Nouveau Système extinction automatique en vente chez Prev sécurité 62
Pas alimentation electrique
Installation simple
Extinction par gaz Neutre
Nouveau Système extinction automatique en vente chez Prev sécurité 62
Pas alimentation electrique
Installation simple
Extinction par gaz Neutre
Douche portatif autonome avec eau déminéralisé et solution antiseptique pour faire face aux brûlures thermiques et chimiques.
Douche portatif 2L en pression auxiliaire
Solution d’urgence ! Compact & léger, idéal pour être dans les véhicules (CRS, Gendarmerie, Armée, Ambulance, etc.)
Douche portatif 6L en pression permanente
Les extincteurs de type A BROUILLARD D’EAU sont une innovation et une NOUVELLE technologie qui utilisent l’eau comme agent d’extinction. Ce type d’extinction est capable d’éteindre des feux de classe A, B (avec 0,5 % d’additif), C, E (présence de courant électrique) et F.
De fines gouttelettes d’eau de 50-60 microns sont projetées à travers un diffuseur spécialement conçu, en augmentant la surface active de l’eau qui rentre en contact avec le feu. Il augmente ainsi la capacité d’extinction de l’eau sur un feu, comparativement à un extincteur à eau classique. De plus, il offre une haute efficacité au test électrique, le refroidissement en douceur de la surface en combustion diminue le danger de destruction des installations due au changement brutal de température.
Voir la video sur le lien suivant :
Les Avantages
• L’agent d’extinction est non toxique, non nocif ou non irritant sur la peau.
• Écologique.
• Sans potentiel de réchauffement global.
• Capable d’éteindre toutes les catégories de feu.
• Ne sali pas après l’extinction.
• Refroidissement en douceur de la surface en combustion diminuant le danger de destruction d’installations.
• Le brouillard d’eau fait un rideau d’eau qui protège contre le rayonnement du feu.
• Haute visibilité durant l’extinction comparé aux extincteurs au CO2 ou à poudre.
• Agent d’extinction économique comparé aux extincteurs classiques.
Capacité disponible : 2L / 6L / 9L
Nouveau Produit chez Prev Securite 62 Bruno Saudemont
La nouvelle série d’extincteurs composites P50 propose des produits pionniers et innovants pour le sport automobile, l’armée, l’aviation et l’industrie aérospatiale en raison de sa composition en matière synthétique comme le Kevlar qui est un matériau à substance fibreuse (appartenant à la famille des aramides) très résistant et léger.
Les séries P50 utilisent trois éléments novateurs – Le tissage détendu, la bague de sécurité du goulot et un corps de haute résistance par Kevlar dont l’enveloppe extérieure est réalisée en polyéthylène de haute densité ce qui offre 100 % de protection UV.
La série P50 se compose de 4 types d’extincteurs:
– Eau avec additif
– poudre ABC
– super poudre BC
– eau pulvérisée avec additif pour feux de cuisine F
L’extincteur P50 à eau avec additif offre une excellente capacité d’extinction sur des incendies de catégorie A et B. De plus il est certifié EN3 et est adapté pour l’utilisation sur des installations électriques jusqu’à 1000 V (à une distance de 1 mètre).
La température de fonctionnement est de +5C jusqu’à +60C. L’extincteur P50 à poudre ABC est conçu pour être placé dans des zones avec différents dangers. L’extincteur offre une excellente capacité d’extinction sur des incendies de catégorie A,B et C. La température de fonctionnement est de -30°C à +60°C. L’extincteur P50 à super poudre BC se base sur l’extinction avec un complexe d’urée de carbonate de potassium. Une extinction qui est 5 fois plus efficace dans des installations à haut risque pétrochimiques et également idéale sur des incendies de lithium. La température de fonctionnement est de +5ºC jusqu’à +60ºC.
Les extincteurs de la série P50 sont certifiés EN3 par les organismes reconnus internationalement de certification Apragaz et BSI ayant été soumis à des tests supplémentaires de laboratoire de la directive EN pour les réservoirs composites (12000 cycles de test de pression à 0-25 bars). Après ce processus le groupe est soumis au test de l’impact et de résistance à la pression. Selon la directive EN la pression du test de l’impact doit surmonter les 55 bars (minimum) – En plus les extincteurs de la série P50 suite au test de la résistance à la pression arrivent à l’éclatement à plus de 80 bars, c’est à dire bien plus que la limite définie par la directive EN.
• 10 ans de garantie (minimisant le coût)
• 20 ans de vie matériau composite à haute résistance fiable
• Matériau composite à haute résistance fiable
• Double sécurité avec deux manomètres de contrôle de la pression
• Traité anti UV
• Tête en laiton nickelé
• Ne rouille pas
• Aucune émission de carbone
• Léger et facile à utiliser
• Approuvé et certifié EN3 et MED
• 100% recyclable
Capacité disponible :
2KG / 4KG / 6KG / 9KG
2L / 6L / 9L
6L classe F
Nouveau Système extinction automatique en vente chez Prev sécurité 62
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Je vous propose mes services de consultant
Objectif
Mission
Réalisation
Afin de mener à bien cette mission, il est nécessaire:
Prev Securite 62
Bruno Saudemont
tel:0625702201
Couverture d’extinction de feu
UN INCENDIE SE DÉCLARE TOUTES LES 2 MINUTES EN FRANCE ! LE TEMPS EST VITAL : on a moins de 3 minutes pour agir … ou fuir ! La solution Prev Securite 62 : La couverture d’extinction FIRE CAPE FIRE CAPE est une pièce de textile spécifique, et destinée à éteindre un feu le plus rapidement possible en supprimant l’apport d’oxygène(comburant) dans les 2 premières minutes de l’incendie. FIRE CAPE est instantanément prête à l’emploi, lègère, sans aucun entretien,facilement transportable, sans danger pour l’environnement, elle épouse parfaitementtoutes les formes. FIRE CAPE n’aggrave pas les dégâts comme le fait l’eau ou tout autre produit chimique contenu dans un extincteur. FIRE CAPE est simple d’utilisation, juste 3 mouvements : FIRE CAPE est indispensable dans la maison mais aussi dans une caravane, un camping-car, un bateau, au camping, lors de bricolage ou d’un barbecue, partout ou le feu peut faire son apparition :
FIRE CAPE est de meilleure qualité que les couvertures concurrentes : elle résiste à une plus forte température (1800 °C) , elle ne se perce pas et communique beaucoup moins la chaleur des flammes. Sa souplesse, son poids et sa texture lui permettent de recouvrir parfaitement les formes les plus diverses. FIRE CAPE a obtenu le classement de réaction au feu “M0” |
Superbe journée le 12/09/2016
on a commencé la rédaction de la nouvelle norme 1869.
-utilisation feux friteuses
-utilisation sur une personne en feu
-la protection des biens
(nouveaux tests ,nouvelles résistances,nouveaux pictogrammes ,nouvelle notice utilisation etc )
Prochain rendez vous en Novembres
On espère que la norme NF pour début Mars 2017
CONGRES DÉPARTEMENTAL DES SAPEURS POMPIERS DU PAS DE CALAIS
Prev Securite 62 sera présent démonstration de la couverture Audomaroise sur feu réel .(possibilité de commande) Vente détecteurs,extincteurs,ala
Présentation Du plan sauvegarde des œuvres et plan urgence possible
(contacter moi au 0625702201 pour les PSO au 0625702201,pour inscription (régisseurs et conservateurs de musées )
VENTE SPÉCIALE
PROMOTIONS LE JOUR DU CONGRES.
Prévenir un risque incendie, en diminuer les conséquences
Prévention – Prévision
Avant toute chose, il convient de bien analyser le risque de destruction par le feu pesant sur un musée ou de tout autre lieu culturel. Le risque nul n’existe pas et il est donc nécessaire de bien connaître cette menace afin de pouvoir y faire face et d’en limiter les conséquences. L’incendie peut se décomposer dans le temps en une suite d’étapes: déclenchement, développement, propagation. A chaque étape, les personnes et les ouvres peuvent être atteintes.
Trois définitions complémentaires peuvent être données du risque incendie : Le risque incendie est la probabilité de survenance de cet événement en fonction des éléments constitutifs d’une situation donnée. On peut aussi le définir plus simplement comme le danger d’incendie ou d’atteinte par le feu, créé par une certaine situation. On peut aussi identifier le risque à un lieu et le définir comme un point ou un lieu à partir duquel ou dans lequel le feu peut naître et menacer d’autres lieux. On le voit, ces définitions ne permettent pas de bâtir une méthode scientifique absolue, reposant sur des certitudes physiques et mathématiques.
Estimer un risque incendie est en effet une tâche difficile qui nécessite beaucoup d’expérience et d’humilité. On devra s’attacher à déterminer la façon dont un feu peut naître, comment il peut évoluer, quels dommages il peut causer. Cela nous entraînera tout naturellement à imaginer les différentes parades ou mesures destinées à réduire la probabilité de survenance, à limiter le développement ou la propagation et, enfin à assurer au maximum l’intégrité physique des personnes et des ouvres. L’évaluation du risque doit se faire en intégrant en permanence le facteur « temps », afin d’avoir une estimation dynamique.
Pour commencer, un feu se déclenche puis se développe dans son local d’origine en consommant les produits et matériaux qui s’y trouvent, puis il se propage en sortant de son local initial pour gagner d’autres lieux. Nous devons agir à ces différents niveaux. Le déclenchement, c’est la rencontre d’une cause et d’une situation initiale. La situation initiale correspond à une plus ou moins grande quantité de produits ou de matériaux dont l’inflammabilité est variable. La cause peut être humaine (négligence, imprudence…), technique (électricité…) ou naturelle (foudre, combustion spontanée). La vitesse de déclenchement va dépendre de l’inflammabilité des matériaux, de leur disposition dans le local et de leur quantité. En se développant, le feu va produire de la chaleur, des gaz chauds toxiques ou agressifs et des fumées. Ce sont les vecteurs de la propagation. Celle-ci dépendra de la structure du bâtiment, des cloisonnements, de la nature de la construction, des risques propres aux autres locaux et des liaisons existants entre les locaux. Le feu emprunte toutes les liaisons, mais il a une propension à se propager vers le haut.
Comment se protéger efficacement contre ces risques ?
Déclenchement
On se protège du risque de déclenchement par la prévention. Pour cela, il convient d’empêcher l’éclosion du sinistre, c’est-à-dire de réduire au maximum les causes de l’incendie. A la base de l’incendie, on retrouve toujours comme cause générale l’énergie sous sa forme calorifique. Les sources de chaleur, qu’elles soient chimiques, mécaniques, électriques ou lumineuses, doivent être connues pour en mesurer les dangers. Les causes de déclenchement les plus fréquentes sont accidentelles, elles ont pour origine l’imperfection humaine, l’ignorance, la négligence ou la malveillance. Bien souvent, on attribue un incendie à d’autres causes pour effacer les erreurs de ceux qui ont mal conçu, réalisé ou utilisé certaines installations. La connaissance de ces causes permet d’en supprimer un bon nombre par l’observation de mesures particulières, telles que l’interdiction de fumer dans les locaux à risque, la ventilation des volumes où peuvent se trouver des vapeurs dangereuses… L’analyse du risque de déclenchement permet donc :
d’identifier les points dangereux (chaufferie, armoire électrique, atelier de restauration, menuiserie…)
d’apprécier les causes possibles d’un feu
d’apprécier la nature et la vitesse du phénomène initial (simple échauffement, feu couvant, explosion…)
d’estimer l’effet initial possible sur les ouvres.
Ayant appréhendé la nature et les causes du risque de déclenchement, il convient d’étudier les moyens pour y remédier. Les principales mesures qui doivent être prises sont:
en premier lieu, la propreté des locaux (sciure balayée et évacuée journellement, poubelles vidées le soir et non le matin…);
le respect des consignes de sécurité (interdiction de fumer, interdiction d’utiliser une flamme nue, rangement des produits dangereux dans des armoires adéquates…);
le bon état des installations électriques, liaisons équipotentielles, boîtier de coupure de courant manuelle et/ou automatique (si possible couper le courant le soir avant de quitter les locaux);
la mise en place de la procédure de permis de feux…
Développement
Une fois née, la flamme peut s’arrêter d’elle-même ou bien se développer dans son milieu initial avec une vitesse très variable. Cette vitesse va dépendre des matériaux situés dans le local et que l’on doit estimer en nature, quantité et répartition. La vitesse de développement dépend aussi des matériaux employés pour la construction du bâtiment. L’analyse du risque de développement va donc permettre:
d’estimer la vitesse de développement et la quantité de chaleur dégagée par unité de temps et au-delà les effets prévisibles sur les ouvres;
de définir le sens du développement du feu;
d’apprécier ses effets sur les éléments de construction;
d’identifier les ouvres touchées ou menacées,
d’apprécier les dommages possibles.
Cette analyse étant faite, il devient alors possible de remédier au développement. Les principales mesures sont:
la détection automatique d’incendie (détection ionique de préférence). Il faut prendre soin de noter qu’il ne suffit pas de disposer d’un équipement, mais qu’il faut que l’alarme donnée puisse être recueillie, interprétée et exploitée par l’homme;
l’extinction automatique, les robinets d’incendie armés, les extincteurs…
mais aussi des mesures constructives par l’emploi de matériaux incombustibles ou difficilement inflammables et des mesures d’organisation en limitant par exemple le stockage de produits inflammables dans les ateliers;
et puis, il ne faut pas oublier la formation du personnel qui aura à intervenir en premier lieu.
Propagation
II y a propagation lorsque le feu sort de son local initial et gagne d’autres locaux directement contigus ou non. Elle peut se faire par projection de matériaux enflammés, transfert direct des gaz chauds, ou par rayonnement. Les portes, les fenêtres, les gaines, les conduits, les trous, les façades sont autant d’éléments qui favorisent ce phénomène. De ce fait, on devra porter une plus grande attention aux locaux qui présentent des risques particuliers, que l’on peut dénommer « points dangereux » et on devra prendre toutes les mesures prévisibles et nécessaires pour qu’un incident se produisant à l’intérieur ne puisse gagner un local névralgique. On appellera « point névralgique » ou « point sensible » un local contenant une ouvre ou des ouvres dont l’atteinte entraînerait des conséquences dramatiques pour le patrimoine culturel.
Comme pour le développement, il existe des techniques permettant d’enrayer la propagation, ou tout du moins pour la ralentir et en diminuer l’ampleur. Ces mesures peuvent être passives ou actives mais elles sont presque toujours d’ordre constructif:
mesures passives: stabilité de la construction pour éviter les effondrements, recoupements intérieurs par des murs coupe-feu, maintien de l’intégralité des séparations aux passages des gaines et conduits, éloignement des bâtiments, potentiel calorifique des façades, dimension et éloignement des ouvertures en façades ;
mesures actives: portes coupe- feu ou pare-flammes, clapets dans les gaines au droit des recoupements, désenfumage naturel et mécanique…
Sauvegarde des ouvres
Pour différentes raisons, les mesures destinées à réduire le déclenchement, le développement puis la propagation du risque incendie peuvent ne pas avoir remplies leur rôle. Il est alors nécessaire d’avoir étudié et mis en place un plan pour réduire ou tout au moins limiter au maximum les dégâts sur les ouvres. Différentes formes de menaces peuvent amener la direction d’un musée à évacuer les ouvres. Les atteintes possibles peuvent être immédiates ou différées:
immédiates: feux, inondation, tornade, effondrement…;
différées : risque de conflit, climat social très dégradé, travaux de restructuration.
Les actions immédiates doivent faire l’objet d’une planification préalable, établie en liaison avec les services locaux d’incendie et de secours. Les actions différées doivent aussi faire l’objet d’une planification établie au sein de la direction du musée. Quelle que soit la menace, il convient de respecter quelques principes.
Les choix:
Avant toute chose, le responsable du musée doit indiquer un ordre de priorité pour l’évacuation ou la protection des ouvres. Sauf dans le cas d’un objet très particulier, le choix se fera par grands ensembles (salle, panneau, zone) et non ouvre par ouvre. Cet ordre de priorité devra distinguer les ouvres à évacuer et celles qui, trop volumineuses ou trop lourdes, devront être protégées sur place.
Comment:
Les personnes qui auraient à inter- venir en urgence doivent avoir reçu un minimum de formation pour l’évacuation ou la protection des ouvres, afin d’éviter d’occasionner des dégâts trop importants sur les ouvres. Cette formation doit être dispensée aux sapeurs-pompiers locaux, qui auront la charge d’évacuer ou de protéger les ouvres les plus menacées et qui seront les seuls à pouvoir approcher, grâce à des appareils permettant de se déplacer dans les fumées. Il est nécessaire de leur enseigner:
les gestes à accomplir pour décrocher un tableau, ouvrir une vitrine ;
les précautions élémentaires pour transporter une ouvre;
la nature des protections qu’il faut appliquer à une ouvre qui ne peut être déplacée (en raison de son poids ou de sa taille) : protection contre les fumées, l’eau d’extinction, la chaleur (arrosage au moyen d’une lance à jet diffusé).
Avec quoi:
matériel de décrochage: prévoir, dans le plan de sécurité établi, les lieux où les intervenants pourront se voir confier le matériel (clefs des vitrines, tournevis avec lames spéciales, clefs à pans multiples, etc.). Ce matériel ne devra en aucun cas être confié en permanence aux services d’incendie et de secours, mais leur être remis, si nécessaire, au moment de l’intervention ;
matériel de transport : en fonction du type d’ouvre à évacuer, il est utile de prévoir, éventuellement, des panières (pour les livres, petits objets…), des chevalets roulants (pour les tableaux de taille moyenne…). Les ouvres évacuées ne pouvant rester dans une cour ou sur un trottoir, des véhicules de transport (selon un plan à élaborer avec la municipalité, l’armée ou un transporteur local…) doivent pouvoir être utilisés dans un délai de deux heures ;
matériel de protection : les bâches en toile ou les films en polyuréthanne doivent être fournis en quantité suffisante pour permettre de protéger les plus grandes ouvres. Afin d’assurer une relative étanchéité, il est bon de prévoir du ruban adhésif résistant à l’eau.
Où:
Le plan établi doit prévoir un lieu de repli où disposer les ouvres évacuées. Ce lieu doit répondre aux conditions suivantes : ne pas être trop éloigné, être à l’abri des intempéries, être sûr et facile à surveiller. Dans la mesure où la taille des réserves, l’importance et le nombre des ouvres à évacuer le permettent, la solution idéale consiste à conclure un accord d’aide réciproque avec un musée situé à proximité.
Prévenir un risque est donc une opération complexe qui intègre un très grand nombre de facteurs difficilement quantifiables mais seule- ment « appréciables » selon leur degré d’importance. On doit se poser sans cesse des questions: Tel risque est-il supportable pour le niveau de sécurité désiré? Telle mesure est-elle adaptée à l’effet recherché? Les niveaux de sécurité évoluent dans le temps et ne sont pas les mêmes suivant l’heure de la journée. Faire de la prévention incendie impose une méthode de réflexion analytique et synthétique. Les différentes mesures destinées à réduire les risques doivent être spécifiquement adaptées aux facteurs identifiés sinon la prévention ne remplit pas son rôle.
En conclusion, il faut rester très humble dans ce domaine. Le feu est et restera un ennemi permanent qui continuera à détruire notre patrimoine. Mais il ne s’agit pas pour autant de baisser les bras et il faut au contraire tout faire pour le combattre et limiter son action.
J’ai travaillé avec le musée Sandelin sur le plan de sauvegarde des œuvres en collaboration des sapeurs pompiers de Saint Omer . Actuellement aussi avec le musée de Douai,et en affaire avec le musée Des Invalides ,Lille, Strasbourg,Grenoble Ma société en collaboration d un atelier de confection de L Atelier de L Audomarois Séverine Padovani,nous avons mis au point une couverture et de système de housse anti feu et imperméable aux eaux extinctions Et aussi une assistance a la mise en oeuvre du plan de sauvegarde des Oeuvres ainsi la formation du PSO. Tel:0625702201