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Les équipements d’Alarme de Type 4 sont adaptés pour répondre aux besoins des Etablissements Recevant du Public (ERP) de type commerce de proximité, restauration, salle des fêtes de petite taille… ou établissements industriels nécessitant un équipement d’alarme de type 4. 

Il émet un signal d’alarme et un flash lumineux quand le déclencheur manuel est actionné.

L’ensemble de la gamme d’alarme de Type 4 à pile est aussi constitué de Type 4 à pile radio et de type 4 secteur équipés de 1 à 3 zones.

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Les dangers des batteries lithium

les dangers des batteries lithium.Les batteries endommagées présentent des risques d’emballement thermique, des risques de court-circuit, des risques chimiques dus aux fuites d’électrolyte, des risques d’incendie dus à l’exposition du lithium à humidité de l’air et des risques d’explosion en cas d’emballement de la combustion.

Les batteries au lithium sont aujourd’hui utilisées dans un nombre important de secteurs, pour répondre aux besoins d’équipements portables, de transport électrique ou de stockage d’énergies renouvelables. Elles exposent leurs utilisateurs à des risques professionnels (électriques, chimiques, incendie et explosion, TMS). Quelques conseils pour évaluer ces risques et principales mesures de prévention à mettre en place…

Un enregistrement vidéo montre le départ du feu qui a entièrement consumé un bus électrique de la RATP ce vendredi 29 avril. L’incident n’a pas fait de blessé.

https://www.leparisien.fr/video/video-bus-en-feu-a-paris-regardez-les-images-du-debut-de-lincendie-du-vehicule-de-la-ratp-29-04-2022-KJZAIZDLUBCUXPCHKWBSULAUVM.php

Le bus s’est embrasé en quelques secondes. C’est ce que l’on peut observer sur la vidéo qui a capturé le tout début de l’incendie d’un véhicule électrique de la RATP à Paris, ce vendredi 29 avril. Sur les images, on peut voir une petite explosion se produire sur le toit du bus, là où sont situées les batteries, suivie d’immenses flammes qui se sont étendues à toute la carrosserie, à une vitesse folle.

Le probleme des batteries Lithium !!

Le dangers qui est entrain d arriver ,se sont surtout les les velos electrique Constat et problématique :Les critères de sécurité concernant la mise sur le marché européen des EPDM ne sont pas systématiquement appliqués. De nombreux produits importés sont susceptibles d’êtrenettement moins fiables lorsqu’ils atteignent 500 cycles de recharge, soit une durée de vied’environ 3 ans. Un vieillissement prématuré est notamment constaté en cas d’usage intensif, sous la pluie, dans des mauvaises conditions (décharges profondes, non-respect des plages de tension et de température…), cumulé à d’autres avaries et potentiels défautsinhérents au niveau de qualité du produit.Tous les mois, l’actualité fait le constat de graves sinistres incendie suite à l’explosion d’une batterie, principalement à domicile pendant la recharge



En décembre 2017, les employés d'ecomaine ont agi rapidement pour éteindre un incendie qui s'est rapidement propagé dans son centre de recyclage. Cet incendie a été causé par une batterie au lithium-ion, qui ne doit JAMAIS être placée dans votre bac de recyclage à tri unique ! 
Lorsqu'une batterie lithium-ion entre dans le flux de recyclage des batteries au plomb, les conséquences peuvent être très graves.

Ce sont de vieux rasoirs electriques, des batteries d’ordinateurs ou d’aspirateurs que l’on jette sans se soucier de leur destination. Mais ces objets contiennent en fait des batteries au lithium-ion qui prennent feu quand on les écrase. Elles peuvent provoquer de grands incendies dans les déchetteries qui recyclent le métal. C’est un enjeu à la fois écologique et social.

LES BATTERIES LITHIUM

Les batteries Lithium-Ion sont une technologie relativement récente. Mais depuis leur lancement au début des années 90, elles ont eu un impact considérable sur le marché du stockage d’énergie et ont progressivement remplacé les anciennes technologies. Aujourd’hui, les batteries au lithium sont indispensables pour notre vie quotidienne : elles sont petites et efficaces, et donc intéressantes pour de nombreuses applications. Non seulement les smartphones et les tablettes tirent leur énergie des batteries au Lithium, mais celles-ci jouent également un rôle important dans le domaine de l’électromobilité. Une batterie au lithium se distingue notamment par sa densité d’énergie élevée, son faible poids propre et sa technologie de charge rapide.

Le revers de la médaille : vous entendez toujours parler d’incidents liés aux batteries lithium-Ion. Incendie dans un garage causé par la batterie d’un vélo électrique en 2017, décès lors de l’explosion d’un chargeur de batterie en 2018… Le fait est que les explosions et les incendies de batteries lithium-Ion peuvent avoir des conséquences désastreuses, entraînant des dommages conséquents ou, dans le pire des cas, un coût en vies humaines. C’est pourquoi il devient urgent d’aborder la question de la manipulation et du stockage sécurisé, non seulement pour les particuliers mais surtout pour les entreprises. Ainsi, la loi sur la sécurité au travail demande aux employeurs d’identifier et d’évaluer les dangers, afin de mettre en œuvre des mesures de protection adaptées.

MAIS UN TRES DANGER, ET CHEZ LES PARTICULIERS 

Les batteries au lithium sont aujourd’hui utilisées dans un nombre important de secteurs, pour répondre aux besoins d’équipements portables, de transport électrique ou de stockage d’énergies renouvelables. Elles exposent leurs utilisateurs à des risques professionnels (électriques, chimiques, incendie et explosion, TMS). Quelques conseils pour évaluer ces risques et principales mesures de prévention à mettre en place…

Le problème des batteries Lithium !!

Le dangers qui est en train d’arriver, se sont surtout les vélos électrique Constat et problématique : Les critères de sécurité concernant la mise sur le marché européen des EPDM ne sont pas systématiquement appliqués. De nombreux produits importés sont susceptibles d’être nettement moins fiables lorsqu’ils atteignent 500 cycles de recharge, soit une durée de vie d’environ 3 ans. Un vieillissement prématuré est notamment constaté en cas d’usage intensif, sous la pluie, dans des mauvaises conditions (décharges profondes, non-respect des plages de tension et de température…), cumulé à d’autres avaries et potentiels défauts inhérents au niveau de qualité du produit. Tous les mois, l’actualité fait le constat de graves sinistres incendie suite à l’explosion d’une batterie, principalement à domicile pendant la recharge

COMMENT FONCTIONNE UNE BATTERIE LITHIUM-ION ?

Afin de pouvoir évaluer les risques posés par le stockage de batteries au lithium, il est très utile de connaître leur fonctionnement. Tout d’abord, il est important de savoir qu’il n’existe pas « une » batterie de Lithium. À la place, il y a une variété de systèmes de stockage d’énergie différents dans lesquels le lithium est utilisé à l’état pur ou sous forme liée. Plus précisément, une distinction est faite entre les cellules lithium-ion primaires (non rechargeables) et secondaires (rechargeables). Dans l’usage courant, on se réfère généralement à ces dernières lorsque l’on parle de batteries lithium-ion, ou mieux encore, d’accumulateurs lithium-ion.

Schema Lithium-ion

Un bloc de batterie est composé de plusieurs cellules en fonction de la puissance. Chaque cellule Lithium-Ion comprend une électrode positive, l’anode, et une électrode négative, la cathode. Entre elles se trouve un électrolyte conducteur d’ions. Il garantit le transport des ions lithium entre les électrodes pendant le processus de charge ou de décharge. Les accumulateurs Lithium-Ion, dans lesquels un électrolyte liquide est utilisé, constituent la forme la plus connue de dispositifs de stockage d’énergie au lithium. Le séparateur est également un élément important. Il empêche le contact direct entre l’anode et la cathode, et évite ainsi un court-circuit. Lors du déchargement, des ions lithium et des électrons sont libérés du côté de l’anode. Les électrons traversent le circuit externe et effectuent le travail électrique. Pendant ce temps, les ions lithium migrent à travers le liquide électrolytique et à travers le séparateur vers la cathode. Lors du chargement, ce processus est inversé.

Selon le système, la structure et les matériaux utilisés peuvent varier en fonction de la batterie Lithium-Ion. Dans l’accumulateur lithium-polymère, l’électrolyte est incorporé dans la structure moléculaire d’un film polymère. Cela permet de se passer d’un séparateur indépendant. Les batteries au lithium-polymère ne peuvent délivrer que de faibles courants de décharge. Cependant, le film polymère a un design plat, ce qui explique pourquoi ce stockage d’énergie est particulièrement utile pour les téléphones et ordinateurs portables. La batterie au lithium à film mince est un accumulateur d’énergie dans lequel l’électrolyte est remplacé par un gaz à conduction ionique. Cela permet d’utiliser du lithium-métal et donc une densité d’énergie extrêmement élevée. Aujourd’hui, cette technique est une partie importante de la recherche sur les accumulateurs lithium.

PROPRIÉTÉS CHIMIQUES D’UNE BATTERIE LITHIUM-ION

Les entreprises doivent préparer et mettre à disposition une fiche de données de sécurité pour les batteries au lithium. Elle contient généralement de précieuses informations sur le stockage et la manipulation des batteries. Toutefois, on peut aussi souvent trouver des informations sur la composition chimique, qui renseignent sur la dangerosité du produit. Fondamentalement, une pile au lithium peut être divisée en anode (électrode positive), électrolyte liquide et cathode (électrode négative).

Le graphite (C) est généralement utilisé comme matériau anodique, qui n’est pas soumis à un étiquetage obligatoire conformément au règlement SGH.

De nombreux matériaux différents sont utilisés pour la cathode. La composition exacte du matériau de la cathode détermine de manière significative des propriétés telles que la durée de vie, les temps de charge et les performances. Le fer, le manganèse, le dioxyde de cobalt ou le nickel sont souvent utilisés dans la cathode.

L’électrolyte liquide est constitué d’un solvant organique et d’un sel conducteur. Bien qu’il existe une grande variété de solvants possibles, l’hexafluorophosphate de lithium (LiPF6) est presque exclusivement utilisé comme sel conducteur.

Liquide électrolytique = solvant organique + sel conducteur (LiPF6)

La composition chimique exacte du mélange de solvants en question est généralement un secret de fabrication. Toutefois, en consultant les différentes fiches techniques, on peut obtenir un aperçu des composants utilisés. Les points d’éclair des composants du solvant vont de +160°C à une température partiellement inférieure à 0°C. Cela explique l’instabilité thermique d’une batterie au lithium.

Le sel conducteur contient du fluor (F), entre autres. La libération d’acide fluorhydrique (HF) sous forme non concentrée peut entraîner diverses situations dangereuses dans une batterie au lithium endommagée.

QUELS SONT LES DANGERS DES BATTERIES LITHIUM-ION ?

Avec les normes de fabrication actuelles, les batteries au lithium sont considérées comme relativement sûres. En règle générale, le fabricant effectue différents tests de sécurité avant de mettre les produits (en série) sur le marché. Par exemple, le transport de batteries lithium-ion est autorisé seulement si un certificat de test conforme à la section 38.3 du Manuel d’épreuves et de critères de l’ONU est fourni. Pour obtenir ce certificat, il faudra effectuer avec succès une série de tests dans lesquels les batteries sont testées dans diverses conditions de transport. Celles-ci incluent notamment :

  • Simulation d’altitude
  • Test thermique
  • Vibrations
  • Coups
  • Court-circuit externe
  • Test d’impact / de compression
  • Surcharge
  • Décharge forcée

Étant donné que les batteries utilisées lors de ces tests peuvent être sollicitées au-delà de leurs limites de charge, elles sont soumises à des mesures de sécurité particulières.

Afin d’augmenter la sécurité des batteries Lithium-Ion, les fabricants peuvent déjà les équiper avec divers dispositifs de sécurité au niveau cellulaire. Si un électrolyte inflammable est utilisé à l’intérieur de la cellule, des additifs ignifuges peuvent par exemple être ajoutés pour assurer une meilleure protection. Le stockage de l’accumulateur dans un boîtier résistant à la corrosion avec de la mousse ignifuge peut également être une mesure efficace.

Néanmoins, il est important de faire particulièrement attention aux batteries Lithium-Ion, car elles peuvent toujours provoquer des incendies dangereux. Par exemple, si les batteries Lithium-Ion sont mal manipulées ou stockées, elles peuvent poser un risque de sécurité important. Le danger provient d’abord de la conception même de la batterie. La rencontre entre des matériaux à haute densité énergétique et des électrolytes très inflammables est l’exemple même d’un mélange dangereux. Cela devient particulièrement dangereux lorsqu’une batterie au lithium libère de manière incontrôlée l’énergie qu’elle a stockée. Car dès que la chaleur générée dépasse le point de fusion du séparateur, une réaction en chaîne incontrôlable se produit, le redouté « emballement thermique ».

L’EMBALLEMENT THERMIQUE, OU « THERMAL RUNAWAY »

L’énergie thermique élevée conduit d’abord à l’évaporation de l’électrolyte, créant ainsi de la chaleur supplémentaire et des gaz combustibles. Si la pression dépasse un certain point, les gaz inflammables sont libérés et forment un mélange inflammable avec l’air : des flammes apparaissent à l’extérieur de la batterie. Le courant thermique d’une seule cellule suffit à chauffer les cellules voisines du bloc de batterie jusqu’à une forte réaction en chaîne aux conséquences graves. Une fois cette réaction en chaîne enclenchée, il ne faut que quelques minutes pour que la batterie brûle de manière explosive. De tels incendies avec des batteries au lithium sont difficiles à contrôler et le feu se propage rapidement. Les pompiers n’ont souvent pour tâche que de protéger les zones avoisinantes.

Courbe de l'emballement thermique

CAUSES FRÉQUENTES D’INCENDIE

En fonctionnement normal, les batteries au lithium sont considérées comme sans risque. Cependant, cela n’est vrai que si tout le monde sait les utiliser correctement. Si les batteries lithium-ion sont mal manipulées ou mal stockées, par exemple, elles peuvent présenter un risque important pour la sécurité. On ne peut pas toujours exclure d’emblée les défauts techniques à l’usine.

CES TROIS ASPECTS SONT PARTICULIÈREMENT DANGEREUX :

SURCHARGES ÉLECTRIQUES

DOMMAGES MÉCANIQUES

SURCHARGES THERMIQUES

SURCHARGES ÉLECTRIQUES

Un risque typique lors de la manipulation des batteries au lithium est à vrai dire assez courant, à savoir la charge et la décharge. Une surcharge électrique peut se produire ici pour plusieurs raisons, par exemple avec l’utilisation d’un chargeur inadapté.

Suite à une décharge complète, un incendie peut également s’enclencher. Si les batteries lithium-ion ne sont pas utilisées pendant une longue période, elles peuvent se décharger complètement. Des conditions de stockage incorrectes, par exemple, un stockage en dehors de la température recommandée par le fabricant, peuvent favoriser cet effet (par exemple, les températures extérieures froides, notamment pendant les mois d’hiver). Dans ce cas, le liquide électrolytique se décompose et par conséquent, des gaz facilement inflammables se forment. Si l’on tente ensuite de recharger les batteries complètement vidées, l’énergie fournie ne peut plus être convertie correctement en raison du manque de fluide électrolytique. Cela peut provoquer un court-circuit ou un incendie.

DOMMAGES MÉCANIQUES

Lors de la manipulation de batteries lithium-ion, il y a toujours un risque d’endommagement. Des collisions avec des véhicules en marche, une chute sur un sol dur ou une compression dans des conditions de stockage incorrectes ne sont que quelques exemples de dommages mécaniques. En cas de déformation des cellules, cela peut entraîner un court-circuit interne et un incendie de la batterie. De plus, les impuretés dans la production des cellules elles-mêmes ne peuvent pas être exclues à 100%. Dans de rares cas, il est possible que des particules faussement libérées dans la cellule pendant la production les endommagent de l’intérieur avec le temps. Ici aussi, des courts-circuits internes peuvent se produire.

SURCHARGES THERMIQUES

Les sources de chaleur ou d’énergie externes peuvent chauffer les batteries au lithium et donc provoquer un incendie à cause de la surcharge thermique. Les sources de danger typiques sont, par exemple, les feux ouverts, les pièces de machines chaudes ou le stockage en plein soleil.

Les contraintes thermiques peuvent affecter non seulement la durée de vie des batteries lithium-ion, mais aussi leur sécurité. N’exposez pas directement et durablement les accumulateurs à des températures élevées ou à des sources de chaleur. Cela inclut également la lumière directe du soleil. L’exposition prolongée au froid doit également être évitée, car elle favorise les décharges profondes lors de l’utilisation. Si des batteries profondément déchargées sont ensuite reconnectés à un chargeur, un incendie peut également se déclarer. Respectez donc les températures de fonctionnement et de stockage recommandées par le fabricant.

Le contact avec l’humidité (par ex. précipitations, condensation ou éclaboussures d’eau) peut provoquer un court-circuit de l’accumulateur. C’est pourquoi vous devez toujours stocker les batteries au lithium dans un endroit sec et les protéger de l’humidité pendant le transport et l’utilisation.

L’une des causes les plus fréquentes d’incendie de batteries, surtout à la maison, est l’utilisation de chargeurs incompatibles. Celles-ci peuvent, par exemple, avoir une tension plus élevée que celle nécessaire à la batterie et la détruire. Par conséquent, n’utilisez que des chargeurs destinés à être utilisés avec votre modèle de batterie.

En plus de l’utilisation de chargeurs incorrects, il existe d’autres risques lors du processus de charge. Ne chargez pas les batteries au lithium pendant de longues périodes lorsqu’elles ne sont pas utilisées. En outre, les objets inflammables à proximité ne sont pas une bonne idée. Si possible, placez la batterie sur un sol en béton ou en carrelage pendant la charge. Si vous souhaitez stocker des batteries par la suite, un niveau de charge d’environ 30% est recommandé. Cela réduit la quantité d’énergie pouvant causer des dommages en cas d’urgence. Attention : Il doit toujours y avoir un certain niveau minimum de charge pour éviter une décharge profonde. Dans ce cas-là, suivez les instructions du fabricant.

Les dommages mécaniques peuvent entraîner la déformation des cellules à l’intérieur de la batterie et provoquer des courts-circuits internes. Par conséquent, assurez-vous que les accumulateurs lithium-ion ne soient exposés à aucun choc, coup ou des collisions. Si quelque chose devait arriver, les batteries endommagées ne devraient plus être utilisées, mais enlevées immédiatement, stockées séparément et éliminées de façon appropriée. Par mesure de précaution, vous devez également fixer les pôles des batteries endommagées, par exemple à l’aide de capuchons polaires. Bien entendu, les batteries au lithium ne doivent pas être démontées, ouvertes ou écrasées.

LUTTE CONTRE LES INCENDIES DE BATTERIES AU LITHIUM

Que faire en cas d’incendie ? Les incendies de batteries lithium-ion sont considérés comme très difficiles à combattre. Les tentatives d’extinction des incendies avec des agents inertes classiques sont généralement infructueuses, car les batteries au lithium produisent elles-mêmes l’oxygène nécessaire à l’incendie. Lors du choix de l’agent d’extinction approprié, la taille et la quantité des batteries, mais aussi les conditions de fonctionnement jouent tout un rôle. En général, il est important d’évaluer les risques et les dangers individuels présents dans l’entreprise et de développer un concept d’extinction et de protection contre l’incendie approprié en coopération avec des experts et des assureurs.

EXTINCTION PAR L’EAU

Les avis divergent quant à l’utilisation de l’eau comme agent d’extinction. Le lithium étant très réactif, certains déconseillent de le mettre en contact avec l’eau. Cependant, des recherches récentes suggèrent que de plus grandes quantités d’eau sont capables de contenir et de combattre efficacement les incendies de lithium. Les explications données ici incluent l’effet de refroidissement, qui ralentit la réaction des cellules. Néanmoins, les grandes batteries, par exemple celles des voitures électriques en feu, représentent régulièrement un énorme défi pour les services d’incendie. Cela s’explique facilement par la structure d’une batterie de traction :

Fondamentalement, une grande batterie de traction se compose de nombreuses petites cellules qui sont reliées entre elles. Si une seule cellule chauffe, dans le pire des cas au milieu du module, les cellules voisines sont inévitablement chauffées elles aussi. Il en résulte une réaction en chaîne, qui conduit à une libération d’énergie beaucoup plus importante. Si la réaction en chaîne a été déclenchée à partir du centre de la batterie, il est presque impossible de l’atteindre avec un agent d’extinction, par exemple de l’eau, et donc d’arrêter ou de contenir la réaction. Si l’on essaie maintenant de refroidir un tel module, l’eau n’atteint que les couches extérieures ou le boîtier des batteries. La situation est différente avec les petits modules, où moins de cellules sont utilisées. Ici, le refroidissement externe a généralement un effet direct sur les cellules en réaction.

Cependant, une quantité d’eau nettement plus importante est nécessaire pour combattre l’incendie que dans les incendies classiques. Afin d’éteindre plus rapidement et, si possible, de réduire la quantité d’eau nécessaire, divers additifs peuvent être ajoutés à l’eau d’extinction. En cas de réaction, il y a également un risque que des substances nocives telles que l’acide chlorhydrique ou fluorhydrique soient sécrétées à l’intérieur de la cellule. Elles peuvent se présenter, par exemple, sous forme de vapeurs et nuire aux personnes par contact avec la peau ou par inhalation. Pendant le processus d’extinction, ils peuvent être dilués par l’eau d’extinction, s’infiltrer dans le sol (si aucun dispositif de rétention approprié n’est disponible) et causer des dommages environnementaux.

TECHNOLOGIE D’EXTINCTION PAR AÉROSOL

Une autre possibilité d’utiliser une technique d’extinction pour les feux de lithium est la technique d’extinction par aérosol. Il s’agit d’un système technique opérationnel en permanence qui est utilisé pour éteindre l’incendie jusqu’à ce que les pompiers arrivent pour l’éteindre définitivement. La technologie d’extinction fonctionne conformément à la norme EN 15276-10 sans ajout d’eau. Le générateur d’extinction interrompt effectivement le processus de combustion chimique dans un délai de 4,5 à 15 secondes (selon le modèle) lorsque la température augmente. Cette technologie est respectueuse de l’environnement et compatible avec l’homme (non nocive, ne déplaçant pas l’oxygène) et est, entre autres, répertoriée comme « agent d’extinction de substitution HALON » officiel par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (U.S.EPA). En raison du faible poids / volume d’installation et du fait qu’aucune tuyauterie n’est nécessaire, une installation facile et rapide est possible. Les coûts d’investissement et de suivi restent également faibles, car la technologie d’extinction par aérosol ne nécessite aucun entretien et a une longue durée de vie.

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SONT SUR LE POINT DE METTRE UN DISPOSITIF SUR POUR LES PARTICULIERS

Risques incendie des applications de stockage batteries dans le bâtiment

RETEX — Une batterie de trottinette provoque un violent feu d’appartement

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Protection Incendie des Hangars aéronautiques

Nos Hangars avions et notre activité n’est pas considéré comme « ERP » (établissement recevant du public). Ceci étant nous pouvons tout à fait recevoir nos proches et moins proches occasionnellement.

La protection Incendie requise est défini dans la Règle APSAD R4, précisant les moyens Extincteurs mobiles.

  • Nous sommes considérés comme une activité Industrielle (l’autre possibilité étant tertiaire, que nous ne sommes absolument pas)
    La règle définit le besoin par unité de base de :
    • 1 extincteur de 9 I eau ou, 
    • 1 extincteur de 9 I eau avec additif ou, -1 extincteur de 9 kg poudre ABC ou, -1 extincteur de 9 kg poudre BC ou, -1 extincteur de 9 I mousse ou, – 3 extincteurs de 5 kg C02.
  • Chaque zone de base doit être dotée d’une unité de base par 200 m2 de surface au sol ou fraction de 200 m2. 
    Toutefois, pour une activité industrielle, il pourra être admis de doter chaque zone de base d’un extincteur de 6 1 ou de 6 kg par 150 m2 ou fraction de 150 m2.
    Nota : dans le cas particulier d’un bâtiment isolé (local gardien …) ou d’un niveau (y compris mezzanine, caillebotis, plate-forme, etc..) de surface (S) inférieure ou égale à 200 m2, on prévoira pour ce bâtiment ou ce niveau la dotation minimale suivante et correspondant à l’activité déterminée: 
    – inférieure à 100 M2: 1 unité de base, 
    – comprise entre 100 et 200 M2: 2 unités de base. 

Une protection complémentaire est nécessaire au regard du carburant de nos réservoirs d’aéronefs.

La maintenance doit être effectuée tous les ans, avec une tolérance de plus ou moins deux mois, par une personne compétente. Est compétente une personne « employée par une entreprise […] ou un organisme certifié ayant la formation et l’expérience nécessaires ». 

Les risques d’incendie à bord des bateaux

Si les incendies restent relativement rares à bord des bateaux de plaisance, ils peuvent se propager rapidement et faire courir des risques mortels

Contrairement aux navires de commerce, les normes anti-incendie relatives à la construction des bateaux de plaisance sont très peu exigeantes et dépendent essentiellement des constructeurs.

Un défaut sans doute lié à la nature des matériaux de construction : la résine polyester, ce dérivé de pétrole hautement inflammable, est largement majoritaire dans l’architecture des voiliers modernes. Devant cet état de fait, la principale marge de manoeuvre des plaisanciers pour lutter contre les incendies reste la prévention. Nous vous proposons un petit tour des principales causes de feu sur les navires, des moyens de les prévenir… et de les éteindre.

Tout d’abord, rappelons quelques notions de base peut être oubliées sur les bancs de l’école.

Pour démarrer, un feu nécessite trois éléments :

1-une source de chaleur : flamme, étincelle, surchauffe du moteur, etc.

2-un combustible : les matières qui composent nos bateaux sont souvent de très bons conducteurs de feu : résines composites, bois, voire certains métaux comme l’aluminium dont le point de fusion si situe à seulement 660°C.

3-un comburant : en général l’oxygène de l’air

Si l’on supprime un de ces trois paramètres, l’incendie ne peut pas avoir lieu.

Principales causes d’incendie à bord des bateaux de plaisance

Feu dans la cale moteur

Un grand classique, pas si rare qu’on pourrait le penser. Ce type de feu peut être causé par une fuite d’huile et de gazoil associée à une surchauffe du moteur ou un court-circuit électrique.

En prévention

-s’assurer de la bonne ventilation de la cale moteur au moment de le démarrer, que ce soit par un extracteur électrique ou par une ventilation naturelle

-vérifier l’étanchéité du moteur

-s’assurer que le moteur refroidit correctement (la vanne de refroidissement eau de mer est ouverte, le moteur crache bien de l’eau à l’échappement vérification du niveau de liquide de refroidissement)

-surveiller la température moteur pendant son fonctionnement

-ne pas dépasser le niveau d’huile maximum

-vérifier le bon état du circuit électrique et des fusibles

-ne pas sur-solliciter le démarreur

En cas d’incendie

Ne surtout pas ouvrir la cale moteur pour éviter d’alimenter le feu par apport d’oxygène supplémentaire.

Ouvrir le bouchon d’accès prévu pour l’extincteur entre les marches de la descente (l’escalier du bateau) et vider l’extincteur par cet orifice. Utiliser au besoin les autres extincteurs disponibles pour venir à bout de l’incendie.

Si le feu ne s’éteint pas malgré ces mesures, évacuer le bateau au plus vite.

Feux de cuisine

Les feux de cuisine sont généralement dûs à l’inflammation de graisses ou huile en contact avec les brûleurs de la gazinière. On les appelle des « feux gras ».

En prévention

-ne pas surdoser les quantités d’huile ou de matières grasses pour la cuisson des aliments

-couvrir les casseroles pour éviter tout risque de projection d’huile ou de matière grasse

-sécuriser les casseroles par les fers de fixation adaptables sur les gazinière des bateaux

-déverrouiller le cardan de la gazinière pour prévenir le renversements des liquides en navigation

En cas d’incendie

-ne jamais utiliser un extincteur à eau sur un feu de cuisine, sous peine de le propager partout dans le bateau par projection de matières grasses enflammées.

-utiliser une couverture anti-feu règlementaire pour étouffer l’incendie.

Feux d’origine électrique

Les courts-circuits représentent une cause d’incendie non négligeable à bord des bateaux.

Ils sont provoqués par une mauvaise isolation des câbles, des fusibles absents, défectueux ou inadaptés à l’ampérage demandé.

En prévention

-vérifier le bon état des câbles et la conformité du circuit électrique avec l’utilisation qui en est faite.

-s’assurer que les fusibles sont placés aux bons endroits, qu’ils soient opérationnels et adaptés à l’ampérage des appareils du bord

-éviter de trop « tirer » sur certains circuits très gourmands en énergie comme le guindeau où le propulseur d’étrave. Si un fusible de guindeau saute, mieux vaut remonter l’ancre à la main plutôt que de risquer une surchauffe des câbles susceptible de provoquer un départ de feu.

En cas d’incendie

-utiliser les extincteurs du bord

-fermer les coupe-circuits

Feu propagé à une coque ou à un pont en résine

La résine polyester avec laquelle sont fabriqués la plupart des bateaux de plaisance est un excellent combustible.  Un feu sur ce type de matériau va donc se propager très rapidement tout en produisant des fumées extrêmement toxiques.

En prévention

-veiller au maintien en bon état des équipements susceptibles de provoquer des départs de feu et à leur bonne utilisation (circuit électrique, circuit et stockage de gaz, bonne ventilation du moteur, etc. )

En cas d’incendie

-agir le plus vite possible pour éteindre l’incendie au moyen des extincteurs du bord

-si le feu ne s’éteint pas, évacuer le bateau immédiatement

-en cas d’évacuation, s’assurer que le radeau de survie ou l’annexe soit placé au vent du bateau pour éviter toute intoxication par inhalation des fumées de résine brûlée.

Les combustibles inflammables

Le gaz

De par son caractère très inflammable, le gaz au même titre que l’essence doit toujours être stocké à l’extérieur du bateau dans des coffres bien ventilés. Le butane (comme le propane) étant plus lourd que l’air, il peut également stagner dans les fonds du bateau. Ces caractéristiques imposent une surveillance exigeante de l’ensemble du circuit.

En prévention

-stocker les bouteilles de gaz dans des coffres extérieurs équipés de trous dans leur partie basse  pour ventiler les fuites éventuelles

Veiller au bon fonctionnement des divers composants du circuit  de gaz:

-absence de corrosion sur le détendeur de la bouteille

-bon état du circuit rigide

-étanchéité des raccords

-absence de corrosion sur les colliers de serrage

-vérifier que les flexibles sont en bon état, non périmés (la date de péremption figure sur les tuyaux de gaz) et ne subissent pas de contraintes mécaniques excessives (pliages, frottements, torsions etc.)

-vérifier le fonctionnement des vannes et l’absence de fuites au verrouillage

-s’assurer régulièrement que les fonds du bateau soient vides et propres :le gaz étant plus lourd que l’air, il peut descendre et stagner dans les fonds du bateau et cohabite assez mal avec les pompes de cale électriques susceptibles de provoquer une étincelle…

En cas d’incendie

Si le bateau n’a pas déjà explosé…

-éteindre le feu avec les extincteurs du bord.

-couper  au plus vite l’alimentation du gaz

L’essence

Tout comme le gaz, le caractère hautement inflammable de l’essence oblige les plaisanciers à le stocker à l’extérieur du bateau, dans des coffres bien ventilés. L’usage d’essence sur les moteurs in-board est interdit depuis plusieurs décennies.

En prévention

-stocker l’essence dans des bidons étanches et adaptés, le tout placé dans des coffres extérieurs et bien ventilés

-éviter toute source d’étincelle ou de flamme à proximité des bidons

-nettoyer les flaques ou fuites éventuelles lors des manipulations

En cas d’incendie

-utiliser les extincteurs du bord

-si le feu ne s’éteint pas, évacuer le bateau au plus vite et aller se placer au vent de l’incendie pour éviter une intoxication par inhalation de fumées toxiques

La réglementation

A bord des bateaux disposant d’un marquage « CE »  (bateaux construits après 1998 et d’une longueur inférieure ou égale à 24 m) , la liste des moyens de lutte anti-incendie est définie par le constructeur, conformément à la nouvelle Division 240 (1er mai 2015) relative à l’armement des navires de plaisance. Cette liste est consultable dans le manuel du propriétaire du bateau.

Pour les bateaux ne disposant pas d’un marquage « CE », la liste des moyens de lutte contre l’incendie est définie par la Division 245 depuis le 1er mai 2015.

A titre indicatif, les moyens de lutte contre l’incendie à bord des bateaux de plaisance de longueur inférieure ou égale à 24 mètres sont généralement détaillés de la façon suivante:

-1 extincteur de type 34 B placé à moins d’1 mètre de la cale moteur

-1 extincteur placé à moins de 5 mètres de chaque cabine

-1 couverture anti-feu pour lutter contre les feux de cuisine


Classes de feu et types d’extincteurs

Les extincteurs peuvent être adaptés à un ou plusieurs types de feux. La législation distingue 5 classes de feux :

Classe A : feux de solide

Classe B : feux de liquide ou de solide liquéfiable

Classe C : feux de gaz

Classe D : feux de métaux

Classe F : feux d’auxiliaires de cuisson

La majorité des extincteurs imposés par les constructeurs de bateaux de plaisance sont polyvalents et couvrent les feux de classe A, B et C.

Nota bene : un extincteur contenant 1 kg de poudre se vide en moins de 10 secondes. Pour plus de sécurité, il peut être utile d’acheter des extincteurs de capacité supérieure à celle recommandée par le fabricant.

Extincteur, ce que réclame la réglementation

On se doute qu’il faut avoir des extincteurs à bord pour lutter contre l’incendie. Mais quel modèle, quel capacité et combien faut-il en prévoir ? La réglementation vous impose ses règles.

Les extincteurs sont définis par un chiffre (leur volume) et une lettre le type de feu pour lesquels ils sont prévus. Pour lutter contre l’incendie, la réglementation en place définit certaines règles. S’il faut obligatoirement les appliquer, rien ne vous empêche de vous équiper avec en plus des matériels plus nombreux ou plus performants.

Bateau construit avant ou après le marquage CE

Si votre bateau a un marquage CE, les moyens de lutte contre l’incendie (nombre d’extincteur, capacité, emplacement, type d’extincteur) sont définis par le constructeur du bateau. Dans son cahier des charges, il a évalué les risques d’incendie et de propagation du feu. L’emplacement et la capacité de ces équipements sont indiqués (sur l’embarcation et dans le manuel du propriétaire).

Pour le cas des bateaux qui ne possèdent pas de marquage CE (bateaux anciens), les moyens de lutte contre l’incendie sont définis par la division 245 (depuis le 1er mai 2015).

Cette division 245 définie les règles de construction et d’équipement des navires de plaisance exclus du marquage CE d’une longueur de coque inférieure à 24 m.

Pour les navires motorisés

Motorisation hors-bord

Tout extincteur requis pour la protection d’un moteur hors-bord se situe à une distance du poste de barre principal ou du cockpit n’excédant pas 1 m pour les navires dont la longueur de coque est inférieure à 10 m, et n’excédant pas 2,5 m pour les autres navires.

Hors-bord d’une puissance comprise entre 25 et 220 kW (moins de 295 ch)

Un parc d’extincteur d’une capacité totale de 34B

Hors-bord d’une puissance supérieure à 220 kW (plus de 295 ch)

Un parc d’extincteurs portatifs d’une capacité totale combinée équivalente à 0.3 x P (P étant la puissance totale des moteur en kW). Par exemple, un bateau motorisé par 400 ch (298 kW) devra embarquer des extincteurs d’une capacité de 90B.

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