C’est la première fois qu’une telle opération d’envergure est menée à Saint-Omer. Un scénario a été bien préparé pour tester les dispositifs de secours en cas d’incendie à la cathédrale Notre-Dame. Un test en situation réelle, qui a commencé vers 10 heures et s’est conclu vers midi.
Fausse alerte, seulement un brouillard artificiel provoqué pour une intervention des Sapeurs Pompiers 👩🏻🚒🚒 et un exercice d’évacuation en conditions réelles, afin de sensibiliser le personnel et les éventuels visiteurs à une réalité qui pourrait se produire.
Mise en œuvre aisée à deux personnes. Recouvrement total sur un véhicule de type familiale. Après dépose sur la voiture, aucune action pendant cinq minutes.
Refroidissement par quelques impulsions au travers des portières avant.
Les impacts sur les effluents des fumées sont visibles dès le recouvrement du véhicule. La couverture malgré les deux brûlages consécutifs, n’a démontrée aucune faiblesse.
Bien des cas de mise en œuvre sont possibles pour cet outil et mérite que les services Incendie public et privé y portent une attention.
Mise au point par Bruno Saudemont Prev Securité 62
Cette couverture est vendue sous la marque PROTECH-SENTINEL
#protechsentinel propose des pochettes anti feu 🔥 pour protéger vos téléphones, tablettes et ordinateurs en cas d’incendie ou d’emballement thermique de vos batteries lithium-ion. www.protech-sentinel.com
J’ai besoin de vous les z’Amis ! ouvrez le lien AVIVA et Votez votez likez et partager ! Pour ce nouveau projet que Gaëtan Fontaine Réseautage porte avec une équipe de professionnels En faveur du soutien que nous pouvons apporter aux biens culturels et du patrimoine et à sa protection. Cliquez sur le lien suivant et votez : http://bit.ly/2JnAFyg
Qui sont PSO 18?
PSO18.fr est le projet d’un partenariat de 4 structures Gaëtan Fontaine Réseautage Influ-Anse,Amaury Desbas et -PIERRE VAILLANCOURT ( une petite structure Québécoise chargée du site internet du PSO ET Prev Sécurité 62 Bruno Saudemont
NOTRE PROJET
Un outil technique, opérationnel permettant la prise de décision adapté pour les responsables de la sécurité des bibliothèques et musées, afin d’opter pour la meilleure prise de décision.
Ce produit est destiné au départ pour les bibliothèques, musées pour établissement d’un plan d’urgence en cas de catastrophe ou de sinistre, il sera par la suite adapté aux entreprises et autres administrations.
Cet outil répond aux différentes préocupations préparatoires, facilite l’encadrement des décisions opérationnelles dans un ensemble de problématiques techniques permettant du coup, pour une personne donnée, d’opter pour la meilleure prise de décision.
Elle est utile de bénéficier d’outils « simples » permettant de vérifier et d’analyser rapidement les informations afin de pouvoir prendre la décision à priori la plus adaptée à un instant donné et ce, sans nécessairement avoir des connaissances poussées.
Les outils développés seront une application en ligne ainsi que des accès ‘intranet’ ce qui permettra l’accès rapidement aux informations sensibles afin de favoriser la prise de décision. Les produits proposés dans le cadre de la validation des mises en œuvre pour la protection des œuvres seront adaptés aux réalités de chaque musée ou environnement où sont exposés les œuvres.
Cette outil, répertorira toute les informations en 3D des pièces, les organes de sécurité, les organes techniques des bâtiments, et surtout les œuvres qui seront à évacuer.
Cet outil va reprendre les plans « Etares », « POI », plans d’urgences et comme pour les musées le plan de sauvegarde des œuvres.
Cette outil sera mis à disposition aux services de secours ; mais aussi aux personnels de l’établissement avec un code d’accès par rapport a leurs compétences et droits d’accès .
Outil sera interactif et adaptable ou complémentaire aux outils embarqués
AU CŒUR DES ENTREPRISES. À la tête de Prev’Sécurité 62, Bruno Saudemont, par ailleurs pompier volontaire à Saint-Omer, a mis au point une couverture anti-feu pour laquelle il s’est associé avec Apronor.
Marion Clauzel | 22/04/2019 Voix du Nord
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Des extincteurs à la couverture anti-feu
Au départ, Bruno Saudemont, pompier volontaire, est spécialisé dans les extincteurs. Il les installe et les entretient via sa société prestataire de services dans le domaine de la sécurité incendie, Prév’Sécurité 62, une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL). Il a aussi mis au point une couverture anti-feu, désormais commercialisée. C’est la société Apronor près de Rouen qui la fabrique. Pour ce projet, Bruno Saudemont s’est associé avec Apronor. La marque Protech Sentinel a été déposée. La couverture anti-feu peut servir à protéger des flammes des œuvres non transportables, quand elle vient recouvrir une statue ou un tableau. Elle peut aussi permettre d’étouffer rapidement un incendie de voiture ou un feu de poubelle, sans avoir recours à l’arrosage. « Cette couverture à base de fibre de roche est imperméable à l’eau, lavable et recyclable », précise Bruno Saudemont.
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Des plans de sauvegarde des œuvres
Depuis 2018, la couverture anti-feu mise au point par l’Audomarois Bruno Saudemont. Il essaie aussi de convaincre les musées et les bibliothèques de sauvegarder leurs œuvres, en adoptant des plans de sauvegarde des œuvres (PSO). Ce type de plan permet aux secours d’évacuer et de sauvegarder les œuvres présentes dans un établissement ou un monument selon un périmètre établi, en cas d’incendie. La cathédrale Notre-Dame de Paris, victime des flammes, lundi soir, bénéficiait d’un PSO. C’est aussi le cas du musée Sandelin à Saint-Omer qui a été l’un des premiers clients de Bruno Saudemont.
Bruno Saudemont et Gaëtan Fontaine, une pochette anti-feu à la main.
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Pour quels clients ?
Outre le musée Sandelin et son PSO, les clients de Bruno Saudemont sont très variés. Il a équipé en couvertures anti-feu le Château de Grignan ou encore un musée à Châlons-en-Champagne. Parmi ses clients, figurent aussi des privés qui veulent protéger des tableaux chez eux. Prev’Sécurité est contactée par Internet pour des demandes de devis. Reste que pour les couvertures, comme pour les PSO, c’est souvent le budget qui coince.
A LA TETE DE PREV SÉCURITÉ 62 ,BRUNO SAUDEMONT ,PAR AILLEURS POMPIER VOLONTAIRE A SAINT OMER A MIS AU POINT UNE COUVERTURE ANTI FEU POUR LAQUELLE IL S EST ASSOCIE AVEC BAPTISTE BIOCHE DE LA SOCIÉTÉ APRONOR.
Le 3 septembre dernier, l’incendie du musée de Rio au Brésil a ému le monde.
Mon cher Watson a choisi d’enquêter sur la protection des œuvres d’art et artefacts conservées dans les musées. Feu, inondation, insecte, Watson va faire le tour des risques qui guettent notre patrimoine.
Pour ce premier chapitre, nous avons rencontré Bruno Saudemont, pompier volontaire et créateur de l’entre Prev Sécurité 62 qui met en place des stratégies de prévention contre les risques d’incendie dans les établissements recevant du public.
– Bonjour Bruno, pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel ?
Je suis sorti de l’école à 18 ans avec un CAP mécanicien auto. Je suis entré dans le monde du travail, en parallèle de mon activité de sapeur-pompier volontaire – activité que j’exerce toujours. Suite à un licenciement en 2010, j’ai suivi une formation « création d’entreprise » en 2011/2012 et j’ai créé mon entreprise 2013
J’ai créé mon entreprise en autoentrepreneur le 5 mai 2013. Suite à un bon développement de l’entreprise, en juillet 2016, Prev Sécurité 62 est passé au statut EIRL.
Mon champs d’opération principal est assez large. Il va de la vente, l’installation et la maintenance des extincteurs, la formation incendie, l’élaboration de plans d’évacuation et d’intervention, la mise en place des POI (plan d’opération interne), de plans de sauvegarde des œuvres d’art, l’installation d’alarmes type 4 permettant de lutter contre les incendies, l’installation de BAES (bloc autonome d’éclairage de sécurité) à la mise en conformité des établissements recevant du public.
Ma deuxième activité est en développement. Je travaille à la mise en place de couvertures, housses, pochettes anti-feu pour les musées principalement. Ces protections peuvent servir également pour d’autres activités comme les bibliothèques par exemple. La résistance de nos produits est 900°C pendant 30 minutes. Elles sont également anti-acide et imperméables a l’eau.
– En quoi la sécurité incendie est-elle un enjeu pour les musées et leurs réserves ?
La raison principale est tout simplement le risque de la perte de l’œuvre. Sans aller jusque là, il y a aussi la détérioration de l’œuvre. Les conséquences sont des frais considérables pour permettre la restauration de l’œuvre (même s’il ne sera plus vraiment « l’original ») ; c’est surtout la perte de notre histoire et de notre patrimoine historique ou culturel.
Un musée est aussi un symbole et lieu important dans le cœur d’une ville. Un incendie, c’est une perte pour le musée, c’est un risque de perte d’argent s’il doit fermer, voir aussi un risque de chômage technique pour le personnel.
La sécurité incendie, c’est surtout faire une prévision des risques. C’est prévoir les moyens de lutte en cas de déclaration d’un incendie,, et les moyens à mettre en œuvre pour empêcher la propagation des flammes et maîtriser le sinistre.
– Comment se déroule une mission type ?
L’audit se passe en plusieurs temps :
1er temps : étude des risques autour du musée, risques industriels, routiers, naturels…
2ème temps : étude au niveau du bâtiment (entretien, protection incendie…)
3ème temps : étude de son fonctionnement, des conditions de travail de son personnel et différents services… Nous pouvons également former le personnel du musée à la mise en place du plan de sécurité, des exercices de sauvegarde qui doivent être mis en place avec les sapeurs-pompiers et les membres du musée.
4ème temps : inventaire des œuvres, et mise en place des fiches de procédures, mise en place des outils d’aide à la décision comme la priorité de sauvetage des œuvres. Cette décision est prise en étroite collaboration avec les conservateurs
– Les projets de sauvegarde incendie peuvent-ils être utilisés dans d’autres cas ?
Oui, les couvertures peuvent être utilisées contre les eaux d »extinctions ou les inondations. Elles résistent aux PH acides et base
Merci à Bruno Saudemont pour ses réponses à nos questions.
On redoute toujours le moment ou notre patrimoine part en fumée… Nous avons la solution pour protéger vos oeuvres !
http://pso18.fr/
D’après une image de drone de la police à laquelle a eu accès un reporter de franceinfo, « les 3/4 de la cathédrale sont encore en feu », seules les deux tours sont pour le moment épargnées. 400 pompiers sont mobilisés
j espère le PSO est au top pour au moins sauver les œuvres à l intérieur. La prévention et prévision sont importantes ,le risque 0 n existe pas.
Début de la construction : 1163 856 ans, elle a survécu à deux guerres , et la avec les moyens que l on possède ,elle part en fumée , une des meilleurs surveillances elle est humaine aussi!!! il y a une surveillance a faire après travaux par points chauds!!!
PLAN
SAUVEGARDE DU PATRIMOINE ET DES BIENS CULTURELS
Pour
le plan sauvegarde des œuvres, le plus intéressant et aussi le plus
sécurisant.
Et de
mettre une véritable politique de prévention aux risques, les plus courants
inondations, incendies voir aussi les risques auxquels on pourrait rencontrer
avec un facteur de risque élevé exemple tremblement de
terre.
C’est
déjà respecter la règlementation des ERP , et aussi
entretien des moyens de lutte incendie ,maintenance du matériel exemple les
climatiseurs , armoires électriques, les surcharges électriques ,entretien du
bâtiment, respecter les consignes etc.
Déjà
de mettre tous les moyens de détection départ de feu et dispositif pour
combattre celui-ci au départ et de ralentir sa
progression.
De
limiter les risques d’éclosion et de propagation
d’incendie
Pour
les innondations c est de mettre des captueurs au sol, voir des pompes de relevages en cas innondation
DEJA
UNE BONNE PREVENTION LES RISQUES SONT TRES REDUITS
Le
risque zéro n’existe pas, une défiance technique et même
humaine.
LE
DERNIER REMPART
C’est
là qu’intervient le plan sauvegarde des biens culturels, une préparation et une
mise en œuvre de protection des biens, soit par l’évacuation de celle-ci ou par
une protection sur les lieux, si celle-ci ne peut pas être
évacuée.
Ce
Plan doit être simplifié pour les sapeurs-pompiers, qu’ils trouvent les réponses
de suite, savoir par exemple la salle impactée et les œuvres à évacuer et aussi
le lieu de stockage par rapport au sinistre déjà aussi en premier lieu les
coupes énergies , eau, fluide ,stockage etc. .
Tous
les musées n’ont pas de plan Etare
Le PSO
plan ressemble au plan Etare, mais vraiment
destiné pour les musées.
Le PSO
est un travail équipe et aussi interservices, mairie, SDIS, etc.