplir de fumée, d’abord en partie haute puis de plus en plus bas, pour finir par être entièrement enfumé.

Au début d’un incendie, l’air le plus respirable se situe donc au niveau du sol. C’est donc à cet endroit que vous devez vous déplacer. Si la possibilité vous est donnée, munissez-vous d’un chiffon (t-shirt, tissu, coussin, etc.) imprégné d’eau et respirer au travers de celui-ci pour vous prémunir des inhalations toxiques et chaudes.

Venez mettre à l’épreuve votre compréhension avec un QCM ! Rendez-vous dans la rubrique « Exercices » !
Ou suivez ce LIEN DIRECT !

La connaissance de la séquence suivante sur le comportement au feu peut-être requise pour répondre à certaines questions

QUELLES EN SONT LES CAUSES

Un incendie est un feu échappant au contrôle de l’homme, il est non maîtrisable dans le temps et dans l’espace

Les grandes causes de départ de feu sont :

HUMAINES : l’imprudence des fumeurs (l’extrémité d’une cigarette allumée atteint plus de 700°c), l’ignorance, la négligence et la malveillance.

NATURELLES : la foudre (directement ou en étant à la source de surtensions), le soleil (via un effet de loupe), fermentation (certaines matières s’auto-échauffe et peuvent donner lieu à une combustion spontanée : charbon de bois, farine de poisson, fourrage, fumier).

ENERGETIQUES : l’électricité (installations vétustes, étincelles), par frottements, par réaction chimique exothermiques, via l’électricité statique.


Source INRS 2006

Pour les feux de forêts

Principaux lieux de départs de feux

Zoom sur l’habitation

La norme européenne classe les feux dans 5 catégories, en fonction de leurs états

Les feux d’origine ELECTRIQUE sont hors-classement car ils peuvent être associés à toutes les classes de feu, tout dépend du support sur lequel ils ont lieux.

INFO +

Les feux de classe A sont les seuls à la source de braises.

Recouvrir une friteuse en feu d’un chiffon mouillé après avoir coupé la source de chaleur permet de stopper la combustion. C’est la meilleure méthode d’extinction existante.

POUR LA FORMATIONS DE VOS SALARIES

NOUS SOMMES A VOTRE DISPOSITION

TEL 0625702201

prevsecurite62@gmail.com

qu’est ce qu’un feu

LE TRIANGLE DU FEU

La réaction chimique de combustion ne peut se produire que si l’on réunit trois éléments :

UN COMBUSTIBLE – La matière susceptible de brûler : solide, liquide, gazeuse, métallique, huile de cuisson.

UN COMBURANT – En se combinant avec le combustible, il permet la combustion : c’est l’oxygène présent dans l’air ambiant, ou un peroxyde.

UNE ENERGIE D’ACTIVATION – L’énergie nécessaire au démarrage de la réaction chimique, elle est apportée par une source d’origine thermique, chimique, biologique, mécanique ou électrique.

INFO +

La vitesse de la combustion dépend de l’état de la matière (copeaux, paille, particules), de sa disposition (forme, épaisseur, surface, vertical ou horizontal), de la température (vitesse x2 par augmentation de 10°), et d’autres facteurs (humidité, teneur en oxygène, etc.).

LE COMBUSTIBLE

Les combustibles sont classés en 3 familles, en fonction de leur état :
 SOLIDE
– LIQUIDE
– GAZEUX

1 – COMBUSTIBLES SOLIDES

Exemple : Charbon, bois, paille

► Les combustibles solides sont caractérisés par leur pouvoir calorifique, c’est-à-dire la quantité de chaleur dégagée lors de la combustion complète d’un kilogramme du matériau (unité : Kilo Joules / Kilo).

2 – COMBUSTIBLES LIQUIDES

Exemple : GPL, fioul, acétone

L’inflammabilité des combustibles liquides dépend de la quantité de vapeur qu’ils émettent.
► Ils possèdent un point-éclair : la température minimale à laquelle la concentration de vapeur émise par le combustible est suffisante pour qu’il s’enflamme au contact d’une flamme (sans persistance, au retrait de la flamme). Ces liquides sont classés dans plusieurs catégories, selon la proximité de ce point avec 0°c.

3 – COMBUSTIBLES GAZEUX

Exemple : Butane, propane, ammoniac, hydrogène

► La combustion d’un gaz peut être explosive si la concentration du mélange air/gaz est comprise entre certaines limites : la limite inférieure d’explosivité (LIE) et la limite supérieur d’explosivité (LSE).

En dessous de la LIE la quantité de gaz dans l’air ambiant est trop pauvre pour déclencher une réaction, et au dessus de la LSE le mélange est trop riche en gaz et ne contient pas assez d’oxygène.

INFO +

Le butane a une limite d’inflammabilité dans l’air comprise entre 1,8% et 8,4%.
C’est le gaz que nous trouvons en bombonne pour les habitations.

L’hydrogène a une limite d’inflammabilité dans l’air comprise entre 4% et 75%.
Une plage d’explosivité qui le rend particulièrement dangereux.

L’essence a un point éclair de -38°, l’acétone un point éclair de -20°.

La température d’auto-inflammation de l’essence est de 456° contre 465° pour l’acétone.

LE COMBURANT

Le principal comburant existant est l’OXYGENE () présent dans l’air ambiant.

INFO +

Les peroxydes, les sels oxygénés ou l’ozone sont d’autres comburants existants, mais plus rares.

Peroxydes : utilisés dans l’industrie du caoutchouc et du plastique, composés comportant une grande quantité d’oxygène.
Sels oxygénés : les chlorates présents dans le désherbant ou les nitrates présents dans les engrais.


Les énergies nécessaires pour déclencher la combustion sont de plusieurs origines :

Thermiques : feu nu, séchage
Chimiques : phosphore + air
Biologiques : fermentation de bactérie (silo à grains, à farine)
Mécaniques : frottements
Électriques : dynamiques (court circuit, défaut d’isolation) ou statiques (frottement)

LES MODES DE PROPAGATION DU FEU

Il existe 5 façons par lesquelles le feu peut se propager :

1. CONDUCTION
2. CONVECTION
3. RAYONNEMENT
4. PROJECTION
5. EPANDAGE

LA CONDUCTION
C’est un transfert de chaleur au travers de la matière ou de la masse même du matériau.

Par exemple : en chauffant une conduite métallique à son extrémité, on peut enflammer un carton qui toucherait cette conduite à son autre extrémité.

LA CONVECTION
C’est un transfert de chaleur par l’intermédiaire des gaz et des fumées produits par la combustion qui, chauds, vont s’élever et rencontrer des obstacles froids.

Par exemple : lors d’un incendie dans la cave d’un immeuble, les étages sont épargnés mais, la fumée chaude montant jusqu’au toit de l’immeuble, va l’embraser en ce point.

LE RAYONNEMENT
C’est un transfert de chaleur par l’intermédiaire d’ondes électromagnétiques. Lors de la combustion le corps chauffé émet de l’énergie, sous forme d’infrarouge elle peut être absorbée par un autre corps. Selon la température, la distance et la quantité de particules dans la fumée, elle peut être suffisante pour déclencher à distance une combustion.
C’est le phénomène qui fait que lorsqu’on est face à un feu, le côté exposé est chaud alors que le côté opposé est froid.

Par exemple : On ressent la chaleur à plusieurs mètres du foyer d’un feu de cheminée. Si cette chaleur est très élevée, elle peut propager l’incendie en enflammant les autres combustibles présent.

LA PROJECTION
C’est un transfert de chaleur par l’intermédiaire de particules incandescentes. Des objets enflammés ou incandescents voyagent dans l’air, soit par le vent s’ils sont légers, soit projetés par une explosion. Ils vont créer de nouveaux foyers distants.

Par exemple : lors d’un feu en forêt, une feuille d’arbre enflammée est projetée à distance par le vent, et embrase un nouvel arbre.

L’EPANDAGE
Se fait par l’intermédiaire de la combustion d’un liquide inflammable qui va s’écouler le long du sol et enflammer les combustibles présent sur son passage.

Par exemple : un fut enflammé voit son liquide s’écouler et rencontrer d’autres combustibles.

POUR LA FORMATION DE VOS SALARIES

NOUS RESTONS A VOTRE DISPOSITION

TEL 0625702201

prevsecurite62@gmail.com

Le risque incendie

Définition
Qu’est-ce que le feu ?
On emploie le terme de feu pour désigner une combustion
maîtrisée
Qu’est-ce qu’un incendie ?
C’est une combustion qui se développe sans contrôle dans le
temps et dans l’espace et dont la caractéristique est de se
propager rapidement.

Comment l’incendie peut-il se développer

On distingue :
4 modes de propagation de l’incendie

Comment l’incendie peut-il se développer

FEU D’APPARTEMENT

Les fumées et ses dangers

 Les premières causes de décès dans un incendie sont
dues aux fumées
 Les fumées sont un mélange de gaz de combustion et
de particules en suspension (suies)
 Les fumées sont un produit de la combustion. Elles
absorbent la chaleur et la restitue par rayonnement
 Elles contribuent à la propagation du feu

Les fumées et ses dangers
La toxicité – La corrosivité

Les gaz les plus dangereux émis lors de la combustion sont :
 Le monoxyde de carbone
 Les hydrocarbures
 Les oxydes d’azote
 L’acide cyanhydrique
 l’ H2S
 l’acide fluorhydrique
 Le chlore
 Le phosgène
 Etc
Le mélange de ces gaz, renforce leur toxicité
Signe d’intoxication : La toux = Danger de mort

Les fumées et ses dangers

La température des flammes et la chaleur est comprise entre 600°C à 1200°C, provoque
des lésions aux yeux et des brûlures internes des voies aériennes par inhalation.

La fumée se déplace dans les locaux à une vitesse de 1 mètre par seconde.

Quelques minutes suffisent pour réduire la concentration en oxygène (21% d’oxygène
dans l’air) entraînant les victimes vers la syncope, voire une mort inévitable.

Perte des points de repère – altération de la visibilité –
évacuation très difficile voire impossible – retarde l’intervention des secours

Que faire en présence de fumées

 Baissez vous, l’air frais est prêt du sol et la visibilité y
est meilleure
 Si vous ne pouvez pas évacuer ou si la circulation et/ou
la cage d’escalier sont enfumées, refermer la porte et
calfeutrer là.
 Manifestez vous à la fenêtre

COMMENT SE FORME UN INCENDIE ?comment L’ ÉTEINDRE?

Causes et conséquences d’un incendie 

QU EST-CE QUE LA COMBUSTION ?

Incendie – Accidents domestiques, les sources du feu

Prévenir le risque incendie en entreprise

Le risque incendie en entreprise

Comment se forme un incendie ?

NOS FORMATIONS INCENDIE

MANIPULATION DES EXTINCTEURS

La formation prépare votre personnel à être capable de réagir face à un feu naissant afin d’alerter les secours spécialisé tout en adoptant un comportement sécuritaire. 

EQUIPIER PREMIERE INTERVENTION

La formation équipier première intervention dite aussi formation EPI prépare votre personnel à être capable de faire face à un feu naissant en utilisant les moyens de première intervention.

EQUIPIER SECONDE INTERVENTION

La formation équipier seconde intervention prépare votre personnel à faire face au feux lors d’un incendie dans l’attente d’intervention des secours spécialisé. 

EVACUATION GUIDE FILE – SERRE FILE

La formation évacuation guide file et serre file prépare votre personnel à adopter les bons réflexes pour gérer une évacuation rapide en appliquant la procédure d’évacuation prévue en cas de début d’incendie. 

EXERCICE EVACUATION

La règlementation incendie des ERP et du code du travail demande aux entreprises de réaliser des exercices d’évacuation de manière régulière (au moins 2 par an). Notre formation évacuation donne les consignes à respecter pour les salariés. 

LE FONCTIONNEMENT DE L’EXTINCTEUR

361790_berp_1_xnm

Bonjour à tous !

Nous vous souhaitons un agréable moment sur notre blog qui évoque le fonctionnement des extincteurs.

Introduction :

Pourquoi s’intéresse-t’on  aux extincteurs ?

L’extincteur est un outil important et efficace dans la lutte contre l’incendie. De plus il est devenu ces dernières années un outil habituel de la vie courante. On observe de nombreux extincteurs dans les lieux publics : hôpitaux, cinéma, bibliothèque, au sein même de l’ESPE de Colmar, … Etant moi-même étudiante en M1 à l’ESPE de Colmar j’ai trouvé intéressant d’aborder les mécanismes des extincteurs afin de comprendre à quel moment les utiliser, de quelle manière et surtout comment ils fonctionnent. Cependant, ce blog ne concerne pas uniquement les personnes côtoyant le bâtiment de l’ESPE mais tous les citoyens puisqu’on est tous à même de rencontrer des extincteurs au cours de notre vie. C’est pour cela qu’ on s’intéresse dans notre cas uniquement aux extincteurs destinés au grand public et non ceux destinés aux sapeurs-pompiers

Définition

Un extincteur est un appareil permettant de projeter et de diriger sur une foyer d’incendie un agent extincteur sous l’effet d’une pression intérieure.

Cette pression intérieure peut être fournie :

  • Par une compression permanente (C02)
  • Par libération d’un gaz (eau, poudre…)
  • Par la manœuvre d’une pompe (sceaux pompes)

Nous allons nous intéresser aux extincteurs à pression auxiliaire (appelés extincteurs à eau) qui ont une pression intérieur fournie par la libération d’un gaz (CO2).

Il existe différentes classes de feu, et différents extincteurs et agents d’extinction y sont associés.

agentext

Il existe 3 types d’extincteurs courant

extincteur bon

I. « Agent extincteur » : l’eau

Rappelons que l’on peut s’attaquer à un feu par :

  • Refroidissement : abaisser la température du combustible*
  •  Étouffement : réduction du taux d’oxygène en dessous du taux nécessaire à la combustion
  •  Inhibition : stopper la réaction de combustion par influence chimique

Malheureusement l’agent extincteur universel n’existe pas, on en compte 4 :

– L’eau
– Les émulseurs
– Les poudres
– Le dioxyde de carbone (CO2)
Pour notre part, nous nous sommes intéressées uniquement à l’agent extincteur l’eau. L’eau est l’agent extincteur le plus utilisé pour la lutte contre les incendies. L’eau doit son efficacité à son pouvoir refroidissant très élevé qui en fait l’agent extincteur privilégié des feux de la classe A**. L’eau est toutefois inefficace sur les liquides inflammables, elle craint le gel, peut provoquer des corrosions, conduit l’électricité et contient de l’oxygène qui peut entretenir et développer des feux de métaux. C’est pour cela qu’il est essentiel dans un bâtiment public d’avoir différents types d’extincteur afin de pouvoir vaincre tous les feux.
* Combustible : matière capable de brûler au contact de l’oxygène ou d’un gaz contenant de l’oxygène, en produisant une quantité de chaleur utilisable.
** Feux de classe A : sont les feux de solide. Produits : bois, charbon, caoutchouc, végétaux, papier, cartons, textiles naturels ou synthétiques, plastiques, …

Afficher l'image d'origine
Afficher l'image d'origine

II. Coupe et fonctionnement d’un extincteur à eau

Voici la composition intérieur d’un extincteur à eau :

coupe d'un extincteur

Nous avons modélisé le fonctionnement d’un extincteur à eau à l’aide de carton. Nous allons vous expliquez par cette vidéo le fonctionnement intérieur de l’extincteur lorsqu’on actionne la poignée.

L’appareil est sous pression après avoir actionné la poignée de percussion. Lorsque l’on percute la cartouche de gaz comprimé (CO2), appelé « sparklet », le gaz libéré va mettre sous pression l’agent extincteur. Les agents extincteurs les plus fréquemment rencontrés dans ce type d’extincteur sont : l’eau, eau + additif et la poudre.

Coupe d’un extincteur à eau


Ci- dessus, nous pouvons voir précisemment les éléments dont l’extincteur à eau dispose.

L’extincteur à eau

L’extincteur à eau pulvérisée (avec ou sans additif) est l’agent extincteur le plus utilisé. Il agit par refroidissement, en absorbant la chaleur du corps en combustion. L’eau est un agent extincteur qui n’est pas dangereux (en lui-même) pour la personne qui l’utilise et peu même dans certaines circonstances la protéger du feu (ou de la chaleur). Le principal défaut que l’on peut lui faire est les dégâts qu’il occasionne. Il peut par contre s’avérer dangereux si on l’utilise sur un feu d’origine électrique.

Pour augmenter certaines qualités de l’eau, on peut lui ajouter des additifs qui la rendront plus ou moins pénétrante suivant si l’on veut augmenter son pouvoir refroidissant ou si l’on veut protéger le matériel alentour.

Capture

PLAN SAUVEGARDE DES BIENS CULTURELS

Il y a 1 an, une grande partie de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris partait en fumée dans un incendie dévastateur… Le Château de Grignan et les équipes de pompiers ont depuis développé un plan de sauvegarde ambitieux répondant au besoin de sécuriser le patrimoine et ses joyaux : peintures, mobiliers, tentures… Entrez dans les coulisses d’un sauvetage hors norme et suivez les équipes dans un exercice périlleux à grande échelle de simulation de sinistre.

PLAN SAUVEGARDE DES OEUVRES

#Plansauvegardedesoeuvres
#PSO
#ChateaudeGrignan

Château de Grignan , est protégé par nos couvertures anti feu et client chez Prev Securité 62 Bruno Saudemont.
Dans la video vous pouvez apercevoir la mise place de nos couvertures

Coronavirus : téléchargez le modèle de masque barrière

AFNOR met à disposition gratuitement un référentiel pour faciliter et accélérer la fabrication en série ou artisanale d’un nouveau modèle de masque, dit « masque barrière ». Celui-ci vise protéger la population saine, en complément des indispensables gestes barrières face au Coronavirus.

La pénurie de masques chirurgicaux et FFP2 a suscité la multiplication de tutoriels et patrons pour la confection de masques de protection. Devant ce florilège de conseils et de modèles aux qualités hétérogènes et parfois douteuses, AFNOR a pris l’initiative de capitaliser sur une expertise collective de premier plan en produisant un document de référence proposant des exigences à satisfaire pour fabrication de nouveaux masques. C’est le document AFNOR Spec – Masques barrières, accessible gratuitement dans sa version 1.0

Un document pour industriels et particuliers

Les masques barrières répondent à un niveau d’exigence moins ambitieux que les masques chirurgicaux et FFP2 qui doivent être en priorité utilisés par les personnels de santé et les populations exposées. Répondant à des critères validés par près de 150 experts, les masques barrières ont pour ambition d’apporter une protection supplémentaire à toute personne saine, en complément des gestes barrières et de la mesure de distanciation. Exploitable pour la production en série par des entreprises textiles ou de la plasturgie, le document AFNOR Spec – Masques barrières intègre également une liste de laboratoires, en annexe, pour les entreprises souhaitant faire tester leurs prototypes avant de lancer une fabrication en série.

Ce document est aussi pensé pour guider celles et ceux qui disposent des matériaux et des compétences pour se lancer dans la confection artisanale. De nombreux schémas sont proposés dans le document, ainsi que des patrons prêts à l’emploi.

Compléter les gestes barrières

« Ce masque n’exonère à aucun moment des gestes barrières. C’est une protection supplémentaire pour les personnes saines lorsqu’elles se déplacent ou travaillent », résume Rim Chaouy, responsable de pôle santé et sécurité au travail d’AFNOR et pilote du projet. Le document AFNOR Spec – Masques barrières propose aussi un volet important de recommandations d’usage, pour des personnes non habituées à porter un masque. La performance de tout masque pouvant être détériorée par une mise en œuvre défaillante, ce point est extrêmement important.

AUTEUR AFNOR

TÉLÉCHARGER AFNOR SPEC – MASQUES BARRIÈRES

Masque protection à plis / DOCUMENT AFNOR SPEC

#masquedeprotection#coudreunmasque#masque

Défibrillateur Zoll AED PLUS et AED 3

Zoll AED Plus

ZOLL AED 3 Guide de l’administrateur

Intuitif
Des images plus précises, combinées à des messages visuels et sonores synchronisés, afin d’aider
l’intervenant au cours de la réanimation. Le ZOLL AED 3™ offre également une assistance RCR grâce
à Real CPR Help®, qui dispose d’un manomètre performant permettant un feedback en temps réel
quant à la qualité de la RCR réalisée. Une RCR de qualité supérieure est essentielle pour sauver
une vie, mais comment savoir si la pression est suffisamment forte et rapide ? Real CPR Help permet
d’éliminer les suppositions.
Les premiers secours pédiatriques sont facilités grâce au système CPR Uni-padz™ de ZOLL et à un
bouton Child qui permet à l’intervenant de sélectionner les paramètres du DAE entre adulte ou enfant
par simple pression sur ce bouton. Le ZOLL AED 3 peut également être posé à plat ou à la verticale
pour une visibilité maximale à tout moment. Grâce à un design basé sur les nombreuses études
d’ergonomie réalisées à la fois par des intervenants professionnels et occasionnels, le ZOLL AED 3 est
facile à utiliser par n’importe quel intervenant.
Solution abordable
Le ZOLL AED 3 est équipé d’une batterie de pointe offrant une durée de vie de cinq ans, ainsi que
du CPR Uni-padz de ZOLL, disposant lui aussi d’une durée de vie de cinq ans, et il peut être utilisé
à la fois lors des premiers secours pour enfants et adultes ; c’est pourquoi ce défibrillateur nécessite
une maintenance et un remplacement de consommables moins fréquents, facilitant son acquisition et
supposant un coût de possession réduit une fois installé*.
Maintenance facile
Tous les ZOLL AED 3 sont équipés du Program Management Onboard™ pour une communication
parfaite avec le système de gestion de programme PlusTrac™ à travers votre réseau sans fil. Une fois
enregistré sur PlusTrac et connecté à un réseau Wi-Fi, votre ZOLL AED 3 indiquera automatiquement
son état de disponibilité à votre programme DAE PlusTrac. En cas d’échec d’un auto-test, ou en cas
d’erreur d’indication lors de la programmation, PlusTrac vous envoie un message d’alerte par e-mail
afin que vous appliquiez les mesures correctives appropriées. Le ZOLL AED 3 est facile à entretenir
car il réalise le travail de surveillance de l’état de disponibilité de votre appareil à votre place.

AED 3 Guide de l’opérateur

ARD PLUS

Défibrillateur Zoll AED PLUS (DEA ou DSA) - 4 Minutes pour 1 Vie

Défibrillateur semi-automatique AED Plus ZOLL
DAE avec délivrance semi-automatique du choc
L’AED Plus est équipé d’une interface avec des pictogrammes représentant une
chaîne de survie pour guider le sauveteur.
Plus adapté aux personnes initiées à l’utilisation d’un défibrillateur.
S’adapte pour les adultes et les enfants grâce aux deux électrodes.
Système d’aide à la RCP (Real CPR Help®, voir plus d’infos) qui analyse les
données de compression et aide le secouriste à déterminer la fréquence et
l’intensité.
Faible coût d’utilsation grâce à l’électrode CPR-D Padz® et aux piles CR213,
qui ont une durée de vie de 5 ans.
Transfert des données par le port infrarouge, soit sur un PC avec lecture directe
du dossier par le logiciel ZOLL RescueNet Code Review téléchargeable
gratuitement, ou par l’intermédiaire de la boîte Absolu-T en cas d’absence de
PC sur le site de récupération des données.

  • Autonomie : 300 chocs.
  • Niveaux d’énergie : 50 à 200 joules
  • Temps de charge : moins de 7 secondes avec des piles neuve.
  • Piles lithium garantie 5 ans.

Défibrillateur disponible en version automatique (DEA) ou semi-automatique
(DSA).

  • Dimensions : H 13,3 x L 24,1 x P 29,2 cm
  • Poids : 3,1 Kg
    Le défibrillateur entièrement automatique AED Plus est livré complet avec:
  • Un sac de transport
  • Une électrode pour adulte (CPR-D padz 8900-0800-01) durée vie de 5 ans
  • Une électrode pour enfant (Pedi Padz II 900-0810-01) durée vie de 2 ans
  • Un jeu de 10 piles lithium CR123 (8000-0807-01) durée de vie 5 ans
  • Une paire de ciseaux
  • Un rasoir
  • Une paire de gants sans latex
  • Un masque de protection respiratoire pour la RCP
  • Une serviette en papier
  • Une lingette
  • Un manuel d’utilisation
  • Un poster
    Garantie 7 ans (hors électrodes et accessoires)
    Dont une extension de garantie de 2 ans gratuite
    en enregistrant votre matériel sur le site de Zoll.

ARMOIRE DE PROTECTION

Armoire AIVIA 200 pour défibrillateur à usage extérieur

Armoire AIVIA 200 pour défibrillateur à usage extérieur

Avec chauffage pour être placée à l’extérieur d’un bâtiment.

  • Armoire dotée d’un système de chauffage alimenté sur secteur (24 volts DC), couplé à un capteur de température permettant l’activation dès que le seuil minimum est atteint.
  • Alarme sonore en cas d’ouverture du capot et alarme visuelle par LED rouges pour signaler les anomalies de température.
  • Eclairage jour/nuit du compartiment DAE par LED sur détection automatique de luminosité.

MATÉRIEL EN VENTE CHEZ PREV SECURITE 62 POSSIBILITÉ D UNE FORMATION SUR LES AED

POUR TOUT RENSEIGNEMENT TEL 0625702201

Les écrans de cantonnement

Les écrans de cantonnement 

Les écrans de cantonnement ont pour but de limiter la propagation de la fumée provoquée par le feu dans des zones vastes. ils vont contenir la fumée dans la zone afin de garantir une sécurité optimale.

Les écrans de cantonnement (fixes ou mobiles), peuvent être utilisés dans tous types de bâtiments où il y a un risque de propagation de fumée en cas d’incendie.

Les écrans de cantonnement sont principalement conçus pour les ateliers de production, entrepôts, magasins, centres commerciaux, parkings à niveaux, aéroports…

Définition

Séparation verticale placée en sous-face de la toiture ou du plancher haut de façon à s’opposer à l’écoulement latéral de la fumée et des gaz de combustion.

La traversée des écrans de cantonnement par des canalisations ou appareils est admise avec la tolérance de jeu nécessaire.

La réglementation

De plus, des écrans de cantonnement doivent s’opposer au mouvement des fumées vers les trémies mettant en communication plusieurs niveaux, si ces trémies ne participent pas au désenfumage.

Un écran de cantonnement est constitué :

  • soit par des éléments de structure (couverture, poutres, murs) ;
  • soit par des écrans fixes, rigides ou flexibles, stables au feu de degré 1/4 heure ou DH 30 et en matériau de catégorie Ml ou B s3 d0 ;
  • soit par des écrans mobiles, rigides ou flexibles, SF de degré 1/4 heure ou DH 30 et en matériau de catégorie Ml ou B s3 d0.

La hauteur libre de fumée est au moins égale à la moitié de la hauteur de référence ; elle est toujours plus haute que le linteau des portes et jamais inférieure à 1,80 m. L’épaisseur de la couche de fumée est au moins égale à :

  • 25 % de la hauteur de référence (H), lorsque celle-ci est inférieure ou égale à 8 m ;
  • 2 m, lorsque la hauteur de référence est supérieure à 8 m.

Toutefois, cette épaisseur peut être réduite afin de respecter les hauteurs libres de fumée minimales. Cette réduction entraîne une augmentation de la surface d’évacuation des fumées et nécessite un calcul du taux (voir annexe). Pour les locaux d’une hauteur de référence supérieure à 8 m et dont la plus grande dimension n’excède pas 60 m, on peut admettre l’absence d’écran de cantonnement. Dans ce cas, le calcul du taux est effectué avec une épaisseur de fumée de un mètre.

Implantation des évacuations de fumées

Tout point d’un canton dont la pente des toitures ou plafonds est inférieure ou égale à 10 % ne doit pas être séparé d’une évacuation de fumée par une distance horizontale supérieure à quatre fois la hauteur de référence, cette distance ne pouvant excéder 30 m.

Il faut prévoir au moins une évacuation de fumée pour 300 m2 de superficie. Dans les cantons dont la pente des toitures ou des plafonds est supérieure à 10 %, les évacuations de fumée doivent être implantées le plus haut possible, leur milieu ne doit pas être situé en dessous de la hauteur de référence du bâtiment.

Lorsque la toiture présente deux versants opposés (à l’exception des toitures en shed), les exutoires doivent être implantés sur chaque versant de façon égale.

Règle de calcul de la surface utile des évacuations de fumée nécessaire au désenfumage d’un local

Les surfaces prises en compte pour l’évacuation des fumées doivent se situer dans la zone enfumée. Les surfaces prises en compte pour les amenées d’air doivent être dans la zone libre de fumées. La répartition des amenées d’air doit assurer un balayage satisfaisant du local.

Réglementation Rideau Compartimentage

L’utilisation des rideaux à dévêtissement vertical dans le cadre du compartimentage des bâtiments est prévue par la réglementation française:

ERP

Art. MS 60

§ 4. Au moment de leur mise en œuvre, les mécanismes de commande des dispositifs actionnés de sécurité doivent avoir fait l’objet d’un procès-verbal en cours de validité délivré par un laboratoire agréé.

Ce procès-verbal est délivré à la suite d’un essai de contrôle de l’aptitude à l’emploi de ces mécanismes.

« De plus, en complément des matériels visés à l’article DF 4, les portes résistant au feu et les clapets « télécommandés » doivent être admis à la marque NF. »

Art. CO7

Si la façade de l’un des bâtiments domine la couverture de l’autre la façade est CF de degré deux heures sur 8 mètres de hauteur à partir de la ligne d’héberge, les baies éventuellement pratiquées étant fermées par les éléments PF de degré deux heures.

Lorsque les plans des façades de l’établissement recevant du public et du tiers contigu forment entre eux un dièdre inférieur à 135°, une bande d’isolement verticale PF de degré une demi-heure de deux mètres de largeur doit être réalisée le long de l’arête de ce dièdre,

Art. CO8

Si les façades des bâtiments abritant l’établissement recevant du public et un tiers sont séparées par une aire libre de moins de 8 mètres, la façade de l’un d’eux doit être PF de degré une heure, les baies éventuelles étant obturées par des éléments PF de degré une demi-heure.

Art. CO10

Lorsque le franchissement d’une paroi verticale d’isolement, entre l’établissement recevant du public et un bâtiment ou des locaux occupés par des tiers, est prévu par les dispositions du présent règlement ou autorisé exceptionnellement après avis de la commission de sécurité, les conditions suivantes doivent être simultanément réalisées :

  • Le dispositif de franchissement est CF de degré deux heures, sauf dans les cas prévus aux articles CO29 (§2)CO35 (§5) et CO41 (§2) où il est CF de degré une demi-heure;
  • Les portes du dispositif de franchissement sont équipées d’un ferme-porte ou sont à fermeture automatique;
  • Le dispositif de franchissement ne peut être utilisé comme dégagement d’évacuation du public sauf dans les cas prévus aux articles CO35 (§5) et CO41 (§2);
  • La maintenance est placée sous la responsabilité de l’exploitant de l’établissement recevant du public.

IGH

Art GH 26 §6

Par dérogation au § 1 et pour des motifs sérieux d’exploitation, une baie peut être maintenue ouverte en service normal entre deux compartiments situés sur un même niveau.

Cette dérogation est subordonnée au respect des dispositions suivantes :

  • La baie est équipée d’une porte à fermeture automatique coupe-feu de degré deux heures fonctionnant dans les conditions prévues à l’article GH 31 (§ 2);
  • Si la porte ne peut être aisément manœuvrée à la main lorsqu’elle est fermée, la baie est doublée, à proximité immédiate par un dispositif de franchissement conforme aux paragraphes 1 à 5 ci-dessus;
  • Les deux compartiments reliés sont équipés d’une installation fixe d’extinction automatique à eau ;
  • Une plaque signalétique portant la mention : « Porte coupe-feu. Ne mettez pas d’obstacle à la fermeture », en lettres rouges sur fond blanc ou vice versa, doit être apposée bien en évidence, à proximité de la baie, dans chaque compartiment.

Cette dérogation n’est admissible qu’au niveau d’accès aux piétons et aux deux niveaux voisins situés l’un au-dessus et l’autre au-dessous ; par contre, elle est admissible à tous les niveaux réservés aux parcs de stationnement.

Art. GH 31

§ 1. — La durée coupe-feu de degré deux heures, exigée par l’article GH 17, des dispositifs de communication entre les cages d’ascenseurs et de monte-charge, d’une part, et les circulations horizontales, d’autre part, peut être obtenue à l’aide de portes coupe-feu à fermeture automatique isolant les accès à ces appareils ou de préférence leur palier du reste de l’étage.

Ces portes ne peuvent être battantes que si le débattement n’excède pas 100°.

La somme des durées coupe-feu respectives de ces portes et des portes palières de l’ascenseur doit être de deux heures.

§ 2. — Le fonctionnement de toutes les portes coupe-feu à fermeture automatique d’un même compartiment doit se produire :

  • Simultanément, par la sensibilisation des dispositifs prévus à l’article GH 28 (§ 2) ci-dessus, et par commande à distance à partir du poste central de sécurité, ce dernier mode de fonctionnement subsistant seul après la fermeture des portes du premier compartiment sinistré,
  • Individuellement, par un dispositif thermique dès que la température atteint 70 °C à leur partie supérieure, et par manœuvre manuelle.

Tous ces modes de fermetures doivent coexister et être indépendants les uns des autres.

En outre, lorsque les portes coupe-feu isolent les paliers d’ascenseurs, elles doivent pouvoir s’ouvrir manuellement de part et d’autre, les personnes qui seraient isolées sur ce palier doivent être averties du non arrêt de l’ascenseur et invitées à gagner les escaliers en rouvrant ces portes.

Autres cas

  • Arrêté du 05/02/2007, établissement de type L, art. L 63: fermeture de la baie de scène par un dispositif PF 1H ou E60,
  • Arrêté du 09/05/2006, établissement de type PS, art. PS 12: fermeture des baies de passage des véhicules par un dispositif PF 1H ou E60, conforme NF S 61937 -3 et -4,

Votre partenaire sécurité !