Aujourd hui mise en place des premiers extincteurs et la mise en conformité en securité incendie, alarme incendie,plans evacuations etc dans le nouveau batiment des restos du coeur des secteurs Flandre, Calaisis, Dunkerquois, AudomaroisFin de mission debut Mars .Je remercie de votre confiance .
une méthodologie opérationnelle et les aménagements
La préservation du patrimoine culturel est essentielle. Aussi la réalisation d’un plan de prévention des risques et de sauvegarde des biens constitue une priorité. Au travers la fabrication de housses et de bâches anti feu et chaleur , destinées à protéger rapidement les toiles, sculptures et autres œuvres d’art, nous veillons à faciliter les opérations de secours.
PROTECTION DES OEUVRES ET BIENS CULTURELS EN CAS DE SINISTRE
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PROTECTION DES OEUVRES ET BIENS CULTURELS EN CAS DE SINISTRE
SERVICES
Sur site ou en atelier dans les locaux, l équipe technique de Protec Sentinel propose des services sur-mesure pour l’ignifugation de vos Oeuvres et Biens Culturels , la confection d’équipements de protection spécifiques
Protec Sentinel formule et fabrique des produits ignifuges, des protections ignifugées et confectionne des housses ou bâches ignifugées. On répond à tout vos besoins spécifiques en matière de protection passive contre l’incendie.Musées etc
QU’EST CE QUE LE FEU ?
Le feu est la production d’une flamme et la dégradation visible d’un corps par une réaction chimique d’oxydo-réduction exothermique appelée combustion. De manière générale, le terme « feu » désigne souvent un phénomène produisant de la lumière et de la chaleur, qu’il provienne d’une combustion ou non.
LE RISQUE INCENDIE
Le risque incendie est partout! Tout matériau combustible est susceptible de propager un incendie. Pour éviter qu’il se propage, et retarder le temps d’inflammation, il existe plusieurs techniques d’ignifugation. A défaut, des matériaux spécifiquement ignifugés à la fabrication peuvent aussi être utilisés pour limiter le risque incendie.
QUELS SONT LES MATÉRIAUX CONCERNÉS ?
Tous les matériaux sont affectés par le feu. Les matériaux combustibles (à base de matrices végétale ou animale – toutes organiques) brûlent et propage alors l’incendie. Ils perdent aussi leurs caractéristiques physiques durant cette dégradation. Il est possible d’améliorer à la fois la réaction et la résistance au feu dans certains cas. Modifier le comportement au feu peut se faire à sa production, à la suite de sa production ou même une fois en situation.
Les matériaux incombustibles sont eux aussi affectés par la perte de leurs caractéristiques physiques, en particulier leur résistance mécanique qui peut chuter dramatiquement (comme le fluage de métaux provoquant l’effondrement). Dans ces cas de figures des protections externes sont possibles pour fortement changer le comportement au feu des métaux ou du béton.
QU’EST CE QUE LA PROTECTION PASSIVE ?
Alors que la protection active est principalement curative, visant à secourir les victimes et à éteindre un feu aussi vite que possible après sa détection, la protection passive contre l’incendie dans les bâtiments est essentiellement préventive. Elle représente l’ensemble des mesures constructives permettant à un ouvrage ou une partie d’ouvrage de résister à un incendie pendant un temps prédéterminé fixé par la réglementation de construction en vigueur pour le type de bâtiment concerné et à limiter son apparition et sa propagation afin de permettre l’évacuation.
DANS QUELS SECTEURS D’ACTIVITÉ ?
La protection passive contre l’incendie se retrouve principalement dans les secteurs de la construction (Habitations Collectives, Etablissements Recevant du Public, des Travailleurs, etc.), les transports maritimes, ferroviaires, aériens et routiers, l’industrie (emballages, confinements, etc.) et l’aménagement (mobilier, décor de spectacles, salons, etc.)
LA PROTECTION DES PERSONNES
Le but principal de la protection passive contre l’incendie est la protection des personnes afin de permettre leur évacuation: limiter l’ignition et la propagation des flammes, mais aussi réduire les risques liés aux fumées aussi bien terme d’opacité que de toxicité.
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Nouveau client ABSN
NOUVEAU CLIENT !! Merci Anthony Bouchez pour ta confiance pour la mise en conformité de la securité incendie .
La société ABSN est spécialisée sur le marché de la vente et la maintenance toutes marques de matériels de nettoyage.
Fort d’une expérience de plus de 10 ans, cette société vous propose des solutions pour entretenir voir remettre en état, vos équipements et vos locaux. Une entreprise tres serieuse !!!
Pouvez-vous empêcher votre téléphone d’exploser ?
Pensez a nos pochettes anti feu !!#protechsentinel
Comment empêcher nos smartphones de nous exploser à la figure ?
Environ 2,5 millions Galaxy Note 7 défaillants ont dû être rappelés après que les rapports d’explosion ont commencé à faire le tour du monde, un vrai désastre pour Samsung. On ne peut donc pas s’empêcher de se demander pourquoi certaines batteries de smartphones explosent soudainement. Quels sont les facteurs de risques ? Quelles sont les bonnes pratiques à adopter et les mauvaises à éviter à tout prix ? Tentons de comprendre tout cela.
Avant toute chose, aucun smartphone n’est protégé contre ce phénomène d’explosion. Ce n’est ni la première et ni la dernière fois que l’on en parle. En ce qui concerne le Galaxy Note 7, le problème daterait de la conception, toutefois, les autres marques ne sont certainement pas à l’abri. Tout smartphone peut être équipé involontairement d’une batterie défaillante ou présenter un dysfonctionnement pouvant entraîner une surchauffe et une combustion. Ce phénomène ne touche pas forcément un grand nombre d’utilisateurs, mais il reste dangereux.
POURQUOI LES BATTERIES DES SMARTPHONES EXPLOSENT-ELLES ?
L’explosion d’une batterie n’est souvent pas due au hasard. Il est important de savoir que plusieurs facteurs doivent être réunis pour provoquer l’explosion, la batterie n’est pas la seule fautive. Dans la majorité des cas recensés, deux raisons expliquent un tel phénomène : soit le chargeur utilisé n’est pas celui d’origine, soit la batterie elle-même n’est pas l’originale.
Autre facteur clé, les batteries en lithium présentes dans nos appareils sont souvent atteintes d’ « emballement thermique ». C’est-à-dire que la batterie surchauffe de manière exponentielle jusqu’à exploser. Pour contrer cet effet, les constructeurs ont installé un système empêchant la surcharge. La batterie, une fois totalement rechargée, est censée arrêter de cumuler de l’énergie, donc de chauffer.
Maintenant, un autre problème se présente : les batteries sont de plus en plus fines, tout comme l’élément de séparation entre la plaque positive et la plaque négative. Cela diminue l’espace qui permet aux composants chimiques de circuler entre ces deux plaques ! Il suffit d’une simple interaction pour créer une réaction néfaste. La surcharge peut donc provoquer ce type d’incident.
Il est de coutume que les constructeurs insèrent une sorte de fusible afin de prévenir la surchauffe. Ce fusible arrête automatiquement le chargement de l’appareil et évite ainsi tout danger. Toutefois, dans un souci d’économie, certains mettent de côté ce fusible dans les batteries, ce qui provoque la surchauffe et par la suite, l’explosion.
COMMENT PRÉVENIR NOS SMARTPHONES D’EXPLOSER ?
Les Smartphones ne sont pas toujours bon marché et sont souvent considérés comme la prunelle de nos yeux, alors, pourquoi ne pas prendre les précautions nécessaires en les traitant correctement ? Voici donc quelques recommandations pour éviter de voir sa batterie exploser :
– Évitez les chargeurs tiers / non certifiés / faux. Le chargeur à Rs 1000 que vous utilisez sur votre appareil pourrait vous être fatal. Certes, il est moins cher, mais il n’est peut-être pas compatible et ne respecte pas des normes de sécurité.
– Ne surchargez pas. Beaucoup d’utilisateurs mettent leur téléphone en charge à côté d’eux quand ils vont dormir. C’est dangereux surtout s’il n’est pas posé dans un endroit aéré.
– N’utilisez pas de « power bank » non certifiée. Les modèles bon marché peuvent causer des dommages irréparables à votre téléphone.
– Ne laissez pas votre téléphone exposé au soleil pendant trop longtemps, surtout si vous vivez dans un endroit chaud comme Maurice.
– Utilisez une bonne protection téléphonique (une coque) si vous êtes maladroit. Une bonne coque téléphonique absorbera toujours l’impact de la chute.
– N’attendez pas que votre batterie soit au plus bas pour recharger votre smartphone. En dessous de 50 % d’autonomie, les batteries en lithium souffrent. Alors qu’en dessus de 50 %, elle se rechargera vite et sans surchauffer.
NE PANIQUEZ PAS TROP NON PLUS !
Inutile de paniquer ! Samsung recense moins de 100 cas d’explosion sur un lot de 2 millions de Galaxy Note 7s : la probabilité pour que cela vous arrive est de 0,005 %. La plupart des entreprises suivent des mesures de contrôle de qualité poussées, pour éliminer les incidents similaires. Toutefois, « prudence est mère de sûreté » comme nous le rappel si bien un vieux proverbe populaire, et avec la technologie, rien ne doit être écarté.
Les essais de nos protections anti feu et impermeable au Musée de Nermours
Des essais tres concluants ,
Les essais de nos protections anti feu et impermeable au Musée de Nermours ,merci à la LC2R / Laboratoire de Conservation, Restauration et Recherches, Jacques Rebiere et au Musée de Nemours pour leur confiance .#protechsentinel#PSBC#plansauvegardedesbiensculturels
MISE EN PLACE DES PROTECTIONS
PRESENTATION DE PROTECH-SENTINEL
Qui sommes nous ,
Quelles utilisations de nos Produits ?
Caractéristiques Techniques
Performances
Pour renseignement
Bruno Saudemont Tel 0625702201
prevsecurite62@gmail.com
LC2R / Laboratoire de Conservation, Restauration et Recherches et prev securite 62 dans une nouvelle aventure
PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MILITAIRE ET CULTUREL
Mise en place d’une priorisation des collections du musée de l’artillerie de Draguignan, accompagnement par le Laboratoire de Conservation Restauration et Recherches (Draguignan)
#Protechsentinel #LC2R #PrevSecurite62
MAINTENANCE ET RÉGLEMENTATION BAES
OBLIGATION DE DISPOSER DE BAES
Le Code du travail impose l’installation d’un éclairage de sécurité dans les établissements recevant du public (ERP) et dans les locaux d’entreprise où sont amenés à séjourner des salariés. Les règles en vigueur portent d’une part sur les caractéristiques des équipements à installer, d’autre part sur leur maintenance. Les enjeux de la réglementation BAES sont d’autant plus grands que ces dispositifs ont largement prouvé leur utilité pour sauver des vies en cas d’incendie. Lorsque l’alimentation électrique générale est coupée, les locaux doivent pouvoir être éclairés par un système secondaire d’éclairage de sécurité, servant principalement à baliser les parcours d’évacuation. De manière à pouvoir être repérés aisément, même en cas de visibilité réduite, ces balises doivent être lumineuses. La réglementation BAES précise les modalités de mise en oeuvre de cet éclairage de secours, indispensable à l’évacuation des personnes et à la prévention des mouvements de panique que pourrait provoquer l’obscurité.
LES DISPOSITIFS À UTILISER ET LES NORMES BAES
La réglementation précise que l’éclairage de sécurité, assuré par les BAES, doit être en position de veille pendant les temps d’ouverture ou d’exploitation des locaux. Il est mis en service lorsque le système d’éclairage normal de l’établissement est défaillant. La source de sécurité qui alimente les BAES doit permettre un fonctionnement autonome minimal de 60 minutes et fournir un flux lumineux d’au moins 45 lumens. Les blocs autonomes doivent répondre à la norme NF AEAS, NF C71-800 pour le balisage des parcours d’évacuation, NF c71-801 pour l’éclairage d’ambiance anti-panique. Les dispositifs peuvent être à incandescence, à fluorescence de type permanent, à fluorescence de type non permanent, ou encore à diodes électroluminiscentes. La réglementation sur les BAES précise par ailleurs que ces dispositifs d’éclairage de secours doivent disposer de mécanismes centralisés permettant leur mise à l’état de repos.
RÈGLES D’IMPLANTATION DES BAES
L’éclairage d’évacuation doit être mise en place tous les 15 mètres le long des parcours dédiés. Il convient de signaler les issues de secours, les obstacles, les changements de direction du parcours, ainsi que les changements de niveaux. De même, une balise est à prévoir aux sorties des salles. Ces balises sont implantées dans les escaliers, les halls, les couloirs. Pour les ERP ou établissements recevant du public sont concernés les locaux de 300m² ou plus (100m² en sous-sol). Les règles s’appliquent également dans les ERT (établissements recevant des travailleurs), dès lors que les locaux accueillent plus de 20 personnes.
L’IMPORTANCE DE LA MAINTENANCE DES BAES
La maintenance des BAES (Blocs Autonomes d’Eclairage de Sécurité) est essentielle afin d’assurer la sécurité des personnes réunies dans un lieu public ou professionnel. Leur bon fonctionnement en secours facilite l’évacuation des lieux et peut s’avérer fondamental. C’est pourquoi, la réglementation en vigueur en matière de sécurité incendie prévoit l’entretien régulier par un professionnel des blocs d’éclairage de sécurité.
LA MAINTENANCE DES BAES ÉTAPE PAR ÉTAPE
La maintenance des BAES est une obligation légale dont la responsabilité incombe au chef d’établissement. Celui-ci se doit d’assurer des interventions régulières d’entretien, dont un contrôle annuel (effectué par une personne qualifiée) qui sera consigné dans le registre de sécurité de l’entreprise ou de l’établissement en question.
Les opérations de maintenance des BAES visent à vérifier :
- la présence et la conformité des blocs de secours, selon les dispositions de loi en vigueur
- la visibilité des blocs de sécurité à l’intérieur des locaux professionnels
- le parfait état physique des BAES
- le bon fonctionnement de tous les composants (lampes de sécurité, batteries, télécommandes…)
- la propreté générale de tous les blocs installés
L’entreprise de services de sécurité incendie chargée de la vérification s’occupe également de l’étiquetage des blocs vérifiés et remet, à chaque opération de maintenance annuelle, un rapport détaillé qui sera annexé au registre de sécurité.
B.A.E.S
Les blocs autonomes d’éclairage de sécurité participent à la prévention des risques en cas d’incendie : ils contribuent ainsi à maintenir une luminosité suffisante pour éviter les mouvements de panique et permettent d’éclairer et de baliser les parcours d’évacuation. Nous avons vu que ces dispositifs BAES doivent faire l’objet d’une maintenance régulière de manière à être parfaitement fonctionnels en cas d’incendie. Examinons à présent quelles sont les obligations légales des chefs d’entreprise ou d’établissement et ce qu’impose la réglementation sur les BAES.
Désenfumage : quelle réglementation ?
La règlementation relative au désenfumage pour la protection des personnes contre le risque incendie est importante et souvent complexe.
Les locaux industriels et commerciaux, les établissements recevant du public (ERP), les immeubles de grande hauteur (IGH) et les locaux d’habitation sont régis par des textes réglementaires différents.
Obligations de désenfumage pour les locaux de travail
Le code du travail (art R 4216-13 à R 4216-17, art R4216-29 complétés par l’arrêté du 5 août 1992 et la circulaire DRT n° 95-07 du 14 avril 1995) définit la liste des locaux concernés par le désenfumage ainsi que le dimensionnement des dispositifs à prévoir.
Il s’agit de :
- tous les locaux de plus de 300 m²
- les locaux aveugles de plus de 100 m²
- les locaux en sous-sol de plus de 100 m²
- les escaliers
- les cages d’ascenseurs encloisonnées
- les compartiments pour les bâtiments dont le plancher bas du dernier niveau est situé à plus de 8 m du sol
La surface totale des exutoires de fumées doit être au moins égale à 1/100e de la superficie du local avec un minimum de 1 m2. Il en est de même pour celle des amenées d’air.
Les locaux de plus de 2 000m2 sont découpés en cantons de désenfumage. La longueur de chaque canton doit être inférieure ou égale à 60 m et sa superficie ne doit pas excéder 1 600 m2.
L’évaluation du risque incendie dans le bâtiment permettra de déterminer le nombre, la surface et le positionnement des exutoires.
De plus, l’article 14 de l’arrêté du 5 août 1992 fait référence aux règles définies par l’instruction technique n° 246, relative au désenfumage des établissements recevant du public, pour les règles d’exécution technique des systèmes de désenfumage et des écrans de cantonnement. Cela signifie que les règles suivantes sont applicables aux Etablissements Industriels et Commerciaux :
– Implantation :
- prévoir une évacuation de fumée pour 300 m² dans tous les cas de figure.
- si la pente de la toiture est inférieure ou égale à 10 % : tout point du canton ne doit pas être séparé d’une évacuation de fumée par une distance horizontale supérieure à quatre fois la hauteur de référence, cette distance ne pouvant excéder 30 M.
- si la pente de la toiture est supérieure à 10%, les évacuations de fumées doivent être implantées le plus haut possible, leur milieu ne doit pas être situé en dessous de la hauteur de référence du bâtiment. Les exutoires doivent être implantés sur chaque versant de façon égale.
– Hauteur minimale des écrans de cantonnement :
- si H = 8 M, 25% de la hauteur de référence H
- si H > 8 M, 2 M
– Asservissement : conformité à la NFS 61932 et NFS 61938
Obligations de désenfumage pour les établissements recevant du public (ERP)
L’arrêté du 25 juin 1980 modifié et les instructions techniques ministérielles IT 246 et IT 247 encadrent les obligations de désenfumage dans les Etablissements Recevant du Public en fonction de leur catégorie et de leur type.
Catégories de classements des ERP
- 1ère catégorie : au-dessus de 1500 personnes
- 2ème catégorie : de 701 à 1500 personnes
- 3ème catégorie : de 310 à 700 personnes
- 4èmes catégorie : moins de 300 personnes, mais plus que la catégorie 5
- 5ème catégorie : établissements dont les effectifs, définis par type d’activité, sont inférieurs aux seuils indiqués (voir tableau ci-dessous).
TYPE L | -Salle d’auditions, de conférences, de réunions. -Salle de spectacles, de projections à usage multiple. |
TYPE M | -Magasin de vente |
TYPE N | -Restaurant ou débit de boissons |
TYPE O | -Hôtel ou pension de famille |
TYPE P | -Salle de danse ou salle de jeux -Crèche, maternelle, jardin d’enfants, halte-garderie |
TYPE R | -Pensionnat, Colonie de vacances -Autre établissement d’enseignement |
TYPE S | -Bibliothèque ou centre de documentation |
TYPE T | -Salle d’expositions |
TYPE U | -Établissement sanitaire sans hébergement -avec hébergement -pouponnière |
TYPE V | -Établissement de culte |
TYPE W | -Administration, banque |
TYPE X | -Établissement sportif couvert |
TYPE Y | -Musée |
TYPE OA | -Hôtels-restaurants d’altitude |
TYPE GA | -Gares accessibles au public |
Les conditions décrites ci-dessous sont celles énumérées dans l’instruction technique 246. Cette instruction date du 3 mars 1982, modifiée par arrêté du 22 mars 2004 et du 29 décembre 2004, relative au désenfumage dans les ERP, JO du 4 mai 1982, du 1er avril 2004 et du 29 décembre 2004.
Locaux concernés par le désenfumage (Art. DF 7 du JO du 1er avril 2004) :
- tous les locaux de plus de 300 m²
- les locaux aveugles de plus de 100 m²
- les locaux en sous-sol de plus de 100 m²
Terminologie :
- S = surface au sol du local ou du canton
- H = hauteur de référence : moyenne arithmétique des hauteurs du point le plus haut et du point le plus bas de la couverture, du plancher haut ou du plafond suspendu, mesurée à partir de la face supérieure du plancher.
- H’ = hauteur libre de fumée : hauteur de la zone située au-dessous des écrans de cantonnement ou, à défaut d’écran, au-dessous de la couche de fumée et compatible avec l’utilisation du local.
- Ef = épaisseur de la couche de fumée : différence entre la hauteur de référence et la hauteur libre de fumée
- SUI = somme des Aa (SUE) d’un canton
- Alpha = pourcentage obtenu en fonction de la classe du bâtiment et des informations relatives à celui-ci (H et H’).
Implantation :
- Prévoir une évacuation de fumée pour 300 m² dans tous les cas de figure
- si la pente de la toiture est inférieure ou égale à 10 % : tout point du canton ne doit pas être séparé d’une évacuation de fumée par une distance horizontale supérieure à quatre fois la hauteur de référence, cette distance ne pouvant excéder 30 M.
- si la pente de la toiture est supérieure à 10%, les évacuations de fumées doivent être implantées le plus haut possible, leur milieu ne doit pas être situé en dessous de la hauteur de référence du bâtiment. Les exutoires doivent être implantés sur chaque versant de façon égale.
Trois cas à considérer :
- surface du local inférieure à 1000 m² :
SUI = 1/200 x S (ou SUI = alpha x 1000 m² et prendre la valeur la plus faible) - surface du local compris entre 1000 m² et 2000 m² (si longueur inférieure à 60 M)
SUI = alpha x S - surface du local supérieure à 2000 m² ou longueur supérieure à 60 M :
Découpage en cantons de désenfumage aussi égaux que possible d’une superficie maximale de 1600 m² et d’une longueur maximale de 60 M. Ces cantons ne doivent pas, autant que possible, avoir une superficie inférieure à 1000 m².
Si S < 1000 m², SUI = Alpha x 1000 m²
Si S > 1000 m², SUI = Alpha x S
Hauteur minimale des écrans de cantonnement :
- si H = 8 M, 25% de la hauteur de référence H
- si H > 8 M, 2 M
Asservissement : conformité à la NFS 61932 et NFS 61938
Coefficient d’efficacité : le calcul de ce coefficient est envisageable afin d’améliorer (ou de diminuer) les caractéristiques aérauliques des DENFC (exutoires de fumées) selon leur implantation par rapport au plan moyen de la toiture et la longueur des conduits de raccordement verticaux.
Obligations de désenfumage pour les Immeubles de Grande Hauteur (IGH)
Les conditions de désenfumage dans les immeubles de grande hauteur sont définies par l’arrêté du 18 octobre 1977.
Outre les règles relatives aux ERP, des dispositifs de désenfumage doivent être prévus pour les circulations horizontales communes, ainsi que dans les escaliers dont la partie supérieure doit comporter un exutoire d’une surface libre minimale de 1 m2.
Normes
- EN 12101-2 : Norme européenne pour les dispositifs d’évacuation naturelle de fumées.
- NF S 61.930 : Systèmes concourant à la sécurité contre les risques d’incendie.
- NF S 61.931 : Dispositions générales.
- NF S 61.932 : Règles d’installation.
- NF S 61.933 : Règles d’exploitation et de maintenance.
- NF S 61.934 : Centralisateurs de Mise en Sécurité Incendie.
- NF S 61.935 : Unité de Signalisation
- NF S 61.937-1 : DAS : Prescriptions générales.
- NF S 61.938 : Dispositifs de commande.
- NF S 61.939 : Alimentations Pneumatiques de Sécurité
- Référentiel APSAD R17 http://www.cnpp.com/fr/Boutique-Editions/Referentiels/Referentiels-APSAD/Referentiel-APSAD-R17
Ce référentiel concerne les systèmes de désenfumage naturel installés dans tous types de bâtiments. Il s’applique aux établissements pour lesquels une installation de désenfumage naturel est imposée par la réglementation ainsi qu’à tout autre bâtiment industriel et commercial sur demande du prescripteur.
Il définit les exigences relatives à la conception, à l’installation et à la maintenance des dispositifs d’évacuation naturelle des fumées et de chaleur (exutoires de fumées et de chaleur et ouvrants de façade).